L’AMÉRIQUE DEVIENT FOLLE ! – Musées censurés, art banni – de plus en plus d’Allemands ripostent : BOYCOTT des MARQUES AMÉRICAINES !

Un article de

#Mirko #Lange.

Ce qui se passe actuellement aux États-Unis me touche profondément — comme probablement beaucoup d’autres ici.

Lorsqu’un gouvernement commence à restructurer les musées, à interdire des expositions et à retirer volontairement des œuvres d’art et de littérature critiques, ce n’est plus de la politique conservatrice — c’est autoritaire. Totalitaire. Fasciste.

Celui qui « purifie » idéologiquement la culture attaque le cœur même de la société ouverte.

Désormais, je vais boycotter autant que possible les produits américains. Pas par hostilité, ni même par indignation. Mais par responsabilité et par besoin de me sentir utile. Un renoncement total n’est pas réaliste, mais des choix ciblés sont possibles lorsqu’il existe des alternatives.

Les grandes entreprises sont sensibles aux signaux publics. Il ne s’agit pas de pureté morale, mais d’efficacité. Et je soutiendrai également celles et ceux qui s’opposent ouvertement à Trump — que ce soit des entreprises, des voix critiques ou des esprits créatifs.

Exemples possibles de #boycott :

  • Streaming et abonnements numériques

    Apple TV+, Netflix, Disney+, Amazon Prime Video, YouTube Premium

    → Annuler ou suspendre. Utiliser Arte, Magenta ou les plateformes publiques.
  • Technologie – matériel et appareils

    Apple (iPhone, Mac), Microsoft (Surface), Google (Pixel), Amazon (Alexa, Kindle)

    → Lors d’un achat, envisager des alternatives européennes ou asiatiques. Réparer plutôt que remplacer.
  • Automobile et mobilité

    Tesla, Jeep, Chrysler, Dodge, Uber, Lime, Bird, Spin (services aux États-Unis)

    → Choisir des modèles européens ou asiatiques. Acheter d’occasion. Favoriser les transports en commun.
  • Mode et style de vie

    Nike, Levi’s, GAP, Calvin Klein, Tommy Hilfiger, Converse, New Balance, Victoria’s Secret

    → Privilégier des marques durables européennes. Acheter d’occasion.
  • Alimentation et snacks

    Coca-Cola, Pepsi, Kellogg’s, Mars, Mondelez (Oreo, Milka), Heinz, Hershey’s

    → Acheter localement, soutenir les petites marques.
  • Chaînes et restauration américaines

    McDonald’s, Burger King, Starbucks, KFC, Subway, Dunkin’

    → Soutenir les restaurants et cafés locaux. Éviter le fast-food.
  • Voyages et tourisme

    Voyages aux États-Unis et compagnies aériennes américaines (Delta, American Airlines, United)

    → Choisir des destinations aux politiques culturelles progressistes. Voyager avec des compagnies européennes.
  • Finances et paiements

    Visa, Mastercard, PayPal

    → Si possible, utiliser des alternatives européennes ou un virement bancaire.

Je sais, ce ne sera pas confortable. Et c’est contradictoire : je publie cela sur LinkedIn, une plateforme américaine. Mais c’est justement pour ça : j’utilise sa portée pour attirer l’attention sur ce problème. Un boycott silencieux n’a d’effet que s’il est visible. Et beaucoup de ces choix pourraient aussi faire du bien à mon corps et à mon esprit.

Si vous souhaitez faire pareil, partagez ce post avec votre propre message.

PS : Le mot „BIC“ sur la photo est erroné. Je ne peux plus modifier l’image.

Naturellement, la première étape consiste à renoncer aux produits américains que l’on peut (peut-être même facilement) remplacer. Et si c’est facile, peut-être que 20 millions d’autres feront de même.


Commentaire de

Werner Hoffmann.


– Pour une démocratie au centre, car les extrêmes détruisent le pays –

Merci, Mirko, pour ce post clair et courageux !
Je partage pleinement ton avis :

Les pays démocratiques devraient être bien plus conscients de leur puissance économique collective.

Les États-Unis comptent environ 330 millions d’habitants — impressionnant, certes.
Mais l’Union européenne en compte déjà plus de 450 millions, auxquels s’ajoutent :

  • 67 millions au Royaume-Uni,
  • 39 millions au Canada,
  • Plus de 1,4 milliard en Inde,
  • 126 millions au Japon,
  • 52 millions en Corée du Sud,
  • 26 millions en Australie,
  • Et près de 5 millions en Nouvelle-Zélande.

Ensemble, cette « coalition des démocraties volontaires » représente plus de 2,5 milliards de personnes vivant dans des sociétés libres et démocratiques — et donc une puissance économique, culturelle et politique énorme.

Trump et ses partisans doivent comprendre : ce n’est pas nous qui dépendons d’eux — c’est eux qui dépendent de nous.

La défense de la démocratie ne commence pas uniquement dans les urnes — elle commence dans notre comportement quotidien.
Et oui, cela inclut la consommation. Celles et ceux qui choisissent des produits alignés sur des valeurs démocratiques (ou évitent sciemment ceux qui les bafouent) prennent une responsabilité concrète et visible.

Évidemment, il n’est pas nécessaire de jeter son iPhone. Mais on peut envisager une alternative au prochain achat. Et soyons honnêtes : personne n’a besoin de Coca-Cola ou de Pepsi pour survivre.

J’ai moi aussi commencé, il y a des années, à établir une liste personnelle de boycott — d’abord contre la Russie, et aujourd’hui bien plus large. J’ai écrit deux articles pour expliquer mes réflexions et mes critères :

  1. Ma liste personnelle de sanctions : ces pays que j’évite en tant que démocrate et Européen

    → Lien ci-dessous *
  2. Chaque achat finance les autocrates ! Pourquoi nous devons changer radicalement nos habitudes de consommation — et comment ma liste personnelle peut aider

    → Lien ci-dessous **

Il ne s’agit pas seulement des États-Unis, mais aussi d’entreprises allemandes qui :

  • Poursuivent leurs affaires avec des autocraties comme la Russie,
  • Encouragent ou tolèrent des idéologies antidémocratiques ou d’extrême droite,
  • Évitent l’impôt au détriment de l’État — donc de nous tous.

La démocratie commence au moment de l’achat.
Et plus ce boycott silencieux sera visible, plus son effet sera fort.
Merci d’avoir mis ce sujet crucial sur la table !


Liens vers les articles cités :

iEE. UU. SE ESTÁ VOLVIENDO LOCO! – Museos censurados, arte prohibido – cada vez más alemanes contraatacan: ¡BOICOT a las MARCAS ESTADOUNIDENSES!

Un artículo de

#Mirko #Lange.

Lo que está ocurriendo ahora en Estados Unidos me conmociona profundamente, como seguramente le ocurre a mucha gente aquí. Cuando los gobiernos empiezan a reestructurar museos, prohibir exposiciones y eliminar deliberadamente el arte y la literatura crítica, eso ya no es política conservadora. Es autoritarismo. Totalitarismo. Fascismo.

Quien „depura“ ideológicamente la cultura está atacando el núcleo de una sociedad abierta.

Por eso voy a empezar a boicotear productos estadounidenses, en la medida de lo posible. No por enemistad, ni siquiera por indignación. Lo hago por responsabilidad y por una necesidad de sentirme eficaz. Sé que no es realista renunciar completamente, pero sí se pueden tomar decisiones conscientes allí donde hay alternativas.

Las grandes corporaciones reaccionan de forma sensible a las señales públicas. No se trata de pureza moral, sino de impacto. También apoyaré (es decir, “recompensaré”) a quienes se opongan públicamente a Trump: empresas, voces críticas, mentes creativas.

Ejemplos de posibles objetivos de un #boicot:

  • Streaming y suscripciones digitales

    Apple TV+, Netflix, Disney+, Amazon Prime Video, YouTube Premium

    → Cancelar o pausar. Usar alternativas como Arte, Magenta o las plataformas públicas.
  • Tecnología – Hardware y dispositivos

    Apple (iPhone, Mac), Microsoft (Surface), Google (Pixel), Amazon (Alexa, Kindle)

    → Al comprar, considerar marcas europeas o asiáticas. Reparar más, reemplazar menos.
  • Automoción y movilidad

    Tesla, Jeep, Chrysler, Dodge, Uber, Lime, Bird, Spin (servicios en EE. UU.)

    → Usar modelos europeos o asiáticos. Comprar de segunda mano. Fomentar el transporte público.
  • Moda y estilo de vida

    Nike, Levi’s, GAP, Calvin Klein, Tommy Hilfiger, Converse, New Balance, Victoria’s Secret

    → Preferir marcas sostenibles europeas. Comprar ropa de segunda mano.
  • Alimentos y snacks

    Coca-Cola, Pepsi, Kellogg’s, Mars, Mondelez (Oreo, Milka), Heinz, Hershey’s

    → Comprar productos locales, apoyar marcas pequeñas.
  • Cadenas estadounidenses y gastronomía

    McDonald’s, Burger King, Starbucks, KFC, Subway, Dunkin’

    → Apoyar la gastronomía local, cafeterías independientes. Evitar la comida rápida.
  • Viajes y turismo

    Viajes a EE. UU. y aerolíneas estadounidenses (como Delta, American Airlines, United)

    → Elegir destinos con políticas culturales liberales. Volar con aerolíneas europeas.
  • Finanzas y pagos

    Visa, Mastercard, PayPal

    → Donde sea posible, usar alternativas europeas o transferencia bancaria directa.

Sé que esto no será cómodo. Y sí, es contradictorio: estoy publicando esto en LinkedIn, una plataforma estadounidense. Pero justamente por eso: uso este alcance para llamar la atención sobre el problema. Un boicot silencioso solo tiene efecto si se vuelve visible. Además, muchas de estas decisiones probablemente también beneficien a mi cuerpo y mente.

Si tú también quieres actuar, comparte esta publicación con tu propio mensaje personal.

PD: El „BIC“ en la imagen es incorrecto. No puedo cambiar la foto.

Claro que el primer paso es empezar por los productos estadounidenses que uno puede (quizás incluso fácilmente) dejar de usar o reemplazar. Y si es fácil, tal vez otros 20 millones lo hagan también.


Comentario de

Werner Hoffmann.

