Elon Musk am Ende seiner politischen Mission – Trumps Berater verlässt die Bühne, Tesla schwächelt
Ein Beitrag von Werner Hoffmann
Der Tech-Milliardär Elon Musk zieht sich aus dem innersten Beraterkreis von US-Präsident Donald Trump zurück. Wie das US-Magazin Politico berichtet, will sich Musk „in den kommenden Wochen“ wieder stärker auf seine Unternehmen konzentrieren. Offiziell ist von einem geplanten Rückzug die Rede – doch hinter den Kulissen bröckelt das Fundament einer hochriskanten politischen Allianz.
Musk war Trumps Sparkommissar – mit Nebenwirkungen
Musk hatte von Trump den Auftrag erhalten, mit radikalen Sparmaßnahmen den Regierungsapparat zu verschlanken. Unter seiner Leitung wurden tausende Stellen gestrichen, Behörden fusioniert oder aufgelöst. Doch Musks rücksichtsloses Vorgehen sorgte selbst im republikanischen Lager für Unmut. Seine öffentlichen Alleingänge, nächtlichen Tweets und radikalen Vorschläge machten ihn zum Risikofaktor in einer ohnehin instabilen Regierungsmannschaft.
Laut Politico wuchs innerhalb der Trump-Administration die Frustration über Musks unberechenbares Verhalten. Seine eigenmächtigen Entscheidungen und medienwirksamen Inszenierungen wurden zunehmend als politische Belastung empfunden. Ein hochrangiger Regierungsbeamter wird mit den Worten zitiert: „Wer glaubt, Musk werde vollständig aus Trumps Umfeld verschwinden, täuscht sich selbst.“ Auch nach seinem offiziellen Rückzug werde Musk wohl informell weiterhin Einfluss ausüben.
Hinzu kommt: Musks Status als „besonderer Regierungsangestellter“ war rechtlich ohnehin auf 130 Tage begrenzt – eine Frist, die Ende Mai oder Anfang Juni ausläuft. Auch dies spielte eine Rolle bei der Entscheidung über seinen Rückzug.
Wirtschaftlich unter Druck: Teslas enttäuschende Zahlen
Parallel dazu kämpft Tesla mit ernsten Problemen. Die Verkaufszahlen im ersten Quartal 2025 lagen deutlich unter den Erwartungen: 336.681 Fahrzeuge wurden ausgeliefert – ein Minus von 13 % im Vergleich zum Vorjahr. Besonders dramatisch: In Deutschland brach der Absatz um über 75 % ein. Die Börse reagierte prompt – die Aktie rutschte ab, erholte sich aber leicht, nachdem Musks Rückzug aus dem politischen Rampenlicht bekannt wurde. Viele Investoren hoffen nun, dass sich Musk endlich wieder auf das Kerngeschäft konzentriert.
Politische Schlappe in Wisconsin
Auch politisch musste Musk zuletzt eine schmerzhafte Niederlage einstecken. In Wisconsin verlor der von ihm massiv unterstützte konservative Kandidat Brad Schimel mit einem Rückstand von zehn Prozentpunkten gegen die liberale Juristin Susan Crawford. Die Wahl wurde von Beobachtern als Testfall für Musks politischen Einfluss gesehen – und endete in einer krachenden Niederlage. Selbst in konservativen Kreisen gilt Musk mittlerweile als zu polarisierend, zu unberechenbar, zu laut.
Resümee: Ein Rückzug mit bitterem Beigeschmack
Der Rücktritt von Elon Musk aus dem inneren Machtzirkel Donald Trumps wird kaum ausreichen, um seine beschädigte Reputation zu retten. Weder die schwächelnden Verkaufszahlen von Tesla noch die rückläufigen Werbeeinnahmen bei seiner Plattform X (ehemals Twitter) dürften sich dadurch kurzfristig erholen.
Fakt ist: Elon Musk hat sich verbrannt. In den letzten anderthalb Jahren ist seine Nähe zu Verschwörungstheoretikern, Demokratiefeinden und rechtsextremen Positionen unübersehbar geworden. Dass er sich als Unternehmer in den Dienst eines autoritär agierenden Präsidenten gestellt hat, wird vielen nicht so schnell aus dem Gedächtnis verschwinden.
Es bleibt zu hoffen, dass diese Erkenntnis bei den Verbraucherinnen und Verbrauchern ankommt – und auch bei jenen, die seine Produkte bisher kritiklos gefeiert haben.
Unklar ist auch, wie groß der Schaden noch werden kann, den Musk durch seine politische Tätigkeit angerichtet hat. Sein Einfluss reichte tief in die Verwaltung, seine Entscheidungen betrafen zehntausende Menschen – von entlassenen Staatsbediensteten bis hin zu Tesla-Beschäftigten, deren Jobs zunehmend unsicher wirken.
Und es bleibt die Frage im Raum, inwieweit Musk auch finanziell profitiert hat – vor allem über SpaceX. Recherchen zeigen, dass die US-Regierung seinen Unternehmen Verträge, Subventionen und Fördermittel in Höhe von über 38 Milliarden US-Dollar zugesprochen hat. Allein SpaceX erhielt staatliche Aufträge im Umfang von rund 20,7 Milliarden Dollar, wovon mehr als 8,7 Milliarden bereits ausgezahlt wurden. Ein Großteil dieser Summe – rund 14,6 Milliarden – stammt aus NASA-Projekten, etwa für Frachtflüge zur ISS oder die Entwicklung eines neuen Mondlanders.
Das alles wirft Fragen auf: über mögliche Interessenkonflikte, über Vetternwirtschaft und über eine gefährliche Verbindung von politischem Einfluss und wirtschaftlicher Eigeninteresse.
Fazit:
Elon Musks Ausflug in die Politik ist vorerst beendet. Doch seine Spuren bleiben – in der Verwaltung, bei Tesla, in der Öffentlichkeit. Der Mythos des genialen Unternehmers hat Kratzer bekommen. Und die Frage, was von seinem politischen Erbe bleibt, ist längst nicht beantwortet.
Ce qui se passe actuellement aux États-Unis me touche profondément — comme probablement beaucoup d’autres ici.
Lorsqu’un gouvernement commence à restructurer les musées, à interdire des expositions et à retirer volontairement des œuvres d’art et de littérature critiques, ce n’est plus de la politique conservatrice — c’est autoritaire. Totalitaire. Fasciste.
Celui qui « purifie » idéologiquement la culture attaque le cœur même de la société ouverte.
Désormais, je vais boycotter autant que possible les produits américains. Pas par hostilité, ni même par indignation. Mais par responsabilité et par besoin de me sentir utile. Un renoncement total n’est pas réaliste, mais des choix ciblés sont possibles lorsqu’il existe des alternatives.
Les grandes entreprises sont sensibles aux signaux publics. Il ne s’agit pas de pureté morale, mais d’efficacité. Et je soutiendrai également celles et ceux qui s’opposent ouvertement à Trump — que ce soit des entreprises, des voix critiques ou des esprits créatifs.
Exemples possibles de #boycott :
Streaming et abonnements numériques
Apple TV+, Netflix, Disney+, Amazon Prime Video, YouTube Premium
→ Annuler ou suspendre. Utiliser Arte, Magenta ou les plateformes publiques.
Technologie – matériel et appareils
Apple (iPhone, Mac), Microsoft (Surface), Google (Pixel), Amazon (Alexa, Kindle)
→ Lors d’un achat, envisager des alternatives européennes ou asiatiques. Réparer plutôt que remplacer.
→ Soutenir les restaurants et cafés locaux. Éviter le fast-food.
Voyages et tourisme
Voyages aux États-Unis et compagnies aériennes américaines (Delta, American Airlines, United)
→ Choisir des destinations aux politiques culturelles progressistes. Voyager avec des compagnies européennes.
Finances et paiements
Visa, Mastercard, PayPal
→ Si possible, utiliser des alternatives européennes ou un virement bancaire.
Je sais, ce ne sera pas confortable. Et c’est contradictoire : je publie cela sur LinkedIn, une plateforme américaine. Mais c’est justement pour ça : j’utilise sa portée pour attirer l’attention sur ce problème. Un boycott silencieux n’a d’effet que s’il est visible. Et beaucoup de ces choix pourraient aussi faire du bien à mon corps et à mon esprit.
Si vous souhaitez faire pareil, partagez ce post avec votre propre message.
PS : Le mot „BIC“ sur la photo est erroné. Je ne peux plus modifier l’image.
Naturellement, la première étape consiste à renoncer aux produits américains que l’on peut (peut-être même facilement) remplacer. Et si c’est facile, peut-être que 20 millions d’autres feront de même.
Commentaire de
Werner Hoffmann.
– Pour une démocratie au centre, car les extrêmes détruisent le pays –
Merci, Mirko, pour ce post clair et courageux !
Je partage pleinement ton avis :
Les pays démocratiques devraient être bien plus conscients de leur puissance économique collective.
Les États-Unis comptent environ 330 millions d’habitants — impressionnant, certes.
Mais l’Union européenne en compte déjà plus de 450 millions, auxquels s’ajoutent :
67 millions au Royaume-Uni,
39 millions au Canada,
Plus de 1,4 milliard en Inde,
126 millions au Japon,
52 millions en Corée du Sud,
26 millions en Australie,
Et près de 5 millions en Nouvelle-Zélande.
Ensemble, cette « coalition des démocraties volontaires » représente plus de 2,5 milliards de personnes vivant dans des sociétés libres et démocratiques — et donc une puissance économique, culturelle et politique énorme.
Trump et ses partisans doivent comprendre : ce n’est pas nous qui dépendons d’eux — c’est eux qui dépendent de nous.
La défense de la démocratie ne commence pas uniquement dans les urnes — elle commence dans notre comportement quotidien.
Et oui, cela inclut la consommation. Celles et ceux qui choisissent des produits alignés sur des valeurs démocratiques (ou évitent sciemment ceux qui les bafouent) prennent une responsabilité concrète et visible.
Évidemment, il n’est pas nécessaire de jeter son iPhone. Mais on peut envisager une alternative au prochain achat. Et soyons honnêtes : personne n’a besoin de Coca-Cola ou de Pepsi pour survivre.
J’ai moi aussi commencé, il y a des années, à établir une liste personnelle de boycott — d’abord contre la Russie, et aujourd’hui bien plus large. J’ai écrit deux articles pour expliquer mes réflexions et mes critères :
Ma liste personnelle de sanctions : ces pays que j’évite en tant que démocrate et Européen
→ Lien ci-dessous *
Chaque achat finance les autocrates ! Pourquoi nous devons changer radicalement nos habitudes de consommation — et comment ma liste personnelle peut aider
→ Lien ci-dessous **
Il ne s’agit pas seulement des États-Unis, mais aussi d’entreprises allemandes qui :
Poursuivent leurs affaires avec des autocraties comme la Russie,
Encouragent ou tolèrent des idéologies antidémocratiques ou d’extrême droite,
Évitent l’impôt au détriment de l’État — donc de nous tous.
La démocratie commence au moment de l’achat.
Et plus ce boycott silencieux sera visible, plus son effet sera fort.
Merci d’avoir mis ce sujet crucial sur la table !