– Democracia del centro, porque los extremos destruyen el país –

Gracias, Mirko, por esta publicación tan clara y valiente.
Estoy totalmente de acuerdo:

Los países democráticos deben ser mucho más conscientes de su poder de mercado.

EE. UU. tiene unos 330 millones de habitantes – impresionante, sí.
Pero la Unión Europea ya tiene más de 450 millones, más:

  • 67 millones en el Reino Unido,
  • 39 millones en Canadá,
  • Más de 1.400 millones en la India,
  • 126 millones en Japón,
  • 52 millones en Corea del Sur,
  • 26 millones en Australia,
  • Casi 5 millones en Nueva Zelanda.

En conjunto, esta coalición de democracias dispuestas representa a más de 2.500 millones de personas que viven en sociedades libres y democráticas — y que, por tanto, poseen un enorme poder económico, cultural y político.

Trump y sus seguidores deben entender: no dependemos de ellos — ellos dependen de nosotros.

La defensa de la democracia no empieza solo en las urnas — empieza con nuestro comportamiento diario.
Y sí, eso incluye nuestro consumo. Quien elige productos que representan valores democráticos (o evita conscientemente los que los pisotean), asume una responsabilidad concreta y real.

Por supuesto, no hace falta tirar tu iPhone. Pero sí puedes buscar alternativas la próxima vez que compres. Y seamos honestos: nadie necesita Coca-Cola o Pepsi para sobrevivir.

Yo también empecé hace años a mantener una lista personal de boicot — primero contra Rusia, y ahora mucho más amplia. En dos artículos he compartido mis ideas y criterios:

  1. Mi lista personal de sanciones: estos países los evito como demócrata y europeo

    → Enlace más abajo *
  2. ¡Con cada compra financias a los autócratas! Por qué debemos cambiar radicalmente nuestros hábitos de consumo — y cómo mi lista personal puede ayudar

    → Enlace más abajo **

No se trata solo de EE. UU., sino también de empresas alemanas que:

  • Siguen haciendo negocios con autocracias como Rusia,
  • Fomentan o toleran ideologías antidemocráticas o de extrema derecha,
  • Eluden impuestos y dañan activamente al Estado — o sea, a todos nosotros.

La democracia empieza en el carrito de la compra.
Y cuanto más visible sea este boicot silencioso, mayor será su impacto.
¡Gracias por abordar este tema tan importante!


Enlaces a los artículos mencionados:

  • Publicación de Mirko Lange y comentarios en LinkedIn:

    Ver en LinkedIn
  • * Mi lista personal de sanciones: estos países los evito como demócrata y europeo

    Leer en blog-demokratie.de
  • ** ¡Con cada compra financias a los autócratas! Por qué debemos cambiar radicalmente nuestros hábitos de consumo — y cómo mi lista personal puede ayudar

    Leer en blog-demokratie.de

AMERIKA DREHT DURCH! – Museen zensiert, Kunst verbannt – immer mehr Deutsche schlagen zurück: BOYKOTT gegen US-MARKEN!

Ein Beitrag von

#Mirko #Lange.

Was in den USA gerade passiert, macht mich – wie wohl jeden anderen auch hier – schwer betroffen. Wenn Regierungen beginnen, Museen umzustrukturieren, Ausstellungen zu verbieten und gezielt kritische Kunst und Literatur zu entfernen, ist das keine konservative Politik mehr – das ist autoritär. Totalitär. Faschistisch.

Wer Kultur ideologisch „säubert“, greift die offene Gesellschaft im Kern an.

Ich werde amerikanische Produkte ab sofort boykottieren – so weit es mir möglich ist. Nicht aus Feindseligkeit, auch nicht aus Empörung. Sondern aus Verantwortung und um Selbstwirksamkeit zu spüren. Ein vollständiger Verzicht ist nicht realistisch, aber gezielte Entscheidungen dort, wo es Alternativen gibt.

Gerade große Konzerne reagieren sensibel auf öffentliche Signale. Es geht nicht um moralische Reinheit, sondern um Wirkung. Und ich werde auch alle ausnehmen („belohnen“), die sich offen gegen Trump stellen, auch offene Unternehmen, kritische Stimmen, kreative Köpfe.

Ein möglicher #Boykott z.B. in Bezug auf:

—> Streaming & digitale Abos
Apple TV+, Netflix, Disney+, Amazon Prime Video, YouTube Premium
→ Kündigen oder pausieren. Alternativen wie Arte, Magenta oder öffentlich-rechtliche Mediatheken nutzen.

—> Technologie – Hardware & Geräte
Apple (iPhone, Mac), Microsoft (Surface), Google (Pixel), Amazon (Alexa, Kindle)
→ Bei Neuanschaffungen europäische oder asiatische Anbieter prüfen. Weniger ersetzen, mehr reparieren.

—> Automobil & Mobilität
Tesla, Jeep, Chrysler, Dodge, Uber, Lime, Bird, Spin, (US-Standorte)
→ Auf europäische oder asiatische Modelle umsteigen. Gebraucht statt neu. Öffentlichen Verkehr stärken.

—> Mode & Lifestyle
Nike, Levi’s, GAP, Calvin Klein, Tommy Hilfiger, Converse, New Balance, Victoria’s Secret, …
→ Nachhaltige europäische Labels bevorzugen. Second-Hand nutzen.

—-> Lebensmittel & Snacks
Coca-Cola, Pepsi, Kellogg’s, Mars, Mondelez (Oreo, Milka), Heinz, Hershey’s
→ Regional einkaufen, kleinere Marken unterstützen.

—> US-Ketten & Gastronomie
McDonald’s, Burger King, Starbucks, KFC, Subway, Dunkin’
→ Regionale Gastronomie unterstützen, lokale Cafés und Restaurants wählen. Fast-Food meiden.

—> Reisen & Tourismus
USA-Reisen und US-Fluggesellschaften (z.B. Delta, American Airlines, United)
→ Reiseziele mit liberaler Kulturpolitik bevorzugen. Flüge mit europäischen Airlines buchen.

—-> Finanzen & Bezahldienste
Visa, Mastercard, PayPal
→ Wo möglich, auf europäische Alternativen oder Banküberweisung umstellen.

Ich weiß, das wird nicht bequem. Und es bleibt widersprüchlich – ich poste das hier auf LinkedIn, einem US-Dienst. Aber gerade deshalb: Ich nutze die Reichweite, um auf das Problem aufmerksam zu machen. Ein stiller Boykott hat nur dann Wirkung, wenn er sichtbar wird. Zudem: Vieles davon dürfte meinem Körper und Geist auch gut tun.

Wenn Sie das auch tun wollen, teilen Sie den Post doch mit einem persönlichen Statement.

P.S. Das „BIC“ auf dem Foto ist falsch. Ich kann das Bild aber nicht mehr ändern.

Natürlich ist es ein erster Schritt, erst einmal auf alle US-Produkte zu verzichten, auf die man (vielleicht sogar leicht) verzichten oder sie ersetzen kann. Und wenn es leicht ist, dann machen es vielleicht auch noch 20 Mio.

———

Kommentar von

Werner Hoffmann
– Demokratie der Mitte, weil Extremflügel das Land zerstören –

Danke, Mirko, für diesen klaren und mutigen Beitrag!

Ich sehe das genauso:

——

Demokratische Länder sollten sich ihrer Marktmacht viel bewusster sein.

Die USA hat rund 330 Millionen Einwohner – beeindruckend, ja.

Aber die Europäische Union zählt bereits über 450 Millionen, dazu kommen

– 67 Millionen in Großbritannien,

– 39 Millionen in Kanada,

– über 1,4 Milliarden in Indien,

– 126 Millionen in Japan,

– 52 Millionen in Südkorea,

– 26 Millionen in Australien

– und knapp 5 Millionen in Neuseeland. Zusammengenommen spricht diese Koalition der willigen Demokraten für mehr als 2,5 Milliarden Menschen, die in freiheitlichen, demokratischen Gesellschaften leben – und damit über eine enorme wirtschaftliche, kulturelle und politische Macht.

Trump und seine Anhänger sollten sich klarmachen: Nicht wir sind von ihnen abhängig – sondern sie von uns.

——-

Die Verteidigung der Demokratie beginnt nicht nur in der Wahlkabine – sie beginnt bei unserem alltäglichen Verhalten.

Und ja, dazu gehört auch der Konsum. Wer gezielt Produkte auswählt, die für demokratische Werte stehen (oder bewusst solche meidet, die diese mit Füßen treten), übernimmt Verantwortung – ganz konkret und spürbar.

Natürlich kann man nicht alles sofort austauschen. Niemand muss sein iPhone auf den Müll werfen. Aber man kann beim nächsten Kauf Alternativen prüfen. Und ganz ehrlich: Niemand braucht Coca-Cola oder Pepsi zum Überleben.

Auch ich habe schon vor Jahren begonnen, eine persönliche Boykottliste zu führen – zunächst in Bezug auf Russland, inzwischen aber auch deutlich breiter. In zwei Artikeln habe ich meine Gedanken und Kriterien dazu veröffentlicht:

1. Meine persönliche Sanktionsliste: Diese Länder meide ich als Demokrat und Europäer

→ Link siehe unten *

2. Mit jedem Kauf finanzierst du Autokraten! Warum wir unsere Konsumgewohnheiten jetzt radikal ändern müssen – und wie meine persönliche Sanktionsliste dabei hilft

→ Link siehe unten **

Darin geht es nicht nur um die USA, sondern auch um deutsche Unternehmen, die:

   •   weiter Geschäfte mit Autokratien wie Russland machen,

   •   demokratiefeindliche oder rechtsextreme Ideologien fördern oder dulden,

   •   durch Steuervermeidung dem Staat – also uns allen – aktiv schaden.

Demokratie beginnt beim Einkauf. Und je sichtbarer dieser stille Boykott wird, desto größer ist seine Wirkung. Danke, dass du dieses wichtige Thema ansprichst!