Liens vers les articles cités :
Post de Mirko Lange et commentaires sur LinkedIn :
** Chaque achat finance les autocrates ! Pourquoi nous devons changer radicalement nos habitudes de consommation — et comment ma liste personnelle peut aider
Lo que está ocurriendo ahora en Estados Unidos me conmociona profundamente, como seguramente le ocurre a mucha gente aquí. Cuando los gobiernos empiezan a reestructurar museos, prohibir exposiciones y eliminar deliberadamente el arte y la literatura crítica, eso ya no es política conservadora. Es autoritarismo. Totalitarismo. Fascismo.
Quien „depura“ ideológicamente la cultura está atacando el núcleo de una sociedad abierta.
Por eso voy a empezar a boicotear productos estadounidenses, en la medida de lo posible. No por enemistad, ni siquiera por indignación. Lo hago por responsabilidad y por una necesidad de sentirme eficaz. Sé que no es realista renunciar completamente, pero sí se pueden tomar decisiones conscientes allí donde hay alternativas.
Las grandes corporaciones reaccionan de forma sensible a las señales públicas. No se trata de pureza moral, sino de impacto. También apoyaré (es decir, “recompensaré”) a quienes se opongan públicamente a Trump: empresas, voces críticas, mentes creativas.
Ejemplos de posibles objetivos de un #boicot:
Streaming y suscripciones digitales
Apple TV+, Netflix, Disney+, Amazon Prime Video, YouTube Premium
→ Cancelar o pausar. Usar alternativas como Arte, Magenta o las plataformas públicas.
Tecnología – Hardware y dispositivos
Apple (iPhone, Mac), Microsoft (Surface), Google (Pixel), Amazon (Alexa, Kindle)
→ Al comprar, considerar marcas europeas o asiáticas. Reparar más, reemplazar menos.
→ Apoyar la gastronomía local, cafeterías independientes. Evitar la comida rápida.
Viajes y turismo
Viajes a EE. UU. y aerolíneas estadounidenses (como Delta, American Airlines, United)
→ Elegir destinos con políticas culturales liberales. Volar con aerolíneas europeas.
Finanzas y pagos
Visa, Mastercard, PayPal
→ Donde sea posible, usar alternativas europeas o transferencia bancaria directa.
Sé que esto no será cómodo. Y sí, es contradictorio: estoy publicando esto en LinkedIn, una plataforma estadounidense. Pero justamente por eso: uso este alcance para llamar la atención sobre el problema. Un boicot silencioso solo tiene efecto si se vuelve visible. Además, muchas de estas decisiones probablemente también beneficien a mi cuerpo y mente.
Si tú también quieres actuar, comparte esta publicación con tu propio mensaje personal.
PD: El „BIC“ en la imagen es incorrecto. No puedo cambiar la foto.
Claro que el primer paso es empezar por los productos estadounidenses que uno puede (quizás incluso fácilmente) dejar de usar o reemplazar. Y si es fácil, tal vez otros 20 millones lo hagan también.
Comentario de
Werner Hoffmann.
– Democracia del centro, porque los extremos destruyen el país –
Gracias, Mirko, por esta publicación tan clara y valiente.
Estoy totalmente de acuerdo:
Los países democráticos deben ser mucho más conscientes de su poder de mercado.
EE. UU. tiene unos 330 millones de habitantes – impresionante, sí.
Pero la Unión Europea ya tiene más de 450 millones, más:
67 millones en el Reino Unido,
39 millones en Canadá,
Más de 1.400 millones en la India,
126 millones en Japón,
52 millones en Corea del Sur,
26 millones en Australia,
Casi 5 millones en Nueva Zelanda.
En conjunto, esta coalición de democracias dispuestas representa a más de 2.500 millones de personas que viven en sociedades libres y democráticas — y que, por tanto, poseen un enorme poder económico, cultural y político.
Trump y sus seguidores deben entender: no dependemos de ellos — ellos dependen de nosotros.
La defensa de la democracia no empieza solo en las urnas — empieza con nuestro comportamiento diario.
Y sí, eso incluye nuestro consumo. Quien elige productos que representan valores democráticos (o evita conscientemente los que los pisotean), asume una responsabilidad concreta y real.
Por supuesto, no hace falta tirar tu iPhone. Pero sí puedes buscar alternativas la próxima vez que compres. Y seamos honestos: nadie necesita Coca-Cola o Pepsi para sobrevivir.
Yo también empecé hace años a mantener una lista personal de boicot — primero contra Rusia, y ahora mucho más amplia. En dos artículos he compartido mis ideas y criterios:
Mi lista personal de sanciones: estos países los evito como demócrata y europeo
→ Enlace más abajo *
¡Con cada compra financias a los autócratas! Por qué debemos cambiar radicalmente nuestros hábitos de consumo — y cómo mi lista personal puede ayudar
→ Enlace más abajo **
No se trata solo de EE. UU., sino también de empresas alemanas que:
Siguen haciendo negocios con autocracias como Rusia,
Fomentan o toleran ideologías antidemocráticas o de extrema derecha,
Eluden impuestos y dañan activamente al Estado — o sea, a todos nosotros.
La democracia empieza en el carrito de la compra.
Y cuanto más visible sea este boicot silencioso, mayor será su impacto.
¡Gracias por abordar este tema tan importante!
Enlaces a los artículos mencionados:
Publicación de Mirko Lange y comentarios en LinkedIn:
** ¡Con cada compra financias a los autócratas! Por qué debemos cambiar radicalmente nuestros hábitos de consumo — y cómo mi lista personal puede ayudar
Was in den USA gerade passiert, macht mich – wie wohl jeden anderen auch hier – schwer betroffen. Wenn Regierungen beginnen, Museen umzustrukturieren, Ausstellungen zu verbieten und gezielt kritische Kunst und Literatur zu entfernen, ist das keine konservative Politik mehr – das ist autoritär. Totalitär. Faschistisch.
Wer Kultur ideologisch „säubert“, greift die offene Gesellschaft im Kern an.
Ich werde amerikanische Produkte ab sofort boykottieren – so weit es mir möglich ist. Nicht aus Feindseligkeit, auch nicht aus Empörung. Sondern aus Verantwortung und um Selbstwirksamkeit zu spüren. Ein vollständiger Verzicht ist nicht realistisch, aber gezielte Entscheidungen dort, wo es Alternativen gibt.
Gerade große Konzerne reagieren sensibel auf öffentliche Signale. Es geht nicht um moralische Reinheit, sondern um Wirkung. Und ich werde auch alle ausnehmen („belohnen“), die sich offen gegen Trump stellen, auch offene Unternehmen, kritische Stimmen, kreative Köpfe.
Ein möglicher #Boykott z.B. in Bezug auf:
—> Streaming & digitale Abos Apple TV+, Netflix, Disney+, Amazon Prime Video, YouTube Premium → Kündigen oder pausieren. Alternativen wie Arte, Magenta oder öffentlich-rechtliche Mediatheken nutzen.
—> Technologie – Hardware & Geräte Apple (iPhone, Mac), Microsoft (Surface), Google (Pixel), Amazon (Alexa, Kindle) → Bei Neuanschaffungen europäische oder asiatische Anbieter prüfen. Weniger ersetzen, mehr reparieren.
—> Reisen & Tourismus USA-Reisen und US-Fluggesellschaften (z.B. Delta, American Airlines, United) → Reiseziele mit liberaler Kulturpolitik bevorzugen. Flüge mit europäischen Airlines buchen.
—-> Finanzen & Bezahldienste Visa, Mastercard, PayPal → Wo möglich, auf europäische Alternativen oder Banküberweisung umstellen.
Ich weiß, das wird nicht bequem. Und es bleibt widersprüchlich – ich poste das hier auf LinkedIn, einem US-Dienst. Aber gerade deshalb: Ich nutze die Reichweite, um auf das Problem aufmerksam zu machen. Ein stiller Boykott hat nur dann Wirkung, wenn er sichtbar wird. Zudem: Vieles davon dürfte meinem Körper und Geist auch gut tun.
Wenn Sie das auch tun wollen, teilen Sie den Post doch mit einem persönlichen Statement.
P.S. Das „BIC“ auf dem Foto ist falsch. Ich kann das Bild aber nicht mehr ändern.
Natürlich ist es ein erster Schritt, erst einmal auf alle US-Produkte zu verzichten, auf die man (vielleicht sogar leicht) verzichten oder sie ersetzen kann. Und wenn es leicht ist, dann machen es vielleicht auch noch 20 Mio.
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Kommentar von
Werner Hoffmann – Demokratie der Mitte, weil Extremflügel das Land zerstören –
Danke, Mirko, für diesen klaren und mutigen Beitrag!
Ich sehe das genauso:
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Demokratische Länder sollten sich ihrer Marktmacht viel bewusster sein.
Die USA hat rund 330 Millionen Einwohner – beeindruckend, ja.
Aber die Europäische Union zählt bereits über 450 Millionen, dazu kommen
– 67 Millionen in Großbritannien,
– 39 Millionen in Kanada,
– über 1,4 Milliarden in Indien,
– 126 Millionen in Japan,
– 52 Millionen in Südkorea,
– 26 Millionen in Australien
– und knapp 5 Millionen in Neuseeland. Zusammengenommen spricht diese Koalition der willigen Demokraten für mehr als 2,5 Milliarden Menschen, die in freiheitlichen, demokratischen Gesellschaften leben – und damit über eine enorme wirtschaftliche, kulturelle und politische Macht.
Trump und seine Anhänger sollten sich klarmachen: Nicht wir sind von ihnen abhängig – sondern sie von uns.
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Die Verteidigung der Demokratie beginnt nicht nur in der Wahlkabine – sie beginnt bei unserem alltäglichen Verhalten.
Und ja, dazu gehört auch der Konsum. Wer gezielt Produkte auswählt, die für demokratische Werte stehen (oder bewusst solche meidet, die diese mit Füßen treten), übernimmt Verantwortung – ganz konkret und spürbar.
Natürlich kann man nicht alles sofort austauschen. Niemand muss sein iPhone auf den Müll werfen. Aber man kann beim nächsten Kauf Alternativen prüfen. Und ganz ehrlich: Niemand braucht Coca-Cola oder Pepsi zum Überleben.
Auch ich habe schon vor Jahren begonnen, eine persönliche Boykottliste zu führen – zunächst in Bezug auf Russland, inzwischen aber auch deutlich breiter. In zwei Artikeln habe ich meine Gedanken und Kriterien dazu veröffentlicht:
1. Meine persönliche Sanktionsliste: Diese Länder meide ich als Demokrat und Europäer
→ Link siehe unten *
2. Mit jedem Kauf finanzierst du Autokraten! Warum wir unsere Konsumgewohnheiten jetzt radikal ändern müssen – und wie meine persönliche Sanktionsliste dabei hilft
→ Link siehe unten **
Darin geht es nicht nur um die USA, sondern auch um deutsche Unternehmen, die:
• weiter Geschäfte mit Autokratien wie Russland machen,
• demokratiefeindliche oder rechtsextreme Ideologien fördern oder dulden,
• durch Steuervermeidung dem Staat – also uns allen – aktiv schaden.
Demokratie beginnt beim Einkauf. Und je sichtbarer dieser stille Boykott wird, desto größer ist seine Wirkung. Danke, dass du dieses wichtige Thema ansprichst!
Links zu oben genannten Artikeln
——
Link zum Artikel von Mirko Lange sowie weiteren Kommentaren bei LinkedIn:
** Mit jedem Kauf finanzierst du Autokraten! Warum wir unsere Konsumgewohnheiten jetzt radikal ändern müssen – und wie meine persönliche Sanktionsliste dabei hilft
Während in Deutschland die Debatte um E-Fuels noch in vollem Gange ist, formiert sich in Indien ein potenziell gigantischer Markt für Elektrofahrzeuge.
Verbrenner sind out, bringen schlechte Luft und Belastungen. Der Subkontinent entwickelt sich mit atemberaubendem Tempo zum drittgrößten Automobilmarkt weltweit – und setzt dabei verstärkt auf Elektrifizierung, um den drohenden Umweltproblemen entgegenzuwirken.
Mit aktuell nur 15-65 Autos pro 1.000 Einwohner (im Vergleich zu 557 in Deutschland) hat Indien enormes Wachstumspotenzial. Bereits 2023 wurden 3,6 Millionen Neuzulassungen verzeichnet, für 2024 werden 4 Millionen erwartet. Doch dieser rasante Anstieg stellt die ohnehin belastete Luftqualität in Metropolen wie Delhi vor massive Herausforderungen.
Die indische Regierung hat daher ambitionierte Elektrifizierungsziele formuliert: Bis 2030 sollen 30% des privaten Fuhrparks elektrisch fahren. Bemerkenswert ist, dass bereits heute 14 Millionen Elektrofahrzeuge auf indischen Straßen unterwegs sind – mehr als in jedem anderen Land weltweit. Allerdings handelt es sich dabei überwiegend um Zweiräder und Rikschas. Um den Umstieg auf E-Autos zu fördern, hat Delhi die Zulassungssteuer für Elektrofahrzeuge drastisch gesenkt und investiert massiv in die Ladeinfrastruktur. Bis 2026 sollen 40.000 Ladesäulen entstehen – ein gewaltiger Sprung von den aktuell etwa 3.000 Ladepunkten.
Der indische Autohersteller Tata dominiert bereits den lokalen E-Auto-Markt mit 50.000 verkauften Elektrofahrzeugen und plant die Einführung einer dezidierten Akku-Plattform. Auch internationale Hersteller wie VW, Skoda und Premiummarken wie Porsche, Audi, BMW und Mercedes drängen mit E-Modellen auf den vielversprechenden Markt.
Die Elektrifizierung dient Indien nicht nur dem Umweltschutz, sondern auch der Reduzierung des Außenhandelsdefizits, das zu zwei Dritteln durch Mineralöl-Importe verursacht wird. Mit etwa 500 EV-Start-ups und Investitionen von über 440 Millionen Dollar allein im letzten Jahr wächst der indische Elektromobilitätssektor rasant.
Zusatzbeitrag von
Werner Hoffmann – Wir brauchen ein funktionierendes Klima auf der Erde. –
Zusatzartikel: Warum Indien zum globalen Gamechanger in der E-Mobilität werden könnte
Indiens Ambitionen in Sachen Elektromobilität kommen nicht von ungefähr.
Die Klimakrise und die katastrophale Luftqualität in Großstädten wie Delhi, Mumbai oder Bangalore zwingen das Land zu radikalen Maßnahmen.
In Delhi überschreiten die Feinstaubwerte regelmäßig das 10-Fache der WHO-Grenzwerte – Atemwegserkrankungen gehören zum Alltag.
Die Elektrifizierung des Verkehrs ist also nicht nur ein wirtschaftliches, sondern ein existenzielles Projekt.
Gigantischer Markt, geringer Motorisierungsgrad
Indien steht dort, wo China vor 15 Jahren war – mit einem enormen Nachholbedarf und einem Milliardenmarkt, der noch weitgehend unerschlossen ist.
Während Deutschland bereits ein weitgehend gesättigter Markt ist, besitzt in Indien nur etwa jeder 20. Mensch ein Auto.
Das bietet enormes Potenzial – sowohl für einheimische Hersteller wie Tata Motors oder Mahindra, als auch für internationale Player.
Politik als Turbo-Booster
Neben Steuervorteilen und staatlichen Subventionen setzt die indische Regierung auf klare Ziele:
Neben den 30 % E-Autos bis 2030 sollen sogar 80 % aller Zweiräder und drei Viertel aller städtischen Busse elektrisch fahren.
Das sogenannte FAME-II-Programm (Faster Adoption and Manufacturing of Hybrid and Electric Vehicles) stellt dafür rund 1,4 Milliarden Dollar zur Verfügung.
Technologische Chancen
Indien positioniert sich nicht nur als Abnehmer, sondern zunehmend auch als Hersteller von Batterien, Ladeinfrastruktur und Softwarelösungen.
Das schafft Jobs und reduziert die Importabhängigkeit – vor allem von China, das aktuell den globalen Markt für Batteriezellen dominiert.
Internationale Investoren wittern Milliardenpotenzial
Tesla hat mehrfach Interesse an einer Produktion in Indien signalisiert.
Foxconn, Zulieferer für Apple, kündigte im März neue Investitionen in die indische EV-Industrie an.
Auch BYD, der chinesische E-Auto-Gigant, will stärker in Indien Fuß fassen.
Die Kehrseite
Trotz aller Euphorie bleibt die Realität herausfordernd. Der Ausbau der Ladeinfrastruktur ist träge, der Strom kommt vielerorts noch aus Kohle, und die Stromnetze sind oft instabil. Auch fehlt es bislang an standardisierten Akkusystemen und Recyclingkonzepten.
Fazit
Indien hat das Potenzial, in den kommenden Jahren zur weltweit führenden EV-Nation zu werden – nicht trotz, sondern gerade wegen seiner aktuellen Herausforderungen.
Während Europa noch über E-Fuels streitet, schaffen die Inder Fakten – schnell, pragmatisch und im gigantischen Maßstab.
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Zusatzartikel: Diese Aktien könnten vom Elektroauto-Boom in Indien profitieren
Indien entwickelt sich in rasantem Tempo zum Hotspot der globalen Elektromobilität – und clevere Anlegerinnen und Anleger stellen sich bereits jetzt strategisch auf.
Wer vom indischen Elektro-Revolutionstrend profitieren will, sollte einen Blick auf ausgewählte indische und deutsche Aktien werfen, die in diesem Zukunftsmarkt gut positioniert sind.
1. Tata Motors (ISIN: INE155A01022 / WKN: 853610)
Der Platzhirsch unter den indischen E-Auto-Herstellern.
Tata Motors ist Marktführer im indischen EV-Segment – mit Modellen wie dem Tata Nexon EV oder dem Tiago EV hat sich das Unternehmen als Vorreiter etabliert.
Tata profitiert zudem vom starken Rückhalt der Regierung und plant eine eigene Batterieplattform.
Auch die Tochterfirma Tata Power treibt den Ausbau von Ladeinfrastruktur maßgeblich voran. Bonus: Tata ist auch Eigentümer von Jaguar Land Rover – hier könnte Synergie mit europäischen EV-Technologien entstehen.
Der Herausforderer mit Fokus auf Nutzfahrzeuge und SUV-EVs.
Mahindra ist eine der ältesten Automarken Indiens und investiert massiv in Elektrofahrzeuge, insbesondere in elektrische SUVs und Nutzfahrzeuge.
Die Marke setzt verstärkt auf batteriebetriebene Dreiräder, Nutzfahrzeuge und Busse – genau dort, wo in Indien der Wandel bereits heute am stärksten ist.
3. Indian Energy Exchange (IEX) (ISIN: INE022Q01020 / WKN: A2DYHH)
Die Energie-Börse der Zukunft.
Je mehr E-Autos auf Indiens Straßen rollen, desto wichtiger wird ein stabiles, digitales Stromnetz.
IEX ist die führende Energiebörse Indiens und profitiert direkt vom steigenden Energiebedarf und der Dezentralisierung durch Ladeinfrastruktur und PV-Strom.
4. Siemens India (ISIN: INE003A01024 / WKN: 865128)
Profitabler Technologietransfer made in Germany.
Siemens India ist ein Schwergewicht bei Elektrifizierung und Automatisierung.
Die Firma ist maßgeblich an Infrastrukturprojekten beteiligt – darunter auch der Aufbau von Schnelllade- und Verteilernetzen für E-Mobilität.
Wer indirekt über Infrastruktur profitieren möchte, ist hier richtig.
5. Infineon Technologies (ISIN: DE0006231004)
Deutschlands Chip-Schmiede für die Elektromobilität.
Infineon liefert Hochleistungshalbleiter für Antriebe, Batteriemanagementsysteme und Ladegeräte – und zählt weltweit zu den Top-Zulieferern der Autoindustrie, auch in Indien.
Wenn E-Mobilität boomt, wird Infineon mitverdienen.
6. Schaeffler India (ISIN: INE513A01022)
Innovative Komponenten für den EV-Markt.
Schaeffler produziert in Indien unter anderem E-Motor-Komponenten und Thermomanagementsysteme – ein unterschätzter Profiteur des EV-Trends.
Das Unternehmen baut seine Kapazitäten in Indien stetig aus und ist sowohl auf dem indischen Markt aktiv als auch Zulieferer für globale Player.
Fazit
Indien bietet nicht nur für die Autoindustrie selbst, sondern auch für Energieversorger, Infrastrukturunternehmen und Chip-Hersteller lukrative Chancen.
Die richtige Mischung aus indischen Playern mit Marktzugang und deutschen Technologie-Exporteuren könnte sich für Anlegerinnen und Anleger als goldrichtig erweisen – vorausgesetzt, man denkt langfristig und bleibt dran.
Einzelne Aktien sind natürlich immer mit einem höheren Risiko, als z.B. eine Mischung von Aktien.
ETF können hier durchaus Sinn machen.
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Zusatzartikel: Welche ETFs sind für den Markt Indien und E-Auto zu empfehlen?
Indien entwickelt sich nicht nur zum drittgrößten Automobilmarkt der Welt, sondern auch zu einem Schlüsselakteur in der Elektromobilität. Für Anlegerinnen und Anleger stellt sich die Frage: Welche ETFs bieten Zugang zu diesem Wachstumsmarkt und zur Zukunftstechnologie E-Mobilität? Hier eine Auswahl an empfehlenswerten ETFs – regional, thematisch und kombiniert.
1. ETFs mit Fokus auf den indischen Markt
Diese ETFs bieten dir breiten Zugang zur indischen Wirtschaft, einschließlich wachsendem EV-Sektor:
iShares MSCI India UCITS ETF (WKN: A0NECU)
→ Breite Abdeckung großer und mittlerer indischer Unternehmen.
Lyxor MSCI India UCITS ETF (WKN: LYX0BA)
→ Ähnlich wie iShares, günstige TER (Gesamtkostenquote).
Xtrackers Nifty 50 UCITS ETF (WKN: DBX1NN)
→ Abbildung der 50 größten börsennotierten Unternehmen in Indien.
→ Noch nicht in Europa handelbar, aber in Planung: Regionalspezifischer Zukunfts-ETF mit starkem Indien-Fokus.
3. Alternative Strategie: Kombination aus ETFs
Wer gezielt vom indischen EV-Boom profitieren will, kann eine thematische Kombination wählen:
Ein Indien-ETF (z. B. iShares MSCI India)
+
Ein Batterie-/E-Mobility-ETF (z. B. L&G Battery Value-Chain oder iShares EV Tech)
So erhält man sowohl regionalen Fokus als auch globale Technologiechancen in einem Portfolio.