Links zu oben genannten Artikeln

——

Link zum Artikel von Mirko Lange sowie weiteren Kommentaren bei LinkedIn:

https://www.linkedin.com/posts/mirkolange_persaemnlich-reaktionen-analyse-activity-7312421417386438656-t-br?utm_source=share&utm_medium=member_ios&rcm=ACoAADSumNEBGYgkWA6yjTr6uB0NX_Lnrr_XlN0

——

Links hier bei Blog-Demokratie:

* Meine persönliche Sanktionsliste: Diese Länder meide ich als Demokrat und Europäer

https://blog-demokratie.de/meine-persoenliche-sanktionsliste-diese-laender-meide-ich-als-demokrat-und-europaeer/

** Mit jedem Kauf finanzierst du Autokraten! Warum wir unsere Konsumgewohnheiten jetzt radikal ändern müssen – und wie meine persönliche Sanktionsliste dabei hilft

https://blog-demokratie.de/mit-jedem-kauf-finanzierst-du-autokraten-warum-wir-unsere-konsumgewohnheiten-jetzt-radikal-aendern-muessen-und-wie-meine-persoenliche-sanktionsliste-dabei-hilft/

GESCHICHTE AUF BEFEHL!

Trump will bestimmen, was wir über Sklaverei, Rassismus und Ureinwohner denken dürfen

Ein Beitrag von

Werner Hoffmann
– Demokratie der Mitte, weil Extremflügel das Land zerstören. –

Zum Vorlesen

YouTube player
Trumps Befehl -Geschichte auf Befehl — https://youtu.be/J4s4SiWyvqM?si=mNKGztnbYcBYZeIc

TRUMP WILL UNSERE GESCHICHTE AUSLÖSCHEN!

Jetzt greift er sogar Museen, afroamerikanische Geschichte und das Erbe der indigenen Völker an – per Präsidenten-Dekret. Historiker warnen: Das ist der Kulturkampf von oben!

Trumps Kulturkampf eskaliert: Wie ein Präsident die Geschichte umschreiben will

Quelle Link https://www.n-tv.de/politik/Trump-will-amerikanische-Geschichte-per-Dekret-umschreiben-article25662174.html

Mit einem neuen Dekret greift Donald Trump direkt in die Erinnerungskultur der Vereinigten Staaten ein.

Museen, Ausstellungen und sogar Forschungseinrichtungen sollen künftig nur noch Inhalte zeigen, die seiner nationalistischen Weltsicht entsprechen.

Die Maßnahmen erinnern an autoritäre Systeme – und könnten ein weiterer Schritt in Richtung einer illiberalen Demokratie oder gar Diktatur sein.

Das Dekret: „Wiederherstellung von Wahrheit und Vernunft in der amerikanischen Geschichte“

Trump behauptet, linke Kräfte hätten die amerikanische Geschichte verzerrt. Ausstellungen, die sich kritisch mit Rassismus, Kolonialismus oder Diskriminierung auseinandersetzen, sollen künftig als „ideologisch“ und „spalterisch“ gelten – und verboten oder finanziell ausgetrocknet werden.

Museen und Ausstellungen im Visier

Das Dekret zielt vor allem auf die Smithsonian Institution in Washington. Betroffen sind unter anderem:

  • das National Museum of African American History and Culture
  • das American Women’s History Museum
  • das National Museum of the American Indian
  • und selbst der National Zoo

Beispielhaft nennt Trump die Ausstellung „The Shape of Power: Stories of Race and American Sculpture“, die aufzeigt, wie Macht über Kunst und Darstellung ausgeübt wird. Solche Inhalte sollen künftig unterdrückt werden.

Sklaverei und indigene Völker – die großen Verlierer

Sklaverei wird verharmlost

Das afroamerikanische Museum, das sich mit der Geschichte von Versklavung, Rassismus und Bürgerrechten beschäftigt, steht unter besonderem Beschuss.

Künftig könnten solche Ausstellungen gestrichen oder zensiert werden.

Die kritische Aufarbeitung der Sklaverei droht in Trumps Weltbild zu verschwinden.

Indigene Geschichte wird verdrängt

Auch das National Museum of the American Indian ist betroffen. Die gewaltsame Kolonisierung, die Vertreibung und die Zwangsassimilation der Ureinwohner Nordamerikas könnten in Zukunft nicht mehr thematisiert werden – weil sie angeblich nicht mit „gemeinsamen amerikanischen Werten“ vereinbar sind.

J.D. Vance soll die „Säuberung“ durchsetzen

Trumps Vizepräsident J.D. Vance wird beauftragt, die Inhalte der Museen zu kontrollieren, unliebsame Ideologien zu entfernen und Fördermittel zu kürzen.

Das ist nichts anderes als staatlich verordnete Geschichtspolitik.

Ein größerer Kulturkampf

Das Dekret ist Teil einer umfassenden Kampagne.

Zuletzt wurde bekannt, dass das Pentagon über 26.000 Bilder von offiziellen Webseiten löschen will – darunter Bilder von:

  • schwarzen Soldaten und Soldatinnen
  • Frauen in Führungspositionen
  • LGBTQ-Angehörigen
  • und selbst das berühmte Foto der „Enola Gay“, wegen des Wortes „gay“

Wie in Russland, Ungarn, der Türkei – und im Nationalsozialismus

Trumps Vorgehen erinnert stark an autoritäre Systeme, die ebenfalls versuchten, Geschichte politisch zu kontrollieren:

  • Putins Russland: Leugnung sowjetischer Verbrechen, glorifizierte Darstellung russischer Heldengeschichte, strafrechtliche Verfolgung kritischer Historiker.
  • Orbáns Ungarn: Gleichschaltung von Museen, Zensur von Gender- und Rassismusforschung, Förderung nationalistischer Erzählungen.
  • Erdoğans Türkei: Umschreibung der Schulbücher, Ausblendung des Völkermords an den Armeniern, Betonung eines osmanisch-islamischen Nationalstolzes.
  • Hitlers Deutschland: Auch im Nationalsozialismus wurde Geschichte gezielt umgeschrieben. Die NS-Propaganda verdrängte jüdische, sozialistische und liberale Beiträge zur deutschen Geschichte und ersetzte sie durch arische Heldenmythen und eine verherrlichende Sicht auf das „Deutsche Reich“. Bücher wurden verbrannt, Wissenschaftler verfolgt, Museen gleichgeschaltet. Ziel war es, eine einheitliche, ideologisch kontrollierte Geschichtserzählung zu schaffen – als Grundlage für systematische Ausgrenzung und Unterdrückung.

Fazit: Wer die Vergangenheit kontrolliert, formt die Zukunft

Trumps Dekret ist kein Einzelfall – es ist ein Angriff auf die historische Wahrheit, auf die kulturelle Vielfalt und letztlich auf die Demokratie selbst.

Wenn Sklaverei, Kolonialismus und strukturelle Ungleichheit aus der öffentlichen Erinnerung verbannt werden, bleibt ein künstlich glorifiziertes Amerika zurück – designt für Propaganda, nicht für Wahrheit.

Trump will bestimmen, was als Geschichte gilt – und das ist der erste Schritt auf dem Weg in eine autoritär gesteuerte Gesellschaft.

——

Aus meiner Sichtweise ist dies ein weiterer Schritt, die USA in eine Diktatur umzuwandeln.

Ich war früher sehr gerne in den USA. Und ich erinnere mich noch an den Besuch von Mammoth Cave im Jahre 1976.

Auch hier werden sicherlich dann Geschichtsverfälschungen dann vorgenommen.

So hatte ich es noch mit 15 Jahren beim ersten USA-Urlaub in Erinnerung:

Mammoth Cave National Park (Kentucky) – das erwartet Besucher:

1. Das größte Höhlensystem der Welt

   •   Über 660 Kilometer erforschte Gänge (Stand heute – und es werden immer noch neue Abschnitte entdeckt!).

   •   Ein wahres Labyrinth aus Tunneln, Kammern, Schächten und unterirdischen Flüssen.

2. Faszinierende geologische Formationen

   •   Riesige Hallen wie die Rotunda,

   •   beeindruckende Tropfsteinformationen,

   •   unterirdische Dome, Engstellen, Felsspalten,

   •   Stalaktiten und Stalagmiten (in ausgewählten Bereichen wie Frozen Niagara).

3. Führungen und Touren

   •   Geführte Touren mit Rangern, z. B.:

      •   Historic Tour (die klassische Tour mit historischen Infos),

      •   Domes and Dripstones Tour (für Tropfsteinliebhaber),

      •   Wild Cave Tour (für Abenteuerlustige – mit Kriechen & Klettern!).

   •   Einige Touren beinhalten auch Geschichten über die frühe Entdeckung, Sklaverei und Höhlenforschung im 19. Jahrhundert.

4. Historische Bedeutung

   •   Bereits von indigenen Völkern genutzt, später von Siedlern entdeckt.

   •   Im 19. Jahrhundert wurden Sklaven als Höhlenführer eingesetzt.

   •   Wichtige Rolle bei der Salpetergewinnung (für Schießpulver) während des Kriegs von 1812.

5. Unterirdische Flüsse und Tierwelt

   •   Der Echo River war früher per Boot befahrbar.

   •   Heimat seltener Höhlentiere, z. B.

      •   blinde Höhlenfische,

      •   Höhlensalamander,

      •   seltene Fledermausarten.

6. Oberirdisch auch sehenswert!

   •   Wälder, Wanderwege, Radwege, Reitpfade und Flüsse im Nationalparkgebiet.

   •   Besucherzentrum mit Ausstellung und Museum.

   •   Zeltplätze, Lodges und Picknickplätze im Grünen.

Die historischen Bedeutungen werden durch die Trump-Administration sicherlich auch ausgelöscht.

Traurig, was in den USA passiert, weil Trump 761.302 Stimmen in den Swingsstaaten mehr erhalten hatte.

Bei der US-Präsidentschaftswahl 2024 gewann Donald Trump alle sieben entscheidenden Swing States. Um zu ermitteln, wie viele zusätzliche Stimmen Kamala Harris benötigt hätte, um diese Staaten zu gewinnen, betrachten wir die jeweiligen Stimmenunterschiede:

   •   Wisconsin: Trump gewann mit einem Vorsprung von 29.397 Stimmen (0,87 %). 

   •   Nevada: Trumps Vorsprung betrug 46.008 Stimmen (3,10 %).

   •   Michigan: Hier lag Trump mit 80.103 Stimmen (1,41 %) vorne. 

   •   Georgia: Trumps Vorsprung belief sich auf 115.100 Stimmen (2,20 %). 

   •   Pennsylvania: Hier führte Trump mit 120.266 Stimmen (1,71 %). 

   •   North Carolina: Trumps Vorsprung betrug 183.046 Stimmen (3,21 %).