Fazit
Indien bietet enormes Wachstumspotenzial im Bereich Elektromobilität. Die kluge Auswahl passender ETFs – ob mit Indien-Fokus, Technologieausrichtung oder in Kombination – eröffnet spannende Chancen für zukunftsorientierte Anlegerinnen und Anleger.
Jetzt greift er sogar Museen, afroamerikanische Geschichte und das Erbe der indigenen Völker an – per Präsidenten-Dekret. Historiker warnen: Das ist der Kulturkampf von oben!
Trumps Kulturkampf eskaliert: Wie ein Präsident die Geschichte umschreiben will
Mit einem neuen Dekret greift Donald Trump direkt in die Erinnerungskultur der Vereinigten Staaten ein.
Museen, Ausstellungen und sogar Forschungseinrichtungen sollen künftig nur noch Inhalte zeigen, die seiner nationalistischen Weltsicht entsprechen.
Die Maßnahmen erinnern an autoritäre Systeme – und könnten ein weiterer Schritt in Richtung einer illiberalen Demokratie oder gar Diktatur sein.
Das Dekret: „Wiederherstellung von Wahrheit und Vernunft in der amerikanischen Geschichte“
Trump behauptet, linke Kräfte hätten die amerikanische Geschichte verzerrt. Ausstellungen, die sich kritisch mit Rassismus, Kolonialismus oder Diskriminierung auseinandersetzen, sollen künftig als „ideologisch“ und „spalterisch“ gelten – und verboten oder finanziell ausgetrocknet werden.
Museen und Ausstellungen im Visier
Das Dekret zielt vor allem auf die Smithsonian Institution in Washington. Betroffen sind unter anderem:
das National Museum of African American History and Culture
das American Women’s History Museum
das National Museum of the American Indian
und selbst der National Zoo
Beispielhaft nennt Trump die Ausstellung „The Shape of Power: Stories of Race and American Sculpture“, die aufzeigt, wie Macht über Kunst und Darstellung ausgeübt wird. Solche Inhalte sollen künftig unterdrückt werden.
Sklaverei und indigene Völker – die großen Verlierer
Sklaverei wird verharmlost
Das afroamerikanische Museum, das sich mit der Geschichte von Versklavung, Rassismus und Bürgerrechten beschäftigt, steht unter besonderem Beschuss.
Künftig könnten solche Ausstellungen gestrichen oder zensiert werden.
Die kritische Aufarbeitung der Sklaverei droht in Trumps Weltbild zu verschwinden.
Indigene Geschichte wird verdrängt
Auch das National Museum of the American Indian ist betroffen. Die gewaltsame Kolonisierung, die Vertreibung und die Zwangsassimilation der Ureinwohner Nordamerikas könnten in Zukunft nicht mehr thematisiert werden – weil sie angeblich nicht mit „gemeinsamen amerikanischen Werten“ vereinbar sind.
J.D. Vance soll die „Säuberung“ durchsetzen
Trumps Vizepräsident J.D. Vance wird beauftragt, die Inhalte der Museen zu kontrollieren, unliebsame Ideologien zu entfernen und Fördermittel zu kürzen.
Das ist nichts anderes als staatlich verordnete Geschichtspolitik.
Ein größerer Kulturkampf
Das Dekret ist Teil einer umfassenden Kampagne.
Zuletzt wurde bekannt, dass das Pentagon über 26.000 Bilder von offiziellen Webseiten löschen will – darunter Bilder von:
schwarzen Soldaten und Soldatinnen
Frauen in Führungspositionen
LGBTQ-Angehörigen
und selbst das berühmte Foto der „Enola Gay“, wegen des Wortes „gay“
Wie in Russland, Ungarn, der Türkei – und im Nationalsozialismus
Trumps Vorgehen erinnert stark an autoritäre Systeme, die ebenfalls versuchten, Geschichte politisch zu kontrollieren:
Orbáns Ungarn: Gleichschaltung von Museen, Zensur von Gender- und Rassismusforschung, Förderung nationalistischer Erzählungen.
Erdoğans Türkei: Umschreibung der Schulbücher, Ausblendung des Völkermords an den Armeniern, Betonung eines osmanisch-islamischen Nationalstolzes.
Hitlers Deutschland: Auch im Nationalsozialismus wurde Geschichte gezielt umgeschrieben. Die NS-Propaganda verdrängte jüdische, sozialistische und liberale Beiträge zur deutschen Geschichte und ersetzte sie durch arische Heldenmythen und eine verherrlichende Sicht auf das „Deutsche Reich“. Bücher wurden verbrannt, Wissenschaftler verfolgt, Museen gleichgeschaltet. Ziel war es, eine einheitliche, ideologisch kontrollierte Geschichtserzählung zu schaffen – als Grundlage für systematische Ausgrenzung und Unterdrückung.
Fazit: Wer die Vergangenheit kontrolliert, formt die Zukunft
Trumps Dekret ist kein Einzelfall – es ist ein Angriff auf die historische Wahrheit, auf die kulturelle Vielfalt und letztlich auf die Demokratie selbst.
Wenn Sklaverei, Kolonialismus und strukturelle Ungleichheit aus der öffentlichen Erinnerung verbannt werden, bleibt ein künstlich glorifiziertes Amerika zurück – designt für Propaganda, nicht für Wahrheit.
Trump will bestimmen, was als Geschichte gilt – und das ist der erste Schritt auf dem Weg in eine autoritär gesteuerte Gesellschaft.
——
Aus meiner Sichtweise ist dies ein weiterer Schritt, die USA in eine Diktatur umzuwandeln.
Ich war früher sehr gerne in den USA. Und ich erinnere mich noch an den Besuch von Mammoth Cave im Jahre 1976.
Auch hier werden sicherlich dann Geschichtsverfälschungen dann vorgenommen.
So hatte ich es noch mit 15 Jahren beim ersten USA-Urlaub in Erinnerung:
Mammoth Cave National Park (Kentucky) – das erwartet Besucher:
1. Das größte Höhlensystem der Welt
• Über 660 Kilometer erforschte Gänge (Stand heute – und es werden immer noch neue Abschnitte entdeckt!).
• Ein wahres Labyrinth aus Tunneln, Kammern, Schächten und unterirdischen Flüssen.
2. Faszinierende geologische Formationen
• Riesige Hallen wie die Rotunda,
• beeindruckende Tropfsteinformationen,
• unterirdische Dome, Engstellen, Felsspalten,
• Stalaktiten und Stalagmiten (in ausgewählten Bereichen wie Frozen Niagara).
3. Führungen und Touren
• Geführte Touren mit Rangern, z. B.:
• Historic Tour (die klassische Tour mit historischen Infos),
• Domes and Dripstones Tour (für Tropfsteinliebhaber),
• Wild Cave Tour (für Abenteuerlustige – mit Kriechen & Klettern!).
• Einige Touren beinhalten auch Geschichten über die frühe Entdeckung, Sklaverei und Höhlenforschung im 19. Jahrhundert.
4. Historische Bedeutung
• Bereits von indigenen Völkern genutzt, später von Siedlern entdeckt.
• Im 19. Jahrhundert wurden Sklaven als Höhlenführer eingesetzt.
• Wichtige Rolle bei der Salpetergewinnung (für Schießpulver) während des Kriegs von 1812.
5. Unterirdische Flüsse und Tierwelt
• Der Echo River war früher per Boot befahrbar.
• Heimat seltener Höhlentiere, z. B.
• blinde Höhlenfische,
• Höhlensalamander,
• seltene Fledermausarten.
6. Oberirdisch auch sehenswert!
• Wälder, Wanderwege, Radwege, Reitpfade und Flüsse im Nationalparkgebiet.
• Besucherzentrum mit Ausstellung und Museum.
• Zeltplätze, Lodges und Picknickplätze im Grünen.
Die historischen Bedeutungen werden durch die Trump-Administration sicherlich auch ausgelöscht.
Traurig, was in den USA passiert, weil Trump 761.302 Stimmen in den Swingsstaaten mehr erhalten hatte.
Bei der US-Präsidentschaftswahl 2024 gewann Donald Trump alle sieben entscheidenden Swing States. Um zu ermitteln, wie viele zusätzliche Stimmen Kamala Harris benötigt hätte, um diese Staaten zu gewinnen, betrachten wir die jeweiligen Stimmenunterschiede:
• Wisconsin: Trump gewann mit einem Vorsprung von 29.397 Stimmen (0,87 %).
• Nevada: Trumps Vorsprung betrug 46.008 Stimmen (3,10 %).
• Michigan: Hier lag Trump mit 80.103 Stimmen (1,41 %) vorne.
• Georgia: Trumps Vorsprung belief sich auf 115.100 Stimmen (2,20 %).
• Pennsylvania: Hier führte Trump mit 120.266 Stimmen (1,71 %).
• North Carolina: Trumps Vorsprung betrug 183.046 Stimmen (3,21 %).
• Arizona: Trump gewann mit 187.382 Stimmen (5,53 %).
Zusammenfassung:
Insgesamt hätte Kamala Harris in diesen sieben Swing States 761.302 zusätzliche Stimmen benötigt, um die Mehrheiten zu drehen.
Da das US-Wahlsystem auf dem Electoral College basiert, wären Siege in diesen Staaten entscheidend gewesen, um die erforderlichen 270 Wahlmännerstimmen für den Gesamtsieg zu erreichen.
761.302 Amerikaner haben zu einer dramatischen Veränderung in den USA und der Weltgeschichte geführt. Kaum vorstellbar.
Und das nur deshalb, weil das Thema Inflation und Migration von den Amerikanern in den Fokus gehalten wurde.
Daran ist erkennbar, wie Wähler mit ein paar Nebenthemen, die eigentlich nicht so wichtig sind, manipuliert werden.
Auch in Deutschland werden die Wähler mit ein paar Themen geködert, die eigentlich nicht die wichtigsten Themen sind.
Beispiele sind die Attentate durch Islamisten. Ja, es ist schlimm um jeden Menschen der ermordet wird oder misshandelt wird.
Seit 2010 sind durch Islamisten insgesamt 30 Personen gestorben.
Im Verhältnis zu Verkehrstote durch Alkohol, Drogen überhöhte Geschwindigkeit (auch bei Straßenrennen) sind dies jedoch sehr wenige.
Hierzu einmal ein paar Details:
Im Jahr 2023 wurden in Deutschland insgesamt 15.662 polizeilich registrierte Unfälle unter Alkoholeinfluss verzeichnet.
In Deutschland gab es von 2010 bis 2024 insgesamt rund 47.827 Verkehrstote.
Berechnung auf Basis des Gesamttotals 2010–2024: • Gesamttote 2010–2024: 47.827 • Wenn man einen durchschnittlichen Anteil von 8 % ansetzt, ergibt sich: 47.827 × 0,08 ≈ 3.826 Verkehrstote durch Alkohol
Verkehrstote durch überhöhte Geschwindigkeit: Gesamte Verkehrstote 2010–2024: 47.827 • 25 % davon: ca. 11.957
15.783 Verkehrstote sind alleine durch Alkohol und überhöhte Geschwindigkeit in Deutschland zu beklagen.
Dies macht deutlich, wie gerade im Wahlkampf rechtspopulistische Parteien durch bestimmte Themen den Wähler manipulieren!
Und dies ist nicht nur in Deutschland, sondern auch in den USA der Fall.
Die Manipulation der amerikanischen Wähler führt jetzt zu massiven Beschneidungen und zur Unterdrückung der durchschnittlichen Amerikaner.