   •   Arizona: Trump gewann mit 187.382 Stimmen (5,53 %). 

Zusammenfassung:

Insgesamt hätte Kamala Harris in diesen sieben Swing States 761.302 zusätzliche Stimmen benötigt, um die Mehrheiten zu drehen.

Da das US-Wahlsystem auf dem Electoral College basiert, wären Siege in diesen Staaten entscheidend gewesen, um die erforderlichen 270 Wahlmännerstimmen für den Gesamtsieg zu erreichen.

761.302 Amerikaner haben zu einer dramatischen Veränderung in den USA und der Weltgeschichte geführt. Kaum vorstellbar.

Und das nur deshalb, weil das Thema Inflation und Migration von den Amerikanern in den Fokus gehalten wurde.

Daran ist erkennbar, wie Wähler mit ein paar Nebenthemen, die eigentlich nicht so wichtig sind, manipuliert werden.

Auch in Deutschland werden die Wähler mit ein paar Themen geködert, die eigentlich nicht die wichtigsten Themen sind.

Beispiele sind die Attentate durch Islamisten. Ja, es ist schlimm um jeden Menschen der ermordet wird oder misshandelt wird.

Seit 2010 sind durch Islamisten insgesamt 30 Personen gestorben.

Im Verhältnis zu Verkehrstote durch Alkohol, Drogen überhöhte Geschwindigkeit (auch bei Straßenrennen) sind dies jedoch sehr wenige.

Hierzu einmal ein paar Details:

  • Im Jahr 2023 wurden in Deutschland insgesamt 15.662 polizeilich registrierte Unfälle unter Alkoholeinfluss verzeichnet.
  • In Deutschland gab es von 2010 bis 2024 insgesamt rund 47.827 Verkehrstote.
  • Berechnung auf Basis des Gesamttotals 2010–2024:
       •   Gesamttote 2010–2024: 47.827
       •   Wenn man einen durchschnittlichen Anteil von 8 % ansetzt, ergibt sich:
    47.827 × 0,08 ≈ 3.826 Verkehrstote durch Alkohol
  • Verkehrstote durch überhöhte Geschwindigkeit: Gesamte Verkehrstote 2010–2024: 47.827
       •   25 % davon: ca. 11.957

15.783 Verkehrstote sind alleine durch Alkohol und überhöhte Geschwindigkeit in Deutschland zu beklagen.

Dies macht deutlich, wie gerade im Wahlkampf rechtspopulistische Parteien durch bestimmte Themen den Wähler manipulieren!

Und dies ist nicht nur in Deutschland, sondern auch in den USA der Fall.

Die Manipulation der amerikanischen Wähler führt jetzt zu massiven Beschneidungen und zur Unterdrückung der durchschnittlichen Amerikaner.

Es findet gerade ein schnell schleichender Prozess zur Umwandlung in eine Diktatur statt.

Putins Agent? – Die 28 dunklen Russland-Geheimnisse des Donald Trump!

Ein Beitrag von

Werner Hoffmann
– Demokratie der Mitte, weil Extremflügel das Land zerstören -.

Einen Dank an

Roman Sherementa.

für die Überlassung vieler Details.

——

Straftäter Donald Trump – Rechtskräftig Verurteilter ist Präsident der USA. In den USA ist es nicht nur möglich vom Tellerwäscher zum Millionär zu werden, sondern auch vom Straftäter zum Präsident. Ist Trump vielleicht auch ein Agent von Putin?

——-

Putins Agent? – Die 28 dunklen Russland-Geheimnisse des Donald Trump!

Seit Jahren halten sich hartnäckige Gerüchte, dass Donald Trump, der 45. Präsident der Vereinigten Staaten, mehr als nur zufällige Kontakte nach Russland unterhält. Neue Informationen und eine systematische Auflistung zahlreicher Verbindungen – zusammengetragen von George Popko – zeichnen ein verstörendes Gesamtbild: Es könnte sich nicht nur um politische Nähe, sondern um eine strategische Einflussnahme handeln. Im Folgenden analysieren wir diese Indizien im Detail.

1. Dubiose Finanzspritzen für Trump Media

Im Jahr 2021 erhielt Trump Media & Technology Group (TMTG) 8 Millionen Dollar von Unternehmen mit Russland-Verbindungen, darunter die Paxum Bank (mit Anton Postolnikov) und der ES Family Trust. Die US-Bundesregierung ermittelt derzeit wegen möglicher illegaler Einflussnahme.

2. US-Behörden ermitteln

Die SEC und das DOJ leiteten 2022 Ermittlungen gegen TMTG und DWAC wegen undurchsichtiger Finanzgeschäfte ein. Der Verdacht: Mögliche Tarnung für ausländische Einflussnahme.

3. Pro-russische Außenpolitik

Trump stellte sich politisch mehrfach auf die Seite Russlands: Kritik an der NATO, Stopp von Ukraine-Hilfen und Unterstützung rechtsextremer Gruppen in Europa sprechen eine klare Sprache.

4. Friedensgespräche als Ablenkungsmanöver?

2025 begann Trump in Saudi-Arabien angebliche Friedensgespräche mit der Ukraine – während er gleichzeitig US-Geheimdienst- und Militärhilfe für Kiew einfrieren ließ.

5–15. Ein Netzwerk mit Russland-Verbindungen

  • Paul Manafort: Trumps Ex-Wahlkampfleiter, verurteilt, Kontakte zu russischen Agenten.
  • Michael Flynn: Log über Gespräche mit dem russischen Botschafter.
  • George Papadopoulos: Belog Ermittler zu Russland-Kontakten.
  • Roger Stone: Verurteilt wegen Zeugenmanipulation rund um WikiLeaks.
  • Michael Cohen: Belog den Kongress über Trump Tower Moskau.
  • Jared Kushner: Hielt geheime Treffen mit russischen Beamten.
  • Jeff Sessions: Traf sich heimlich mit dem russischen Botschafter.
  • Wilbur Ross: Investierte in Firmen mit Russland-Verbindungen.
  • J.D. Gordon: Beeinflusste das Ukraine-Programm der Republikaner.
  • Erik Prince: Traf einen Kreml-nahen Geldgeber auf den Seychellen.

16. Entlassung von FBI-Chef Comey

Trump feuerte James Comey mitten in den Russland-Ermittlungen – ein möglicher Versuch, die Aufklärung zu blockieren.

17. Russische Hacker im Wahlkampf

US-Ermittlungen belegten: Kreml-Agenten hackten demokratische Server, halfen so indirekt Trump – via WikiLeaks.

18. Lob für Putin

Trump pries Putin öffentlich immer wieder – selbst nach der Krim-Annexion und dem Ukraine-Krieg.

19. Russische Propaganda

Staatliche russische Medien und Internetkampagnen unterstützten 2016 offen Trump – auf Anweisung des Kremls?

20–22. Leugnung und gleichzeitige Russland-Geschäfte

  • Trump: Behauptete öffentlich, keine Russland-Kontakte zu haben.
  • Eric Trump: Soll gesagt haben, Russland finanziere die Trump Org.
  • Don Jr.: Sagte 2008, ein großer Teil des Trump-Vermögens stamme aus Russland.

23. Luxusimmobilie an Oligarchen verkauft

Trump verkaufte ein Anwesen in Palm Beach für 95 Mio. Dollar an den Oligarchen Dmitri Rybolowlew – doppelt so viel wie der ursprüngliche Kaufpreis.

24. Geheimer Server zur Alfa Bank

Es gibt Hinweise auf einen Server zwischen Trump Org und der russischen Alfa Bank – Verdacht auf verdeckten Kommunikationskanal.

25. Mueller-Ermittlung: Viele Anklagen, keine gegen Trump

Der Mueller-Report führte zu zahlreichen Verurteilungen im Trump-Umfeld – Trump selbst kam jedoch ungeschoren davon.

26. Trumps Steuergeheimnis

Trump weigerte sich jahrelang, seine Steuererklärungen offenzulegen – was Spekulationen über Russland-Geschäfte befeuerte.

27. Miss Universe 2013 in Moskau

Trump war Gastgeber in Moskau, traf Investoren – und warb nebenbei für den „Trump Tower Moscow“.

28. Felix Sater und der Moskau-Deal

Ein verurteilter Krimineller, Felix Sater, trieb während des Wahlkampfs einen Moskau-Immobiliendeal für Trump voran – mit Wissen der Trump-Org.

Fazit: Ein Mosaik des Einflusses

Die Vielzahl an Verbindungen, Kontakten, Transaktionen und politischen Entscheidungen ergibt ein bedenkliches Gesamtbild. Es ist das Bild eines Präsidenten, der sich nicht nur Putins Interessen angenähert hat, sondern aktiv in eine russische Einflussstrategie eingebunden gewesen sein könnte.

Wer profitiert? Putin.
Wer zahlt? Die Demokratie.

GEHEIM-CHAT GESPRÄCHSLEAK!

Trump-Team plante Angriff auf Houthis per Signal – mit Reporter im Gruppenchat!

Ein Beitrag von Werner Hoffmann

Werner Hoffmann
– Demokratie der Mitte, weil Extremflügel das Land zerstören -.

Ich habe die Einstellungen der Trump-Administration schon länger vermutet.

Hier der Chatverlauf von Signal ins Deutsche übersetzt. Herzlichen Dank an

Klaus Jaspert

Klaus Jaspert für die Zusendung

Der durchgesickerte Signal-Chat, kommentiert

Von Die New York Times 

Aktualisiert am 26. März 2025 um 11:35 Uhr ET

Am Mittwoch veröffentlichte The Atlantic einen ausführlicheren Einblick in die Inhalte der Nachrichten in diesem Gruppenchat.

Darin enthalten waren auch vertrauliche Details zu US-Angriffen, die Experten zufolge vor der Durchführung der Angriffe höchstwahrscheinlich streng geheim waren. Um die neuen Informationen zu berücksichtigen, wurden zusätzliche Nachrichten hinzugefügt und einigen bestehenden Nachrichten weiteres Material hinzugefügt.

Auszüge aus einem Signal-Chat, die am Montag von The Atlantic veröffentlicht wurden, bieten einen seltenen und aufschlussreichen Einblick in die privaten Gespräche hochrangiger Beamter der Trump-Regierung, während diese Pläne für US-Angriffe auf Ziele der Huthi im Jemen erwogen.

An dem Chat, der vom Nationalen Sicherheitsberater Michael Waltz erstellt wurde, nahmen unter anderem

Vizepräsident Vance, Verteidigungsminister

Pete Hegseth 

– und CIA-Direktor John Ratcliffe 

– sowie hochrangige Beamte teil, deren vollständige Namen nicht aufgeführt waren.

Unter ihnen befanden sich

– „MAR“, die Initialen von Außenminister Marco Rubio;

– „TG“, die Initialen der Geheimdienstdirektorin TulsiGabbard;

„Scott B“, der offenbar Finanzminister Scott Bessentdarstellte;

– und „SM“, die Initialen des stellvertretenden Stabschefs des Weißen Hauses, Stephen Miller.

Präsident Trump spielte die unbeabsichtigte Aufnahme von Jeffrey Goldberg, dem Chefredakteur des „Atlantic“, in die Gruppe herunter und behauptete, die Behörden hätten keine geheimen Informationen weitergegeben.

Die neuen Enthüllungen vom Mittwoch führten jedoch zu zunehmenden Forderungen der Demokraten nach Hegseths Rücktritt.

Sie warfen ihm vor, er habe sich rücksichtslos verhalten und amerikanische Truppen gefährden können .

Nachfolgend finden Sie eine Reproduktion des Chats mit kommentierter Analyse unserer Reporter.

Donnerstag, 13. März

Michael Waltz

Team – Aufbau einer Prinzipiengruppe zur Koordinierung der Houthis, insbesondere für die nächsten 72 Stunden. Mein Stellvertreter Alex Wong stellt ein Tiger-Team auf der Ebene der Stellvertreter und Stabschefs der Behörde zusammen, das die Ergebnisse der heutigen Sitzung im Sitzungssaal zu den Aktionspunkten nachbereitet und diese im Laufe des Abends veröffentlichen wird.

Bitte stellen Sie uns den besten POC-Mitarbeiter aus Ihrem Team zur Verfügung, mit dem wir uns in den nächsten Tagen und am Wochenende abstimmen können. Danke.

16:28 Uhr

Der Hauptausschuss ist die höchste Ebene des Nationalen Sicherheitsrats und setzt sich aus Kabinettsmitgliedern und deren Äquivalenten zusammen. Die Hauptausschussmitglieder diskutieren häufig verschiedene Vorgehensweisen und legen diese dem Präsidenten zur endgültigen Entscheidung vor.

Die Houthis sind eine vom Iran unterstützte Gruppe im Jemen, deren Angriffe im Roten Meer die Schifffahrtskosten dramatisch erhöht haben.

Die Biden-Regierung versuchte, ihre Angriffe mit Angriffen von Flugzeugträgern einzudämmen, jedoch mit begrenztem Erfolg.

Ein Tiger-Team ist eine Gruppe von Personen, die vom Nationalen Sicherheitsrat für eine bestimmte Aufgabe zusammengestellt wird.

Herr Waltz spricht hier davon, Mitarbeiter der Auftraggeber zusammenzubringen, um spezifische Probleme im Zusammenhang mit der verstärkten Kampagne gegen die Houthis zu bearbeiten.

—Julian E. Barnes

BESCHÄDIGEN

Mike Needham für den Staat

16:29 Uhr

Rubio selbst hat sich nicht zu der Angelegenheit geäußert. Am Montag erklärte die Sprecherin des Außenministeriums, sie werde seine „Beratungsgespräche“ nicht kommentieren und verwies für weitere Fragen an das Weiße Haus. Needham ist neben seiner beratenden Funktion auch Rubios Stabschef.

– Michael Crowley

JD Vance

Andy Baker als Vizepräsident

16:29 Uhr

TG

Joe Kent für DNI

16:30 Uhr

Frau Gabbard befand sich während des SMS-Austauschs auf internationaler Reise.

Am 12. März war sie auf Hawaii, bevor sie nach Asien weiterreiste. Ihre Reise führte sie über Japan und Thailand, bevor sie am 16. März, einen Tag nach dem Streik, in Indien ankam.

—Julian E. Barnes

Scott B

Dan Katz für das Finanzministerium

16:39 Uhr

Pete Hegseth

Dan Caldwell für das Verteidigungsministerium

16:53 Uhr

John Ratcliffe

[Inhalt der Nachricht nicht von The Atlantic veröffentlicht]

17:24 Uhr

Herr Goldberg berichtete, dass Herr Ratcliffe an dieser Stelle des Chats den Namen eines aktiven CIA-Geheimdienstmitarbeiters als Kandidaten für die Gruppe genannt habe. In einer Anhörung am Dienstag sagte Herr Ratcliffe, der Beamte sei nicht verdeckt tätig gewesen. Die CIA hält die Namen ihrer Mitarbeiter jedoch gerne geheim, damit sie auch künftig Auslandseinsätze annehmen können.

—Julian E. Barnes

Brian

Brian McCormack für NSC

18:34 Uhr

Freitag, 14. März

Michael Waltz

Team, Sie sollten heute Morgen eine Schlussfolgerung mit Aufgabenstellungen gemäß den Richtlinien des Präsidenten in Ihren High-Side-Posteingängen haben.

Wir haben gemeinsam mit dem Staat und dem Verteidigungsministerium empfohlene Benachrichtigungslisten für regionale Verbündete und Partner entwickelt.

Der gemeinsame Stab wird Ihnen in den kommenden Tagen einen genaueren Ablauf der Ereignisse mitteilen und wir werden mit dem Verteidigungsministerium zusammenarbeiten, um sicherzustellen, dass COS, OVP und POTUS informiert werden.

8:05 Uhr

Regierungsbeamte arbeiten manchmal im geheimen System der „High Side“ und manchmal im nicht geheimen System der „Low Side“. Die gesamte Konversation findet jedoch weder im geheimen System der „High Side“ noch im nicht geheimen System der „Low Side“ statt, sondern in einer öffentlich zugänglichen Messaging-App.

—Devlin Barrett

2 Anmerkungen

JD Vance

Team, ich bin heute für eine Wirtschaftsveranstaltung in Michigan unterwegs. Aber ich glaube, wir machen einen Fehler.

Drei Prozent des US-Handels laufen über den Suezkanal. 40 Prozent des europäischen Handels. Es besteht die reale Gefahr, dass die Öffentlichkeit dies nicht versteht und nicht versteht, warum es notwendig ist. Der wichtigste Grund dafür ist, wie Präsident Trump sagte, ein Zeichen zu setzen.

Ich bin mir nicht sicher, ob dem Präsidenten bewusst ist, wie sehr dies seiner aktuellen Europa-Botschaft widerspricht. Es besteht außerdem das Risiko eines moderaten bis starken Anstiegs der Ölpreise.

Ich bin bereit, den Konsens des Teams zu unterstützen und diese Bedenken für mich zu behalten. Es gibt jedoch ein starkes Argument dafür, dies um einen Monat zu verschieben, die Botschaften zu vermitteln, warum dies wichtig ist, die wirtschaftliche Lage zu beobachten usw.

8:16 Uhr

1 Herr Vance, ein Militärveteran, der am 14. März in Michigan eine Kunststofffabrik besichtigte, äußerte sich stets skeptisch gegenüber einer Verwicklung der USA in ausländische Konflikte. Sein Argument – ​​er plädiert dafür, einen Angriff abzuwarten und in der Zwischenzeit die Öffentlichkeit von seiner Notwendigkeit zu überzeugen –entspricht seinem Ansatz.

– Maggie Haberman

2 Herr Vance, der in der Kritik stand, weil er sich vom Trump-Kritiker zum Anhänger Trumps gewandelt hatte, versuchte, die Enthüllung zu bereinigen, er habe das Urteil des Präsidenten in einer großen Gruppe in Frage gestellt, nachdem Auszüge des Chats öffentlich geworden waren. In einer Erklärung sagte sein Sprecher: „Vizepräsident Vance unterstützt die Außenpolitik dieser Regierung uneingeschränkt.“

„Der Präsident und der Vizepräsident haben anschließend Gespräche über diese Angelegenheit geführt und sind sich völlig einig“, heißt es in der Erklärung.

– Erica L. Green

Neu

Joe Kent

Der Zeitplan ist nicht zeitkritisch. In einem Monat haben wir genau die gleichen Optionen.

Die Israelis werden wahrscheinlich Angriffe durchführen und uns deshalb um weitere Waffen bitten, um die Waffen aufzustocken, die sie gegen die Houthis einsetzen. Aber das ist ein nebensächlicher Faktor.

Ich werde Ihnen die unklassifizierten Daten senden, die wir zum BAM-Versand abgerufen haben.

8:22 Uhr

Joe Kent, der von Trump für die Leitung des Nationalen Zentrums für Terrorismusbekämpfung nominiert wurde, fungiert als Stabschef von Frau Gabbard, während dieser auf seine Bestätigung wartet. Die Houthis haben Israel seit Beginn des Gaza-Krieges mehrfach angegriffen und damit israelische Vergeltungsmaßnahmen ausgelöst. Kent spielt auf die Annahme an, dass Israel die Houthis nach den US-Angriffen angreifen und die USA anschließend um Munition bitten wird, um die von ihnen eingesetzten Waffen zu ergänzen. Diese Vorhersage hat sich als richtig erwiesen. Israel hat Ziele der Houthis angegriffen, unter anderem diese Woche nach einem versuchten Angriff der Houthis auf Israel.

—Julian E. Barnes

Neu

John Ratcliffe

Aus Sicht der CIA mobilisieren wir derzeit Ressourcen zur Unterstützung, aber eine Verzögerung hätte keine negativen Auswirkungen auf uns, und die zusätzliche Zeit würde genutzt werden, um bessere Ausgangspunkte für die Berichterstattung über die Houthi-Führung zu finden.

8:26 Uhr

Dieser Kommentar von Herrn Ratcliffe ist höchstwahrscheinlich das Material, das der Atlanticursprünglich zurückhielt, weil er vermutete, dass es sich auf eine Geheimdienstoperation beziehen könnte. In seiner Aussage vor dem Senat am Dienstag sagte Herr Ratcliffe, seine Kommentare seien nicht geheim.