Es findet gerade ein schnell schleichender Prozess zur Umwandlung in eine Diktatur statt.
Werner Hoffmann – Demokratie der Mitte, weil Extremflügel das Land zerstören -.
Einen Dank an
Roman Sherementa.
für die Überlassung vieler Details.
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Straftäter Donald Trump – Rechtskräftig Verurteilter ist Präsident der USA. In den USA ist es nicht nur möglich vom Tellerwäscher zum Millionär zu werden, sondern auch vom Straftäter zum Präsident. Ist Trump vielleicht auch ein Agent von Putin?
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Putins Agent? – Die 28 dunklen Russland-Geheimnisse des Donald Trump!
Seit Jahren halten sich hartnäckige Gerüchte, dass Donald Trump, der 45. Präsident der Vereinigten Staaten, mehr als nur zufällige Kontakte nach Russland unterhält. Neue Informationen und eine systematische Auflistung zahlreicher Verbindungen – zusammengetragen von George Popko – zeichnen ein verstörendes Gesamtbild: Es könnte sich nicht nur um politische Nähe, sondern um eine strategische Einflussnahme handeln. Im Folgenden analysieren wir diese Indizien im Detail.
1. Dubiose Finanzspritzen für Trump Media
Im Jahr 2021 erhielt Trump Media & Technology Group (TMTG) 8 Millionen Dollar von Unternehmen mit Russland-Verbindungen, darunter die Paxum Bank (mit Anton Postolnikov) und der ES Family Trust. Die US-Bundesregierung ermittelt derzeit wegen möglicher illegaler Einflussnahme.
2. US-Behörden ermitteln
Die SEC und das DOJ leiteten 2022 Ermittlungen gegen TMTG und DWAC wegen undurchsichtiger Finanzgeschäfte ein. Der Verdacht: Mögliche Tarnung für ausländische Einflussnahme.
3. Pro-russische Außenpolitik
Trump stellte sich politisch mehrfach auf die Seite Russlands: Kritik an der NATO, Stopp von Ukraine-Hilfen und Unterstützung rechtsextremer Gruppen in Europa sprechen eine klare Sprache.
4. Friedensgespräche als Ablenkungsmanöver?
2025 begann Trump in Saudi-Arabien angebliche Friedensgespräche mit der Ukraine – während er gleichzeitig US-Geheimdienst- und Militärhilfe für Kiew einfrieren ließ.
5–15. Ein Netzwerk mit Russland-Verbindungen
Paul Manafort: Trumps Ex-Wahlkampfleiter, verurteilt, Kontakte zu russischen Agenten.
Michael Flynn: Log über Gespräche mit dem russischen Botschafter.
George Papadopoulos: Belog Ermittler zu Russland-Kontakten.
Roger Stone: Verurteilt wegen Zeugenmanipulation rund um WikiLeaks.
Michael Cohen: Belog den Kongress über Trump Tower Moskau.
Jared Kushner: Hielt geheime Treffen mit russischen Beamten.
Jeff Sessions: Traf sich heimlich mit dem russischen Botschafter.
Wilbur Ross: Investierte in Firmen mit Russland-Verbindungen.
J.D. Gordon: Beeinflusste das Ukraine-Programm der Republikaner.
Erik Prince: Traf einen Kreml-nahen Geldgeber auf den Seychellen.
16. Entlassung von FBI-Chef Comey
Trump feuerte James Comey mitten in den Russland-Ermittlungen – ein möglicher Versuch, die Aufklärung zu blockieren.
17. Russische Hacker im Wahlkampf
US-Ermittlungen belegten: Kreml-Agenten hackten demokratische Server, halfen so indirekt Trump – via WikiLeaks.
18. Lob für Putin
Trump pries Putin öffentlich immer wieder – selbst nach der Krim-Annexion und dem Ukraine-Krieg.
19. Russische Propaganda
Staatliche russische Medien und Internetkampagnen unterstützten 2016 offen Trump – auf Anweisung des Kremls?
20–22. Leugnung und gleichzeitige Russland-Geschäfte
Trump: Behauptete öffentlich, keine Russland-Kontakte zu haben.
Eric Trump: Soll gesagt haben, Russland finanziere die Trump Org.
Don Jr.: Sagte 2008, ein großer Teil des Trump-Vermögens stamme aus Russland.
23. Luxusimmobilie an Oligarchen verkauft
Trump verkaufte ein Anwesen in Palm Beach für 95 Mio. Dollar an den Oligarchen Dmitri Rybolowlew – doppelt so viel wie der ursprüngliche Kaufpreis.
24. Geheimer Server zur Alfa Bank
Es gibt Hinweise auf einen Server zwischen Trump Org und der russischen Alfa Bank – Verdacht auf verdeckten Kommunikationskanal.
25. Mueller-Ermittlung: Viele Anklagen, keine gegen Trump
Der Mueller-Report führte zu zahlreichen Verurteilungen im Trump-Umfeld – Trump selbst kam jedoch ungeschoren davon.
26. Trumps Steuergeheimnis
Trump weigerte sich jahrelang, seine Steuererklärungen offenzulegen – was Spekulationen über Russland-Geschäfte befeuerte.
27. Miss Universe 2013 in Moskau
Trump war Gastgeber in Moskau, traf Investoren – und warb nebenbei für den „Trump Tower Moscow“.
28. Felix Sater und der Moskau-Deal
Ein verurteilter Krimineller, Felix Sater, trieb während des Wahlkampfs einen Moskau-Immobiliendeal für Trump voran – mit Wissen der Trump-Org.
Fazit: Ein Mosaik des Einflusses
Die Vielzahl an Verbindungen, Kontakten, Transaktionen und politischen Entscheidungen ergibt ein bedenkliches Gesamtbild. Es ist das Bild eines Präsidenten, der sich nicht nur Putins Interessen angenähert hat, sondern aktiv in eine russische Einflussstrategie eingebunden gewesen sein könnte.
Darin enthalten waren auch vertrauliche Details zu US-Angriffen, die Experten zufolge vor der Durchführung der Angriffe höchstwahrscheinlich streng geheim waren. Um die neuen Informationen zu berücksichtigen, wurden zusätzliche Nachrichten hinzugefügt und einigen bestehenden Nachrichten weiteres Material hinzugefügt.
Auszüge aus einem Signal-Chat, die am Montag von The Atlantic veröffentlicht wurden, bieten einen seltenen und aufschlussreichen Einblick in die privaten Gespräche hochrangiger Beamter der Trump-Regierung, während diese Pläne für US-Angriffe auf Ziele der Huthi im Jemen erwogen.
An dem Chat, der vom Nationalen Sicherheitsberater Michael Waltz erstellt wurde, nahmen unter anderem
– Vizepräsident Vance, Verteidigungsminister
– Pete Hegseth
– und CIA-Direktor John Ratcliffe
– sowie hochrangige Beamte teil, deren vollständige Namen nicht aufgeführt waren.
Unter ihnen befanden sich
– „MAR“, die Initialen von Außenminister Marco Rubio;
– „TG“, die Initialen der Geheimdienstdirektorin TulsiGabbard;
„Scott B“, der offenbar Finanzminister Scott Bessentdarstellte;
– und „SM“, die Initialen des stellvertretenden Stabschefs des Weißen Hauses, Stephen Miller.
Präsident Trump spielte die unbeabsichtigte Aufnahme von Jeffrey Goldberg, dem Chefredakteur des „Atlantic“, in die Gruppe herunter und behauptete, die Behörden hätten keine geheimen Informationen weitergegeben.
Die neuen Enthüllungen vom Mittwoch führten jedoch zu zunehmenden Forderungen der Demokraten nach Hegseths Rücktritt.
Sie warfen ihm vor, er habe sich rücksichtslos verhalten und amerikanische Truppen gefährden können .
Nachfolgend finden Sie eine Reproduktion des Chats mit kommentierter Analyse unserer Reporter.
Donnerstag, 13. März
Michael Waltz
Team – Aufbau einer Prinzipiengruppe zur Koordinierung der Houthis, insbesondere für die nächsten 72 Stunden. Mein Stellvertreter Alex Wong stellt ein Tiger-Team auf der Ebene der Stellvertreter und Stabschefs der Behörde zusammen, das die Ergebnisse der heutigen Sitzung im Sitzungssaal zu den Aktionspunkten nachbereitet und diese im Laufe des Abends veröffentlichen wird.
Bitte stellen Sie uns den besten POC-Mitarbeiter aus Ihrem Team zur Verfügung, mit dem wir uns in den nächsten Tagen und am Wochenende abstimmen können. Danke.
16:28 Uhr
Der Hauptausschuss ist die höchste Ebene des Nationalen Sicherheitsrats und setzt sich aus Kabinettsmitgliedern und deren Äquivalenten zusammen. Die Hauptausschussmitglieder diskutieren häufig verschiedene Vorgehensweisen und legen diese dem Präsidenten zur endgültigen Entscheidung vor.
Die Houthis sind eine vom Iran unterstützte Gruppe im Jemen, deren Angriffe im Roten Meer die Schifffahrtskosten dramatisch erhöht haben.
Die Biden-Regierung versuchte, ihre Angriffe mit Angriffen von Flugzeugträgern einzudämmen, jedoch mit begrenztem Erfolg.
Ein Tiger-Team ist eine Gruppe von Personen, die vom Nationalen Sicherheitsrat für eine bestimmte Aufgabe zusammengestellt wird.
Herr Waltz spricht hier davon, Mitarbeiter der Auftraggeber zusammenzubringen, um spezifische Probleme im Zusammenhang mit der verstärkten Kampagne gegen die Houthis zu bearbeiten.
—Julian E. Barnes
BESCHÄDIGEN
Mike Needham für den Staat
16:29 Uhr
Rubio selbst hat sich nicht zu der Angelegenheit geäußert. Am Montag erklärte die Sprecherin des Außenministeriums, sie werde seine „Beratungsgespräche“ nicht kommentieren und verwies für weitere Fragen an das Weiße Haus. Needham ist neben seiner beratenden Funktion auch Rubios Stabschef.
– Michael Crowley
JD Vance
Andy Baker als Vizepräsident
16:29 Uhr
TG
Joe Kent für DNI
16:30 Uhr
Frau Gabbard befand sich während des SMS-Austauschs auf internationaler Reise.
Am 12. März war sie auf Hawaii, bevor sie nach Asien weiterreiste. Ihre Reise führte sie über Japan und Thailand, bevor sie am 16. März, einen Tag nach dem Streik, in Indien ankam.
—Julian E. Barnes
Scott B
Dan Katz für das Finanzministerium
16:39 Uhr
Pete Hegseth
Dan Caldwell für das Verteidigungsministerium
16:53 Uhr
John Ratcliffe
[Inhalt der Nachricht nicht von The Atlantic veröffentlicht]
17:24 Uhr
Herr Goldberg berichtete, dass Herr Ratcliffe an dieser Stelle des Chats den Namen eines aktiven CIA-Geheimdienstmitarbeiters als Kandidaten für die Gruppe genannt habe. In einer Anhörung am Dienstag sagte Herr Ratcliffe, der Beamte sei nicht verdeckt tätig gewesen. Die CIA hält die Namen ihrer Mitarbeiter jedoch gerne geheim, damit sie auch künftig Auslandseinsätze annehmen können.
—Julian E. Barnes
Brian
Brian McCormack für NSC
18:34 Uhr
Freitag, 14. März
Michael Waltz
Team, Sie sollten heute Morgen eine Schlussfolgerung mit Aufgabenstellungen gemäß den Richtlinien des Präsidenten in Ihren High-Side-Posteingängen haben.
Wir haben gemeinsam mit dem Staat und dem Verteidigungsministerium empfohlene Benachrichtigungslisten für regionale Verbündete und Partner entwickelt.
Der gemeinsame Stab wird Ihnen in den kommenden Tagen einen genaueren Ablauf der Ereignisse mitteilen und wir werden mit dem Verteidigungsministerium zusammenarbeiten, um sicherzustellen, dass COS, OVP und POTUS informiert werden.
8:05 Uhr
Regierungsbeamte arbeiten manchmal im geheimen System der „High Side“ und manchmal im nicht geheimen System der „Low Side“. Die gesamte Konversation findet jedoch weder im geheimen System der „High Side“ noch im nicht geheimen System der „Low Side“ statt, sondern in einer öffentlich zugänglichen Messaging-App.
—Devlin Barrett
2 Anmerkungen
JD Vance
Team, ich bin heute für eine Wirtschaftsveranstaltung in Michigan unterwegs. Aber ich glaube, wir machen einen Fehler.
Drei Prozent des US-Handels laufen über den Suezkanal. 40 Prozent des europäischen Handels. Es besteht die reale Gefahr, dass die Öffentlichkeit dies nicht versteht und nicht versteht, warum es notwendig ist. Der wichtigste Grund dafür ist, wie Präsident Trump sagte, ein Zeichen zu setzen.
Ich bin mir nicht sicher, ob dem Präsidenten bewusst ist, wie sehr dies seiner aktuellen Europa-Botschaft widerspricht. Es besteht außerdem das Risiko eines moderaten bis starken Anstiegs der Ölpreise.
Ich bin bereit, den Konsens des Teams zu unterstützen und diese Bedenken für mich zu behalten. Es gibt jedoch ein starkes Argument dafür, dies um einen Monat zu verschieben, die Botschaften zu vermitteln, warum dies wichtig ist, die wirtschaftliche Lage zu beobachten usw.
8:16 Uhr
1 Herr Vance, ein Militärveteran, der am 14. März in Michigan eine Kunststofffabrik besichtigte, äußerte sich stets skeptisch gegenüber einer Verwicklung der USA in ausländische Konflikte. Sein Argument – er plädiert dafür, einen Angriff abzuwarten und in der Zwischenzeit die Öffentlichkeit von seiner Notwendigkeit zu überzeugen –entspricht seinem Ansatz.
– Maggie Haberman
2 Herr Vance, der in der Kritik stand, weil er sich vom Trump-Kritiker zum Anhänger Trumps gewandelt hatte, versuchte, die Enthüllung zu bereinigen, er habe das Urteil des Präsidenten in einer großen Gruppe in Frage gestellt, nachdem Auszüge des Chats öffentlich geworden waren. In einer Erklärung sagte sein Sprecher: „Vizepräsident Vance unterstützt die Außenpolitik dieser Regierung uneingeschränkt.“
„Der Präsident und der Vizepräsident haben anschließend Gespräche über diese Angelegenheit geführt und sind sich völlig einig“, heißt es in der Erklärung.
– Erica L. Green
Neu
Joe Kent
Der Zeitplan ist nicht zeitkritisch. In einem Monat haben wir genau die gleichen Optionen.
Die Israelis werden wahrscheinlich Angriffe durchführen und uns deshalb um weitere Waffen bitten, um die Waffen aufzustocken, die sie gegen die Houthis einsetzen. Aber das ist ein nebensächlicher Faktor.
Ich werde Ihnen die unklassifizierten Daten senden, die wir zum BAM-Versand abgerufen haben.
8:22 Uhr
Joe Kent, der von Trump für die Leitung des Nationalen Zentrums für Terrorismusbekämpfung nominiert wurde, fungiert als Stabschef von Frau Gabbard, während dieser auf seine Bestätigung wartet. Die Houthis haben Israel seit Beginn des Gaza-Krieges mehrfach angegriffen und damit israelische Vergeltungsmaßnahmen ausgelöst. Kent spielt auf die Annahme an, dass Israel die Houthis nach den US-Angriffen angreifen und die USA anschließend um Munition bitten wird, um die von ihnen eingesetzten Waffen zu ergänzen. Diese Vorhersage hat sich als richtig erwiesen. Israel hat Ziele der Houthis angegriffen, unter anderem diese Woche nach einem versuchten Angriff der Houthis auf Israel.
—Julian E. Barnes
Neu
John Ratcliffe
Aus Sicht der CIA mobilisieren wir derzeit Ressourcen zur Unterstützung, aber eine Verzögerung hätte keine negativen Auswirkungen auf uns, und die zusätzliche Zeit würde genutzt werden, um bessere Ausgangspunkte für die Berichterstattung über die Houthi-Führung zu finden.
8:26 Uhr
Dieser Kommentar von Herrn Ratcliffe ist höchstwahrscheinlich das Material, das der Atlanticursprünglich zurückhielt, weil er vermutete, dass es sich auf eine Geheimdienstoperation beziehen könnte. In seiner Aussage vor dem Senat am Dienstag sagte Herr Ratcliffe, seine Kommentare seien nicht geheim.
Die Agentur diskutiert ihre Bemühungen, Informationen über Anführer verfeindeter Gruppen zu sammeln, normalerweise nicht einmal allgemein, doch Verbündete von Herrn Ratcliffe werden argumentieren, die Informationen seien allgemein genug, um nicht geheim zu sein. Und Herr Ratcliffe war im Gegensatz zu Herrn Hegseth deutlich vorsichtiger in dem, was er preisgab.
Es ist schwer zu argumentieren, dass irgendetwas hier, jetzt, da es bekannt ist, die Bemühungen der Agentur, Informationen über die Houthiszu sammeln, beeinträchtigen könnte.
—Julian E. Barnes
5 Anmerkungen
Pete Hegseth
Vizepräsident:
Ich verstehe Ihre Bedenken und unterstütze Sie voll und ganz dabei, diese gegenüber dem US-Präsidenten anzusprechen.
Wichtige Überlegungen, deren Auswirkungen meist schwer vorherzusagen sind (Wirtschaft, Frieden in der Ukraine, Gaza usw.). Ich denke, die Kommunikation wird so oder so schwierig – niemand weiß, wer die Houthis sind.
Deshalb müssen wir uns auf Folgendes konzentrieren: 1) Biden hat versagt und 2) Iran finanziert.
Ein paar Wochen oder einen Monat zu warten, ändert die Kalkulation nicht grundlegend.
Zwei unmittelbare Risiken des Abwartens: 1) Die Nachricht sickert durch, und wir wirken unentschlossen; 2) Israel ergreift zuerst Maßnahmen – oder der Waffenstillstand im Gazastreifen platzt – und wir können die Sache nicht nach unseren eigenen Vorstellungen angehen.
Wir können beides bewältigen.
Wir sind bereit, dies zu tun, und wenn ich die endgültige Entscheidung hätte, ob wir es tun sollen, dann sollten wir es tun. Es geht hier nicht um die Houthis.
Ich sehe es als zwei Ziele:
1) die Wiederherstellung der Freiheit der Schifffahrt, ein zentrales nationales Interesse; und
2) die Wiederherstellung der Abschreckung, die Biden zunichte gemacht hat.
Aber wir können jederzeit eine Pause einlegen. Und wenn ja, werde ich alles tun, um 100 % OPSEC durchzusetzen. Andere Meinungen sind mir willkommen.
8:27 Uhr
1 Seit seinem Amtsantritt als Verteidigungsminister konzentriert sich Pete Hegseth auf die Vermittlung von Botschaften.
Er nutzt seine Erfahrung als Moderator bei Fox News, um in den sozialen Medien scharfe Angriffe auf Gegner abzufeuern und Präsident Trump in nahezu allen Fragen der nationalen Sicherheit zu unterstützen.
Daher ist es verständlich, dass er sich auf die Vermittlung von Botschaften für die Angriffe konzentriert.
– Helene Cooper
2 Es ist bemerkenswert, dass Herrn Hegseths erste Sorge hier lautete: „Das sickert durch, und wir wirken unentschlossen.“ Die Öffentlichkeit sieht nun, wie lange die nationalen Sicherheitsbeamten anfangs darüber debattierten, ob sie mit dem Plan fortfahren sollten.
– Erica L. Green
3 Bei der Bewältigung der Folgen des Lecks konzentrierte sich die Regierung auf die Ergebnisse der Mission.
In einer der am Dienstag veröffentlichten Erklärungen des Weißen Hauses hieß es: „Die Huthi-Terroristen haben für die Aktionen der Trump-Regierung bezahlt.“ Sie kritisierte außerdem die Untätigkeit des ehemaligen Präsidenten Biden gegen die Gruppe, die angeblich „mit präzisionsgelenkten Waffen aus dem Iran“ bewaffnet sei.
– Erica L. Green
4 Dies ist eine der umfassenderen außenpolitischen Debatten, die die Leser seit Amtsantritt der Regierung verfolgen konnten.
Ohne zu wissen, was in dem Chat, den The Atlanticnicht veröffentlichte, noch weiter besprochen wurde, ist bemerkenswert, dass Trump, Hegseth und Waltz offenbar vieles davon geklärt haben und der Rest der Gruppe über die Geschehnisse informiert ist.
– Maggie Haberman
5 Die Verweise auf OPSEC – operative Sicherheit oder die Vorstellung, dass die Informationen nicht durchgesickert seien – wirken im Nachhinein fast komisch, wenn man bedenkt, dass versehentlich ein Journalist zum Chat hinzugefügt wurde.
—Julian E. Barnes
Neu
Michael Waltz
Die uns vorliegenden Handelszahlen belaufen sich auf 15 % des weltweiten und 30 % des Containerverkehrs. Eine Herabstufung auf die USA ist schwierig. Konkret bedeutet dies, dass ein Großteil der Container entweder durch das Rote Meer oder um das Kap der Guten Hoffnung transportiert wird. Unser Anteil geht nach Europa und wird dort zu Fertigwaren für den transatlantischen Handel in die USA verarbeitet.
Unabhängig davon, ob wir heute den Stecker ziehen oder nicht, sind die europäischen Marinen nicht in der Lage, sich gegen die hochentwickelten Antischiffsraketen, Marschflugkörper und Drohnen zu verteidigen, die die Houthis derzeit einsetzen. Daher müssen die Vereinigten Staaten, ob jetzt oder in einigen Wochen, diese Schifffahrtswege wieder öffnen. Auf Ersuchen des Präsidenten arbeiten wir mit dem US-Verteidigungs- und Außenministerium zusammen, um die damit verbundenen Kosten zu ermitteln und sie den Europäern aufzuerlegen.
8:32 Uhr
Neu
Michael Waltz
Wie wir im ersten PC erklärt haben, stehen wir vor der grundsätzlichen Entscheidung, die Seewege geschlossen zu lassen oder sie jetzt oder später wieder zu öffnen. Leider sind wir die Einzigen, die dazu in der Lage sind.
Aus Sicht der Nachrichtenübermittlung ist dies definitiv einer der Gründe, warum die Europäer in ihre Verteidigung investieren müssen.
8:42 Uhr
2 Anmerkungen
JD Vance
@Pete Hegseth, wenn du denkst, wir sollten es tun, dann los.
Ich hasse es einfach, Europa erneut retten zu müssen.