Die Agentur diskutiert ihre Bemühungen, Informationen über Anführer verfeindeter Gruppen zu sammeln, normalerweise nicht einmal allgemein, doch Verbündete von Herrn Ratcliffe werden argumentieren, die Informationen seien allgemein genug, um nicht geheim zu sein. Und Herr Ratcliffe war im Gegensatz zu Herrn Hegseth deutlich vorsichtiger in dem, was er preisgab.

Es ist schwer zu argumentieren, dass irgendetwas hier, jetzt, da es bekannt ist, die Bemühungen der Agentur, Informationen über die Houthiszu sammeln, beeinträchtigen könnte.

—Julian E. Barnes

5 Anmerkungen

Pete Hegseth

Vizepräsident:

Ich verstehe Ihre Bedenken und unterstütze Sie voll und ganz dabei, diese gegenüber dem US-Präsidenten anzusprechen.

Wichtige Überlegungen, deren Auswirkungen meist schwer vorherzusagen sind (Wirtschaft, Frieden in der Ukraine, Gaza usw.). Ich denke, die Kommunikation wird so oder so schwierig – niemand weiß, wer die Houthis sind.

Deshalb müssen wir uns auf Folgendes konzentrieren: 1) Biden hat versagt und 2) Iran finanziert.

Ein paar Wochen oder einen Monat zu warten, ändert die Kalkulation nicht grundlegend.

Zwei unmittelbare Risiken des Abwartens: 1) Die Nachricht sickert durch, und wir wirken unentschlossen; 2) Israel ergreift zuerst Maßnahmen – oder der Waffenstillstand im Gazastreifen platzt – und wir können die Sache nicht nach unseren eigenen Vorstellungen angehen.

Wir können beides bewältigen.

Wir sind bereit, dies zu tun, und wenn ich die endgültige Entscheidung hätte, ob wir es tun sollen, dann sollten wir es tun. Es geht hier nicht um die Houthis.

Ich sehe es als zwei Ziele:

1) die Wiederherstellung der Freiheit der Schifffahrt, ein zentrales nationales Interesse; und

2) die Wiederherstellung der Abschreckung, die Biden zunichte gemacht hat.

Aber wir können jederzeit eine Pause einlegen. Und wenn ja, werde ich alles tun, um 100 % OPSEC durchzusetzen. Andere Meinungen sind mir willkommen.

8:27 Uhr

1 Seit seinem Amtsantritt als Verteidigungsminister konzentriert sich Pete Hegseth auf die Vermittlung von Botschaften.

Er nutzt seine Erfahrung als Moderator bei Fox News, um in den sozialen Medien scharfe Angriffe auf Gegner abzufeuern und Präsident Trump in nahezu allen Fragen der nationalen Sicherheit zu unterstützen.

Daher ist es verständlich, dass er sich auf die Vermittlung von Botschaften für die Angriffe konzentriert.

– Helene Cooper

Es ist bemerkenswert, dass Herrn Hegseths erste Sorge hier lautete: „Das sickert durch, und wir wirken unentschlossen.“ Die Öffentlichkeit sieht nun, wie lange die nationalen Sicherheitsbeamten anfangs darüber debattierten, ob sie mit dem Plan fortfahren sollten.

– Erica L. Green

3 Bei der Bewältigung der Folgen des Lecks konzentrierte sich die Regierung auf die Ergebnisse der Mission.

In einer der am Dienstag veröffentlichten Erklärungen des Weißen Hauses hieß es: „Die Huthi-Terroristen haben für die Aktionen der Trump-Regierung bezahlt.“ Sie kritisierte außerdem die Untätigkeit des ehemaligen Präsidenten Biden gegen die Gruppe, die angeblich „mit präzisionsgelenkten Waffen aus dem Iran“ bewaffnet sei.

– Erica L. Green

4 Dies ist eine der umfassenderen außenpolitischen Debatten, die die Leser seit Amtsantritt der Regierung verfolgen konnten.

Ohne zu wissen, was in dem Chat, den The Atlanticnicht veröffentlichte, noch weiter besprochen wurde, ist bemerkenswert, dass Trump, Hegseth und Waltz offenbar vieles davon geklärt haben und der Rest der Gruppe über die Geschehnisse informiert ist.

– Maggie Haberman

5 Die Verweise auf OPSEC – operative Sicherheit oder die Vorstellung, dass die Informationen nicht durchgesickert seien – wirken im Nachhinein fast komisch, wenn man bedenkt, dass versehentlich ein Journalist zum Chat hinzugefügt wurde.

—Julian E. Barnes

Neu

Michael Waltz

Die uns vorliegenden Handelszahlen belaufen sich auf 15 % des weltweiten und 30 % des Containerverkehrs. Eine Herabstufung auf die USA ist schwierig. Konkret bedeutet dies, dass ein Großteil der Container entweder durch das Rote Meer oder um das Kap der Guten Hoffnung transportiert wird. Unser Anteil geht nach Europa und wird dort zu Fertigwaren für den transatlantischen Handel in die USA verarbeitet.

Unabhängig davon, ob wir heute den Stecker ziehen oder nicht, sind die europäischen Marinen nicht in der Lage, sich gegen die hochentwickelten Antischiffsraketen, Marschflugkörper und Drohnen zu verteidigen, die die Houthis derzeit einsetzen. Daher müssen die Vereinigten Staaten, ob jetzt oder in einigen Wochen, diese Schifffahrtswege wieder öffnen. Auf Ersuchen des Präsidenten arbeiten wir mit dem US-Verteidigungs- und Außenministerium zusammen, um die damit verbundenen Kosten zu ermitteln und sie den Europäern aufzuerlegen.

8:32 Uhr

Neu

Michael Waltz

Wie wir im ersten PC erklärt haben, stehen wir vor der grundsätzlichen Entscheidung, die Seewege geschlossen zu lassen oder sie jetzt oder später wieder zu öffnen. Leider sind wir die Einzigen, die dazu in der Lage sind.

Aus Sicht der Nachrichtenübermittlung ist dies definitiv einer der Gründe, warum die Europäer in ihre Verteidigung investieren müssen.

8:42 Uhr

2 Anmerkungen

JD Vance

@Pete Hegseth, wenn du denkst, wir sollten es tun, dann los.

Ich hasse es einfach, Europa erneut retten zu müssen.

8:45 Uhr

1 Der Vizepräsident hatte Europa bereits vor der Veröffentlichung dieser Botschaften auf vielfältige Weise vor den Kopf gestoßen.

In Großbritannien sorgte er kürzlich für Aufruhr, nachdem er behauptet hatte, ein amerikanisches Wirtschaftsabkommen mit der Ukraine sei eine bessere Sicherheitsgarantie für das Land als „20.000 Soldaten aus irgendeinem Land, das seit 30 oder 40 Jahren keinen Krieg mehr geführt hat“. Und er schockierte Deutschland, als er auf der Münchner Sicherheitskonferenz erschien und die Europäer an die Gesetze zur freien Meinungsäußerung erinnerte.

—Shawn McCreesh

2 Die Vorstellung, dass Europa in militärischen Angelegenheiten seinen Beitrag nicht leiste, war ein häufiges Thema der Trump-Administration, auch während der Europabesuche von Herrn Vance und Herrn Hegseth im Februar.

—Julian E. Barnes

JD Vance

Wir müssen sicherstellen, dass unsere Botschaft hier klar formuliert ist. Und wenn wir im Vorfeld etwas tun können, um das Risiko für die saudischen Ölanlagen zu minimieren, sollten wir das tun.

8:46 Uhr

Die Möglichkeit, dass amerikanische Angriffe auf die Huthi-Rebellen Angriffe auf Saudi-Arabien und eine Wiederaufnahme des brutalen Krieges des Königreichs im Jemen auslösen könnten, war eine der Hauptsorgen der Biden-Regierung und ein Hauptgrund dafür, dass das Weiße Haus bei seinen Angriffen auf Huthi-Ziele mit einer gewissen Zurückhaltung vorging.

—Julian E. Barnes

3 Anmerkungen

Pete Hegseth

VP:

Ich teile Ihre Abneigung gegen das europäische Trittbrettfahren voll und ganz. Es ist erbärmlich.

Aber Mike hat Recht, wir sind die Einzigen auf dem Planeten (auf unserer Seite), die das können.

Niemand sonst kommt dem auch nur nahe.

Die Frage ist der Zeitpunkt. Ich denke, jetzt ist ein ebenso guter Zeitpunkt wie jeder andere, angesichts der Anweisung des US-Präsidenten, die Schifffahrtswege wieder zu öffnen.

Ich denke, wir sollten gehen; aber der US-Präsident hat noch 24 Stunden Entscheidungsspielraum.

8:49 Uhr

1 Herr Hegseth wiederholt hier die Kritik der Trump-Regierung, dass die US-Marine mehr für die Offenhaltung der Schifffahrtswege durch den Suezkanal tue als die europäischen Seestreitkräfte. Die Verwendung von Begriffen wieabscheulichunderbärmlichdürfte seine nächsten Treffen mit europäischen Kollegen heikel machen.

– Helene Cooper

2 Hätte sich der interne Schlagabtausch innerhalb eines Regierungsgebäudes abgespielt, könnte man ihn durchaus als geheim betrachten:

Es handelt sich um eine Debatte hochrangiger Beamter über Außenpolitik.

Doch auf einer anderen, grundlegenderen Ebene ist er alles andere als geheim:

Herr Vance und andere haben sich in der Öffentlichkeit verächtlich über europäische Staats- und Regierungschefs geäußert.

—Devlin Barrett

3 Der Präsident wurde am Dienstagnachmittag gefragt, ob er dieser im Signal-Chat enthüllten Einschätzung zustimme. „Äh, wollen Sie wirklich, dass ich diese Frage beantworte?“, antwortete er und fügte hinzu: „Ja, ich glaube, sie haben sich auf Kosten anderer bereichert.“

—Shawn McCreesh

SM

Wie ich gehört habe, war der Präsident eindeutig: grünes Licht, aber wir müssen Ägypten und Europa schnell klarmachen, was wir im Gegenzug erwarten.

Wir müssen auch herausfinden, wie wir diese Forderung durchsetzen können.

Wenn Europa beispielsweise keine Gegenleistung erbringt, was dann? Wenn die USA die Freiheit der Schifffahrt unter großen Kosten erfolgreich wiederherstellen, muss im Gegenzug ein weiterer wirtschaftlicher Gewinn erzielt werden.