8:45 Uhr
1 Der Vizepräsident hatte Europa bereits vor der Veröffentlichung dieser Botschaften auf vielfältige Weise vor den Kopf gestoßen.
In Großbritannien sorgte er kürzlich für Aufruhr, nachdem er behauptet hatte, ein amerikanisches Wirtschaftsabkommen mit der Ukraine sei eine bessere Sicherheitsgarantie für das Land als „20.000 Soldaten aus irgendeinem Land, das seit 30 oder 40 Jahren keinen Krieg mehr geführt hat“. Und er schockierte Deutschland, als er auf der Münchner Sicherheitskonferenz erschien und die Europäer an die Gesetze zur freien Meinungsäußerung erinnerte.
—Shawn McCreesh
2 Die Vorstellung, dass Europa in militärischen Angelegenheiten seinen Beitrag nicht leiste, war ein häufiges Thema der Trump-Administration, auch während der Europabesuche von Herrn Vance und Herrn Hegseth im Februar.
—Julian E. Barnes
JD Vance
Wir müssen sicherstellen, dass unsere Botschaft hier klar formuliert ist. Und wenn wir im Vorfeld etwas tun können, um das Risiko für die saudischen Ölanlagen zu minimieren, sollten wir das tun.
8:46 Uhr
Die Möglichkeit, dass amerikanische Angriffe auf die Huthi-Rebellen Angriffe auf Saudi-Arabien und eine Wiederaufnahme des brutalen Krieges des Königreichs im Jemen auslösen könnten, war eine der Hauptsorgen der Biden-Regierung und ein Hauptgrund dafür, dass das Weiße Haus bei seinen Angriffen auf Huthi-Ziele mit einer gewissen Zurückhaltung vorging.
—Julian E. Barnes
3 Anmerkungen
Pete Hegseth
VP:
Ich teile Ihre Abneigung gegen das europäische Trittbrettfahren voll und ganz. Es ist erbärmlich.
Aber Mike hat Recht, wir sind die Einzigen auf dem Planeten (auf unserer Seite), die das können.
Niemand sonst kommt dem auch nur nahe.
Die Frage ist der Zeitpunkt. Ich denke, jetzt ist ein ebenso guter Zeitpunkt wie jeder andere, angesichts der Anweisung des US-Präsidenten, die Schifffahrtswege wieder zu öffnen.
Ich denke, wir sollten gehen; aber der US-Präsident hat noch 24 Stunden Entscheidungsspielraum.
8:49 Uhr
1 Herr Hegseth wiederholt hier die Kritik der Trump-Regierung, dass die US-Marine mehr für die Offenhaltung der Schifffahrtswege durch den Suezkanal tue als die europäischen Seestreitkräfte. DieVerwendungvonBegriffenwie „abscheulich“ und „erbärmlich“ dürfte seine nächsten Treffen mit europäischen Kollegen heikel machen.
– Helene Cooper
2 Hätte sich der interne Schlagabtausch innerhalb eines Regierungsgebäudes abgespielt, könnte man ihn durchaus als geheim betrachten:
Es handelt sich um eine Debatte hochrangiger Beamter über Außenpolitik.
Doch auf einer anderen, grundlegenderen Ebene ist er alles andere als geheim:
Herr Vance und andere haben sich in der Öffentlichkeit verächtlich über europäische Staats- und Regierungschefs geäußert.
—Devlin Barrett
3 Der Präsident wurde am Dienstagnachmittag gefragt, ob er dieser im Signal-Chat enthüllten Einschätzung zustimme. „Äh, wollen Sie wirklich, dass ich diese Frage beantworte?“, antwortete er und fügte hinzu: „Ja, ich glaube, sie haben sich auf Kosten anderer bereichert.“
—Shawn McCreesh
SM
Wie ich gehört habe, war der Präsident eindeutig: grünes Licht, aber wir müssen Ägypten und Europa schnell klarmachen, was wir im Gegenzug erwarten.
Wir müssen auch herausfinden, wie wir diese Forderung durchsetzen können.
Wenn Europa beispielsweise keine Gegenleistung erbringt, was dann? Wenn die USA die Freiheit der Schifffahrt unter großen Kosten erfolgreich wiederherstellen, muss im Gegenzug ein weiterer wirtschaftlicher Gewinn erzielt werden.
9:35 Uhr
Ob Stephen Miller oder jemand anderes diesen Artikel verfasst hat, der merkantilistische Ansatz der Trump-Präsidentschaft tritt hier voll zutage.
– Maggie Haberman
Pete Hegseth
Zustimmen
9:46 Uhr
Samstag, 15. März
Neue 6 Anmerkungen
Pete Hegseth
TEAM-UPDATE:
Aktuelle Uhrzeit (11:44 Uhr ET): Das Wetter ist günstig. Gerade von CENTCOM bestätigt, dass der Missionsstart möglich ist.
1215et: F-18 START (Erstschlagpaket)
1345: „Trigger Based“ F-18 Erstschlagfenster beginnt (Zielterrorist ist an seinem bekannten Standort, also SOLLTE er PÜNKTLICH SEIN) – außerdem Start der Angriffsdrohnen (MQ-9s)
1410: Start weiterer F-18 (Zweitschlagpaket)
1415: Drohnenangriff auf Ziel (DIESER ZEITPUNKT WERDEN DEFINITIV DIE ERSTEN BOMBEN ABFALLEN, vorbehaltlich früherer „auslöserbasierter“ Ziele)
1536: Der Zweitschlag der F-18 beginnt – außerdem werden die ersten seegestützten Tomahawks gestartet.
WEITERES FOLGT (pro Zeitleiste)
Wir sind derzeit sauber in Bezug auf OPSEC.
Viel Glück unseren Kriegern.
11:44 Uhr
1 The Atlantic hatte diese Nachricht von Herrn Hegsethzunächst zurückgehalten, veröffentlichte sie aber am Mittwoch, nachdem das Weiße Haus erklärt hatte, der Chat enthalte kein vertrauliches Material. Wie wir jetzt sehen, enthielt die Nachricht sehr genaue Angaben zum Zeitpunkt der Starts der Flugzeugträger, die Ziele der Huthi angreifen sollten. Startzeiten sind streng geheime Informationen, um sicherzustellen, dass sich die Ziele nicht verstecken oder einen Gegenangriff starten können, wenn die Flugzeuge abheben und potenziell verwundbar sind.
—Julian E. Barnes
2 In den Nachrichten beschreibt Herr Hegseth Luftangriffe von F/A-18F Super Hornets der Navy, die vom Flugzeugträger Harry S. Truman im Roten Meer gestartet werden, sowie MQ-9 Reaper-Drohnen, die von Landbasen im Nahen Osten aus starten. Der „Zielterrorist“, den Herr Hegseth im Chat beschreibt, ist ein nicht identifizierter Houthi-Kommandeur in einem Teil des Jemen, der von der vom Iran unterstützten militanten Gruppe kontrolliert wird. Trumps Berater haben gesagt, ein großer Unterschied zwischen den seit dem 15. März angeordneten Angriffen und denen, die vom ehemaligen Präsidenten Joseph R. Biden autorisiert wurden, bestehe darin, dass Trump den US-Kommandeuren in der Region mehr Autorität übertragen habe, um auch Houthi-Kommandeure und -Anführer anzugreifen, und nicht nur Radaranlagen, Waffendepots und andere Orte.
—Eric Schmitt
3 Die Details, die Herr Hegseth im Signal-Chat preisgab, waren eher ein Zeitplan als ein detaillierter „Kriegsplan“, der weitaus detaillierter gewesen wäre. Doch das dürfte dem Verteidigungsminister nicht zugutekommen. Entscheidend ist der Zeitpunkt: Wären diese Informationen durchgesickert, hätten die von den USA im Jemen ins Visier genommenen Personen Zeit zur Flucht gehabt. Und Hegseths Verweis auf OPSEC – operative Sicherheit – zeigte, dass er sich der Notwendigkeit der Geheimhaltung bewusst war.
– David Sanger
4 Hegseth antwortete auf Fragen zu dem Chat zweimal, dass „niemand Kriegspläne per SMS verschickt“ habe. Die Offenlegung des genauen Zeitpunkts und der Reihenfolge der Angriffe würde das Pentagon jedoch nur über sichere Regierungskanäle ermöglichen.
– Helene Cooper
5 Die neuen Nachrichten deuten darauf hin, dass TulsiGabbard, die Direktorin des Nationalen Geheimdienstes, bei ihrem gestrigen Auftritt vor dem Senat einen kritischen Teil des Gesprächs möglicherweise falsch dargestellt hat. Senator Martin Heinrich, Demokrat aus New Mexico, fragte Gabbard: „Konkrete operative Fragen waren nicht Gegenstand dieses Gesprächs?“ Ihre Antwort: „Richtig.“ Angesichts der Startzeiten, die die Verteidigungsministerin im Chat preisgab, werden die Demokraten im Repräsentantenhaus sie heute zweifellos dazu bedrängen.
—Julian E. Barnes
6 Das Weiße Haus bewegt sich hier auf einem ziemlich schwierigen Weg. Es betonte, es handele sich nicht um vertrauliche Informationen, und spielte die Probleme einer solchen Diskussion über eine Messaging-App für Privatkunden herunter. Doch angesichts der zusätzlichen Details – eher ein Zeitplan als ein detaillierter Kriegsplan, wie Sanger anmerkt – ist es noch rätselhafter, warum dies unter fast 20 hochrangigen Beratern außerhalb der sicheren Kommunikationskanäle der Regierung besprochen werden sollte.
– Maggie Haberman
JD Vance
Ich werde ein Gebet für den Sieg sprechen
12:13 Uhr
Neu
Michael Waltz
Vizepräsident. Gebäude eingestürzt. Mehrere positive Identifikationen. Pete, Kurilla, der IC, tolle Arbeit.
13:48 Uhr
Neu
JD Vance
Was?
Neu
Michael Waltz
Ich tippe zu schnell. Das erste Ziel – ihr Raketenspezialist – wurde eindeutig identifiziert, als er das Gebäude seiner Freundin betrat, und jetzt ist es eingestürzt.
14:00 Uhr
JD Vance
Exzellent
14:01 Uhr
John Ratcliffe
Ein guter Anfang
14:36 Uhr
Michael Waltz
16:58 Uhr
BESCHÄDIGEN
Gute Arbeit, Pete und dein Team!!
17:14 Uhr
Michael Waltz
Auch das Team von MAL hat großartige Arbeit geleistet.
17:15 Uhr
Dies deutet darauf hin, dass die Gruppe wusste, was ihr Chef letztlich wollte – einen Sieg. Als Reaktion auf das Leck konzentrierten sich Trump und Beamte des Weißen Hauses auf den erfolgreichen Ausgang der Mission, um von der peinlichen und problematischen Art und Weise abzulenken, wie die Überlegungen dazu ans Licht kamen.
„Sie haben eine große Sache daraus gemacht, weil wir zwei perfekte Monate hatten“, sagte Trump am Dienstag.
– Erica L. Green
SM
Tolle Arbeit, alle zusammen. Starker Start.