9:35 Uhr

Ob Stephen Miller oder jemand anderes diesen Artikel verfasst hat, der merkantilistische Ansatz der Trump-Präsidentschaft tritt hier voll zutage.

– Maggie Haberman

Pete Hegseth

Zustimmen

9:46 Uhr

Samstag, 15. März

Neue 6 Anmerkungen

Pete Hegseth

TEAM-UPDATE:

Aktuelle Uhrzeit (11:44 Uhr ET): Das Wetter ist günstig. Gerade von CENTCOM bestätigt, dass der Missionsstart möglich ist.

1215et: F-18 START (Erstschlagpaket)

1345: „Trigger Based“ F-18 Erstschlagfenster beginnt (Zielterrorist ist an seinem bekannten Standort, also SOLLTE er PÜNKTLICH SEIN) – außerdem Start der Angriffsdrohnen (MQ-9s)

1410: Start weiterer F-18 (Zweitschlagpaket)

1415: Drohnenangriff auf Ziel (DIESER ZEITPUNKT WERDEN DEFINITIV DIE ERSTEN BOMBEN ABFALLEN, vorbehaltlich früherer „auslöserbasierter“ Ziele)

1536: Der Zweitschlag der F-18 beginnt – außerdem werden die ersten seegestützten Tomahawks gestartet.

WEITERES FOLGT (pro Zeitleiste)

Wir sind derzeit sauber in Bezug auf OPSEC.

Viel Glück unseren Kriegern.

11:44 Uhr

1 The Atlantic hatte diese Nachricht von Herrn Hegsethzunächst zurückgehalten, veröffentlichte sie aber am Mittwoch, nachdem das Weiße Haus erklärt hatte, der Chat enthalte kein vertrauliches Material. Wie wir jetzt sehen, enthielt die Nachricht sehr genaue Angaben zum Zeitpunkt der Starts der Flugzeugträger, die Ziele der Huthi angreifen sollten. Startzeiten sind streng geheime Informationen, um sicherzustellen, dass sich die Ziele nicht verstecken oder einen Gegenangriff starten können, wenn die Flugzeuge abheben und potenziell verwundbar sind.

—Julian E. Barnes

2 In den Nachrichten beschreibt Herr Hegseth Luftangriffe von F/A-18F Super Hornets der Navy, die vom Flugzeugträger Harry S. Truman im Roten Meer gestartet werden, sowie MQ-9 Reaper-Drohnen, die von Landbasen im Nahen Osten aus starten. Der „Zielterrorist“, den Herr Hegseth im Chat beschreibt, ist ein nicht identifizierter Houthi-Kommandeur in einem Teil des Jemen, der von der vom Iran unterstützten militanten Gruppe kontrolliert wird. Trumps Berater haben gesagt, ein großer Unterschied zwischen den seit dem 15. März angeordneten Angriffen und denen, die vom ehemaligen Präsidenten Joseph R. Biden autorisiert wurden, bestehe darin, dass Trump den US-Kommandeuren in der Region mehr Autorität übertragen habe, um auch Houthi-Kommandeure und -Anführer anzugreifen, und nicht nur Radaranlagen, Waffendepots und andere Orte.

—Eric Schmitt

3 Die Details, die Herr Hegseth im Signal-Chat preisgab, waren eher ein Zeitplan als ein detaillierter „Kriegsplan“, der weitaus detaillierter gewesen wäre. Doch das dürfte dem Verteidigungsminister nicht zugutekommen. Entscheidend ist der Zeitpunkt: Wären diese Informationen durchgesickert, hätten die von den USA im Jemen ins Visier genommenen Personen Zeit zur Flucht gehabt. Und Hegseths Verweis auf OPSEC – operative Sicherheit – zeigte, dass er sich der Notwendigkeit der Geheimhaltung bewusst war.

– David Sanger

4 Hegseth antwortete auf Fragen zu dem Chat zweimal, dass „niemand Kriegspläne per SMS verschickt“ habe. Die Offenlegung des genauen Zeitpunkts und der Reihenfolge der Angriffe würde das Pentagon jedoch nur über sichere Regierungskanäle ermöglichen.

– Helene Cooper

5 Die neuen Nachrichten deuten darauf hin, dass TulsiGabbard, die Direktorin des Nationalen Geheimdienstes, bei ihrem gestrigen Auftritt vor dem Senat einen kritischen Teil des Gesprächs möglicherweise falsch dargestellt hat. Senator Martin Heinrich, Demokrat aus New Mexico, fragte Gabbard: „Konkrete operative Fragen waren nicht Gegenstand dieses Gesprächs?“ Ihre Antwort: „Richtig.“ Angesichts der Startzeiten, die die Verteidigungsministerin im Chat preisgab, werden die Demokraten im Repräsentantenhaus sie heute zweifellos dazu bedrängen.

—Julian E. Barnes

6 Das Weiße Haus bewegt sich hier auf einem ziemlich schwierigen Weg. Es betonte, es handele sich nicht um vertrauliche Informationen, und spielte die Probleme einer solchen Diskussion über eine Messaging-App für Privatkunden herunter. Doch angesichts der zusätzlichen Details – eher ein Zeitplan als ein detaillierter Kriegsplan, wie Sanger anmerkt – ist es noch rätselhafter, warum dies unter fast 20 hochrangigen Beratern außerhalb der sicheren Kommunikationskanäle der Regierung besprochen werden sollte.

– Maggie Haberman

JD Vance

Ich werde ein Gebet für den Sieg sprechen

12:13 Uhr

Neu

Michael Waltz

Vizepräsident. Gebäude eingestürzt. Mehrere positive Identifikationen. Pete, Kurilla, der IC, tolle Arbeit.

13:48 Uhr

Neu

JD Vance

Was?

Neu

Michael Waltz

Ich tippe zu schnell. Das erste Ziel – ihr Raketenspezialist – wurde eindeutig identifiziert, als er das Gebäude seiner Freundin betrat, und jetzt ist es eingestürzt.

14:00 Uhr

JD Vance

Exzellent

14:01 Uhr

John Ratcliffe

Ein guter Anfang

14:36 ​​Uhr

Michael Waltz



16:58 Uhr

BESCHÄDIGEN

Gute Arbeit, Pete und dein Team!!

17:14 Uhr

Michael Waltz

Auch das Team von MAL hat großartige Arbeit geleistet.

17:15 Uhr

Dies deutet darauf hin, dass die Gruppe wusste, was ihr Chef letztlich wollte – einen Sieg. Als Reaktion auf das Leck konzentrierten sich Trump und Beamte des Weißen Hauses auf den erfolgreichen Ausgang der Mission, um von der peinlichen und problematischen Art und Weise abzulenken, wie die Überlegungen dazu ans Licht kamen.

„Sie haben eine große Sache daraus gemacht, weil wir zwei perfekte Monate hatten“, sagte Trump am Dienstag.

– Erica L. Green

SM

Tolle Arbeit, alle zusammen. Starker Start.

17:18 Uhr

Die Angriffe waren der Auftakt zu einer neuen Offensive gegen die Houthis und eine klare Botschaft an den Iran, wie Trumps Vertreter gegenüber Reportern erklärten. Bei der Ankündigung der Angriffe sagte Trump: „An den Iran: Die Unterstützung der Houthi-Terroristen muss SOFORT beendet werden! Drohen Sie NICHT dem amerikanischen Volk, seinem Präsidenten, der eines der umfangreichsten Mandate in der Geschichte der Präsidenten erhalten hat, oder den weltweiten Schifffahrtswegen. Sollten Sie dies dennoch tun, dann seien Sie vorsichtig, denn Amerika wird Sie voll zur Verantwortung ziehen.“

– Helene Cooper

Neu

Pete Hegseth

CENTCOM war/ist auf dem Punkt. Tolle Arbeit, alle zusammen. Weitere Angriffe dauern seit Stunden heute Nacht an, und morgen wird ein vollständiger erster Bericht vorgelegt. Aber pünktlich, im Plan und bisher gute Ergebnisse.

17:20 Uhr

Nach einer ersten Angriffsrunde schrieb der Verteidigungsminister in dem Chat, dass „CENTCOM vor Ort war/ist“, und meinte damit das Zentralkommando des Militärs, das für die Operation verantwortlich war.

—Eric Schmitt

Susie Wiles

Ein großes Lob an alle – insbesondere an die im Theater und CENTCOM! Wirklich großartig. Gott segne euch.

17:21 Uhr

Neben dem Chatprotokoll veröffentlichte The AtlanticScreenshots der Teilnehmerliste, darunter Susie Wiles, Stabschefin des Weißen Hauses, und Dan Katz, Stabschef des Finanzministeriums. Besonders bemerkenswert ist jedoch, wer nicht dabei ist: Admiral Christopher Grady, amtierender Vorsitzender der Vereinigten Stabschefs und ranghöchster militärischer Berater des Präsidenten und des Verteidigungsministers. Es ist unerhört, dass der ranghöchste Offizier des Pentagons nicht an einer hochrangigen Besprechung einer Militäroperation teilnimmt.

– Helene Cooper

Steve Witkoff



17:47 Uhr

Herr Witkoff, der als Sondergesandter für den Nahen Osten und Russland fungiert, soll SMS-Apps relativ sparsam nutzen. Er befand sich in Russland, als er der Gruppe hinzugefügt wurde, und schien sich zum Zeitpunkt seiner Antwort wieder in den USA zu befinden, so eine über seinen Aufenthaltsort informierte Person. Herr Witkoff postete am Mittwoch auf X, dass er in Moskau nur ein sicheres Regierungstelefon dabei habe und erst nach seiner Rückkehr auf seine privaten Geräte zugegriffen habe.

– Maggie Haberman

TG

Tolle Arbeit und Effekte!

18:35 Uhr

Wir wissen nicht, ob die Textkette fortgesetzt wurde, weil Herr Goldberg sich aus dem Chat zurückgezogen hat. Er schrieb im „The Atlantic“, dass er nach den Angriffen davon überzeugt war, dass der Chat echt war, und sich deshalb aus dem Chat zurückgezogen habe.