17:18 Uhr
Die Angriffe waren der Auftakt zu einer neuen Offensive gegen die Houthis und eine klare Botschaft an den Iran, wie Trumps Vertreter gegenüber Reportern erklärten. Bei der Ankündigung der Angriffe sagte Trump: „An den Iran: Die Unterstützung der Houthi-Terroristen muss SOFORT beendet werden! Drohen Sie NICHT dem amerikanischen Volk, seinem Präsidenten, der eines der umfangreichsten Mandate in der Geschichte der Präsidenten erhalten hat, oder den weltweiten Schifffahrtswegen. Sollten Sie dies dennoch tun, dann seien Sie vorsichtig, denn Amerika wird Sie voll zur Verantwortung ziehen.“
– Helene Cooper
Neu
Pete Hegseth
CENTCOM war/ist auf dem Punkt. Tolle Arbeit, alle zusammen. Weitere Angriffe dauern seit Stunden heute Nacht an, und morgen wird ein vollständiger erster Bericht vorgelegt. Aber pünktlich, im Plan und bisher gute Ergebnisse.
17:20 Uhr
Nach einer ersten Angriffsrunde schrieb der Verteidigungsminister in dem Chat, dass „CENTCOM vor Ort war/ist“, und meinte damit das Zentralkommando des Militärs, das für die Operation verantwortlich war.
—Eric Schmitt
Susie Wiles
Ein großes Lob an alle – insbesondere an die im Theater und CENTCOM! Wirklich großartig. Gott segne euch.
17:21 Uhr
Neben dem Chatprotokoll veröffentlichte The AtlanticScreenshots der Teilnehmerliste, darunter Susie Wiles, Stabschefin des Weißen Hauses, und Dan Katz, Stabschef des Finanzministeriums. Besonders bemerkenswert ist jedoch, wer nicht dabei ist: Admiral Christopher Grady, amtierender Vorsitzender der Vereinigten Stabschefs und ranghöchster militärischer Berater des Präsidenten und des Verteidigungsministers. Es ist unerhört, dass der ranghöchste Offizier des Pentagons nicht an einer hochrangigen Besprechung einer Militäroperation teilnimmt.
– Helene Cooper
Steve Witkoff
17:47 Uhr
Herr Witkoff, der als Sondergesandter für den Nahen Osten und Russland fungiert, soll SMS-Apps relativ sparsam nutzen. Er befand sich in Russland, als er der Gruppe hinzugefügt wurde, und schien sich zum Zeitpunkt seiner Antwort wieder in den USA zu befinden, so eine über seinen Aufenthaltsort informierte Person. Herr Witkoff postete am Mittwoch auf X, dass er in Moskau nur ein sicheres Regierungstelefon dabei habe und erst nach seiner Rückkehr auf seine privaten Geräte zugegriffen habe.
– Maggie Haberman
TG
Tolle Arbeit und Effekte!
18:35 Uhr
Wir wissen nicht, ob die Textkette fortgesetzt wurde, weil Herr Goldberg sich aus dem Chat zurückgezogen hat. Er schrieb im „The Atlantic“, dass er nach den Angriffen davon überzeugt war, dass der Chat echt war, und sich deshalb aus dem Chat zurückgezogen habe.
Werner Hoffmann – Demokratie der Mitte, weil Extremflügel das Land zerstören –
Ein durchgesickerter Chatverlauf hochrangiger US-Regierungsmitglieder sorgt für Aufsehen:
Ausgerechnet in einem öffentlichen Messenger-Dienst wurde eine interne Diskussion über einen US-Militärschlag gegen die Huthi-Rebellen im Jemen versehentlich mit einem Journalisten von The Atlantic geteilt.
Der Vorfall gibt seltene Einblicke in die Denkweise von Trumps außenpolitischem Führungskreis – und enthüllt vor allem eines: eine unverhohlene Geringschätzung Europas.
“Ich hasse es, Europa wieder zu retten”
Im Zentrum des geleakten Gesprächs stehen Vizepräsident J.D. Vance, Verteidigungsminister Pete Hegseth und Sicherheitsberater Michael Waltz.
Die Diskussion dreht sich um einen geplanten Militärschlag gegen die Huthis, die seit Monaten wichtige Seehandelsrouten am Roten Meer stören.
Vance äußert Bedenken – nicht aus strategischen oder humanitären Gründen, sondern weil die Aktion Europas Wirtschaft mehr helfen könnte als der amerikanischen.
„Ich glaube, wir machen einen Fehler“, schreibt er. „3 Prozent des US-Handels laufen durch den Suezkanal – 40 Prozent des europäischen.“
Er bringt damit auf den Punkt, was viele in Europa seit langem befürchten:
Dass sich die USA unter Trump zunehmend aus der Verantwortung für globale Stabilität zurückziehen – zumindest dann, wenn daraus kein unmittelbarer Vorteil für Amerika entsteht.
Vance weiter: „Ich hasse es einfach, Europa schon wieder rauszuhauen.“
Hegseth nennt Europas Haltung „erbärmlich“
Auch Verteidigungsminister Hegseth spart nicht mit Kritik.
Zwar befürwortet er den Angriff, doch er stimmt Vance in einem zentralen Punkt zu:
Europas angebliches „Trittbrettfahren“ in Sicherheitsfragen.
Er nennt es „erbärmlich“ und spricht damit eine Haltung aus, die sich wie ein roter Faden durch Trumps außenpolitisches Denken zieht.
Als Kompromiss wird schließlich beschlossen, den Militärschlag durchzuführen – aber Europa die Kosten in Rechnung zu stellen.
Sicherheitsberater Waltz schreibt:
„Auf Wunsch des Präsidenten arbeiten wir mit Verteidigungs- und Außenministerium daran, die Kosten zu beziffern und den Europäern zu berechnen.“
Von Partnerschaft keine Spur
Der harsche Ton überrascht inhaltlich kaum – ist aber in seiner Direktheit erschütternd.
Während Europa sich immer noch als transatlantischer Partner sieht, betrachtet Trumps Team die Beziehung offenbar als einseitige Belastung.
Besonders J.D. Vance scheint kein Verständnis mehr für das bisherige Modell gegenseitiger Unterstützung zu haben.
In einem Interview mit Tucker Carlson erklärte ein außenpolitischer Gesandter der Trump-Regierung kürzlich sogar:
„Europa ist dysfunktional. Europa stirbt – leider.“
Solche Aussagen lassen wenig Spielraum für Interpretationen – und kaum Hoffnung auf eine partnerschaftliche Neuausrichtung.
Reaktionen in Europa: Alarmiert, aber nicht überrascht
In europäischen Hauptstädten dürfte das Leck für erneute Unruhe sorgen.
Staaten wie Großbritannien und die Niederlande hatten sich 2023 aktiv an militärischen Maßnahmen gegen die Huthis beteiligt – im Schulterschluss mit den USA unter Präsident Biden.
Dass dieselben Einsätze nun unter Trump öffentlich gegen Europa instrumentalisiert werden, dürfte viele vor den Kopf stoßen.
Auch der ehemalige belgische Premierminister Guy Verhofstadt reagierte: „Ein weiterer Weckruf für eine echte europäische Verteidigung“, schrieb er auf X. „Wann werden die EU-Führer endlich handeln?“
Fazit: Ein neues Kapitel der Entfremdung
Die geleakten Nachrichten markieren nicht nur einen diplomatischen Eklat – sie zeigen auch, wie tief die Kluft zwischen den USA unter Trump und Europa mittlerweile ist.
Die transatlantische Allianz, einst das Rückgrat westlicher Stabilität, steht vor einer historischen Belastungsprobe.
Und Europa muss sich fragen:
Wie lange kann es noch auf Amerika zählen – und wie schnell muss es lernen, auf eigenen Beinen zu stehen?
So fließt unser Geld direkt in Erdoğans Machtapparat – Zeit, türkische Produkte und Urlaubsreisen zu boykottieren!
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Die Türkei ist ein beliebter Handelspartner und eines der meistbesuchten Reiseländer der Deutschen. Doch hinter günstiger Kleidung, leckeren Feigen und dem All-Inclusive-Urlaub an der türkischen Riviera steckt ein autoritäres Regime, das seit Jahren systematisch Demokratie, Menschenrechte und Meinungsfreiheit abbaut.
Solange Recep Tayyip Erdoğan an der Macht ist und seinen repressiven Kurs fortsetzt, sollte unser Konsum – und unsere Urlaubsplanung – klare Kante zeigen.
Was Deutschland aus der Türkei importiert – und wen wir damit unterstützen
Die Türkei exportiert jedes Jahr Produkte im Wert von über 20 Milliarden Euro nach Deutschland. Dabei handelt es sich nicht nur um neutrale Waren – sondern um Erzeugnisse großer Konzerne, die eng mit dem türkischen Staat verflochten sind. Wer sie kauft, stärkt das Erdoğan-System finanziell und politisch.
1. Bekleidung & Textilien
Marken: LC Waikiki, Mavi Jeans, Koton, DeFacto, Colins
Auch in Sortimenten von: Zalando, H&M, C&A, Peek & Cloppenburg
Ford Otosan, Tofaş (Fiat), Martur (Sitze), TEMSA (Busse)
5. Stahl, Maschinenbau & Möbel
Stahlprodukte für Industrie & Bau
Möbelmarken: Bellona, Enza Home, Istikbal
Urlaub in der Türkei? Ein Geschenk an das Regime.
Die Türkei zählt zu den Top-5-Reiseländern deutscher Touristen. Doch wer Urlaub in Antalya, Bodrum oder Istanbul bucht, sollte wissen:
Ein großer Teil der Einnahmen aus Tourismus fließt direkt in die Staatskassen.
Viele Hotels, Resorts und Infrastrukturprojekte gehören Erdoğan-nahen Oligarchen.
Tourismus wird gezielt zur politischen Imagepflege genutzt.
Wer Urlaub in der Türkei bucht, unterstützt aktiv ein repressives Regime – mit Geld, Aufmerksamkeit und internationaler Legitimität.
Boykott statt Gleichgültigkeit – für Demokratie und Menschenrechte
Solange Erdoğan:
kritische Medien verbietet,
Oppositionelle inhaftiert,
Minderheiten wie Kurden unterdrückt,
und sich Schritt für Schritt vom demokratischen Rechtsstaat entfernt,
…dürfen wir nicht einfach zur Tagesordnung übergehen.
Auch im digitalen Raum wird die Meinungsfreiheit massiv eingeschränkt: Auf der Plattform X (ehemals Twitter) werden kritische Beiträge über Erdoğan, sein Regime und die allgegenwärtige Korruption zunehmend zensiert oder blockiert.
Der Plattform-Eigentümer Elon Musk hatte einst angekündigt, „freie Meinungsäußerung auf X weltweit zu garantieren“. Doch wenn es um Autokraten wie Erdoğan geht, schweigt Musk – oder arbeitet mit ihnen zusammen.
Offenbar halten Diktatoren und Milliardäre doch zusammen, wenn es darum geht, Kritik zu unterdrücken.
Was DU tun kannst
Beim Einkauf auf Herkunft achten: Vermeide Produkte aus der Türkei oder von türkischen Marken.
Keine Türkei-Urlaube buchen: Entscheide dich für Reiseziele in demokratischen Ländern.
Sprich Unternehmen an: Fordere mehr Transparenz über Produktionsstandorte.
Fazit: Konsum ist politisch. Zeigen wir Haltung.
Wir haben keine Stimme bei türkischen Wahlen. Aber wir haben eine Stimme im Supermarkt, im Reisebüro und im Online-Shop.
Wer Erdoğan nicht unterstützen will, darf nicht schweigen – und auch nicht einkaufen, als wäre alles in Ordnung.