—Julian E. Barnes

Trumps Team gegen Europa: Leak offenbart tiefe Verachtung und neue Richtung in der Außenpolitik

Ein Beitrag von

Werner Hoffmann
– Demokratie der Mitte, weil Extremflügel das Land zerstören –

Ein durchgesickerter Chatverlauf hochrangiger US-Regierungsmitglieder sorgt für Aufsehen:

Ausgerechnet in einem öffentlichen Messenger-Dienst wurde eine interne Diskussion über einen US-Militärschlag gegen die Huthi-Rebellen im Jemen versehentlich mit einem Journalisten von The Atlantic geteilt.

Der Vorfall gibt seltene Einblicke in die Denkweise von Trumps außenpolitischem Führungskreis – und enthüllt vor allem eines: eine unverhohlene Geringschätzung Europas.

“Ich hasse es, Europa wieder zu retten”

Im Zentrum des geleakten Gesprächs stehen Vizepräsident J.D. Vance, Verteidigungsminister Pete Hegseth und Sicherheitsberater Michael Waltz.

Die Diskussion dreht sich um einen geplanten Militärschlag gegen die Huthis, die seit Monaten wichtige Seehandelsrouten am Roten Meer stören.

Vance äußert Bedenken – nicht aus strategischen oder humanitären Gründen, sondern weil die Aktion Europas Wirtschaft mehr helfen könnte als der amerikanischen.

„Ich glaube, wir machen einen Fehler“, schreibt er. „3 Prozent des US-Handels laufen durch den Suezkanal – 40 Prozent des europäischen.“

Er bringt damit auf den Punkt, was viele in Europa seit langem befürchten:

Dass sich die USA unter Trump zunehmend aus der Verantwortung für globale Stabilität zurückziehen – zumindest dann, wenn daraus kein unmittelbarer Vorteil für Amerika entsteht.

Vance weiter: „Ich hasse es einfach, Europa schon wieder rauszuhauen.“

Hegseth nennt Europas Haltung „erbärmlich“

Auch Verteidigungsminister Hegseth spart nicht mit Kritik.

Zwar befürwortet er den Angriff, doch er stimmt Vance in einem zentralen Punkt zu:

Europas angebliches „Trittbrettfahren“ in Sicherheitsfragen.

Er nennt es „erbärmlich“ und spricht damit eine Haltung aus, die sich wie ein roter Faden durch Trumps außenpolitisches Denken zieht.

Als Kompromiss wird schließlich beschlossen, den Militärschlag durchzuführen – aber Europa die Kosten in Rechnung zu stellen.

Sicherheitsberater Waltz schreibt:

„Auf Wunsch des Präsidenten arbeiten wir mit Verteidigungs- und Außenministerium daran, die Kosten zu beziffern und den Europäern zu berechnen.“

Von Partnerschaft keine Spur

Der harsche Ton überrascht inhaltlich kaum – ist aber in seiner Direktheit erschütternd.

Während Europa sich immer noch als transatlantischer Partner sieht, betrachtet Trumps Team die Beziehung offenbar als einseitige Belastung.

Besonders J.D. Vance scheint kein Verständnis mehr für das bisherige Modell gegenseitiger Unterstützung zu haben.

In einem Interview mit Tucker Carlson erklärte ein außenpolitischer Gesandter der Trump-Regierung kürzlich sogar:

„Europa ist dysfunktional. Europa stirbt – leider.“

Solche Aussagen lassen wenig Spielraum für Interpretationen – und kaum Hoffnung auf eine partnerschaftliche Neuausrichtung.

Reaktionen in Europa: Alarmiert, aber nicht überrascht

In europäischen Hauptstädten dürfte das Leck für erneute Unruhe sorgen.

Staaten wie Großbritannien und die Niederlande hatten sich 2023 aktiv an militärischen Maßnahmen gegen die Huthis beteiligt – im Schulterschluss mit den USA unter Präsident Biden.

Dass dieselben Einsätze nun unter Trump öffentlich gegen Europa instrumentalisiert werden, dürfte viele vor den Kopf stoßen.

Auch der ehemalige belgische Premierminister Guy Verhofstadt reagierte: „Ein weiterer Weckruf für eine echte europäische Verteidigung“, schrieb er auf X. „Wann werden die EU-Führer endlich handeln?“

Fazit: Ein neues Kapitel der Entfremdung

Die geleakten Nachrichten markieren nicht nur einen diplomatischen Eklat – sie zeigen auch, wie tief die Kluft zwischen den USA unter Trump und Europa mittlerweile ist.

Die transatlantische Allianz, einst das Rückgrat westlicher Stabilität, steht vor einer historischen Belastungsprobe.

Und Europa muss sich fragen:

Wie lange kann es noch auf Amerika zählen – und wie schnell muss es lernen, auf eigenen Beinen zu stehen?

Palantir für die Polizei? Warum der Bundesrat Deutschlands Sicherheit einem Demokratiefeind ausliefert

Ein Beitrag von

Der Bundesrat will, dass die Polizei in ganz Deutschland künftig auf die Big-Data-Software Palantir setzt.

Was auf den ersten Blick nach einem Schritt Richtung „digitale Modernisierung“ klingt, ist bei genauerem Hinsehen ein demokratiepolitischer Skandal:

Denn Palantir gehört Peter Thiel, einem ultrarechten US-Milliardär, der offen gegen demokratische Grundwerte agiert.

Diesem Mann öffentliche Gelder und sicherheitsrelevante Daten in den Rachen zu werfen, ist nicht nur unverantwortlich

es ist ein Sicherheitsrisiko von nationaler Tragweite.

Ein gefährliches Abhängigkeitsverhältnis

Die Software von Palantir wird bereits von Sicherheitsbehörden in Hessen, Bayern und NRW genutzt. Nun soll sie bundesweit eingeführt werden – offiziell nur „vorübergehend“.

Doch wer einmal die sensiblen Polizeidaten aller Bundesländer zentral zusammenführt und sie in proprietären Strukturen speichert, macht sich dauerhaft abhängig.

Genau das ist die Logik hinter Palantirs Geschäftsmodell: Staaten in sicherheitsrelevante Daten-Infrastrukturen einsperren.

In Sonntagsreden schwärmt die Politik von „digitaler Souveränität“.

Doch ausgerechnet in Fragen der inneren Sicherheit will man sich nun einem US-Konzern mit dubiosen Verbindungen ausliefern?

Es gäbe durchaus Alternativen – z. B. Softwarelösungen aus der EU, die demokratischen Grundsätzen verpflichtet sind und der europäischen Datenschutzgrundverordnung unterliegen.

Doch diese Debatte wird im Bundesrat offenbar ignoriert.

Wer ist Peter Thiel?

Peter Thiel ist kein neutraler Tech-Unternehmer.

Er ist ein ideologischer Strippenzieher mit einem klaren Ziel:

die Demokratie durch eine technokratische Eliteherrschaft zu ersetzen.

Thiel ist ein erklärter Gegner demokratischer Ordnungen – und das ist keine polemische Übertreibung, sondern dokumentierte Überzeugung.

„Ich glaube nicht mehr, dass Demokratie und Freiheit kompatibel sind.“
Peter Thiel, 2009

Er ist bekennender Fan des NS-Staatsrechtlers Carl Schmitt, dessen Theorien in der Neuen Rechten weltweit rezipiert werden.

Thiel sieht Freiheit nicht als kollektives Gut, sondern als das Privileg von Milliardären, ohne Kontrolle über die Gesellschaft zu herrschen.

Thiels politische Agenda: Ein Netz der Macht

  • 1998: Mitgründung von PayPal (mit Elon Musk)
  • 2004: Erstinvestor bei Facebook
  • 2004: Mitgründung von Palantir, entwickelt für CIA, NSA und Polizei
  • 2009: Gründung des Thiel Fellowship, Förderung elitären Denkens
  • 2012: Veröffentlichung des Buchs Zero to One, Manifest gegen Gleichheit
  • 2016: Öffentliche Unterstützung von Donald Trump, Einfluss auf Regierungsteam
  • 2018: Finanzierung des Claremont Institute, Thinktank der Neuen Rechten
  • 2020: Investition in autoritäre Privatstadt Prospera in Honduras
  • 2021: Finanzierung von JD Vance (Senator, möglicher Trump-Vize) mit 15 Mio. USD
  • 2024: Debatte über den Einsatz von Palantir bei der deutschen Polizei

Der Bundesrat muss handeln

Wer Palantir in die Polizeiarbeit integriert, macht Deutschland abhängig von einem Demokratiefeind – technologisch, politisch und sicherheitspolitisch.

In Zeiten wachsender geopolitischer Unsicherheiten ist es brandgefährlich, zentrale Sicherheitsinfrastruktur in die Hände eines Milliardärs zu legen, der mit autoritären Kräften wie Trump, Musk und der Neuen Rechten sympathisiert.

Die Bundesregierung und der Bundesrat müssen diesen Beschluss dringend überdenken.

Es braucht eine offene, demokratische Debatte über digitale Souveränität, Datenschutz, Abhängigkeiten und Alternativen – bevor Entscheidungen getroffen werden, die nicht mehr rückgängig zu machen sind.

Fazit:

Wer Palantir kauft, zahlt nicht nur mit Geld – sondern mit Freiheit und Souveränität.

Einen interessanten Artikel hierzu gibt es

– bei Netzpolitik.org

https://netzpolitik.org/2025/palantir-wer-jetzt-bei-peter-thiel-software-kauft-hat-wirklich-nichts-verstanden/

– und bei LinkedIn

https://www.linkedin.com/posts/torstenmaterna_wer-jetzt-bei-peter-thiel-software-kauft-activity-7309958940765618178-kMtW?utm_source=share&utm_medium=member_ios&rcm=ACoAADSumNEBGYgkWA6yjTr6uB0NX_Lnrr_XlN0

TESLA-SCHOCK: 1,4 Milliarden Dollar verschwunden – Platzt jetzt die Tesla-Elektro-Blase?

Ein Beitrag von

Werner Hoffmann .

Zum Vorlesen

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Tesla-Schock https://youtu.be/47z3_zOckM0?si=o6_–4v4PUgvUF8-
#Elon #Musk #Technokrat und #AutoKRAT

Was verschweigt Elon Musk?

Die britische Financial Times hat einen massiven Fehlbetrag in Teslas Geschäftszahlen entdeckt:

Ganze 1,4 Milliarden US-Dollar an Investitionsausgaben für Eigentum und Ausrüstung scheinen im zweiten Halbjahr 2024 spurlos verschwunden zu sein.

Eine Summe, die selbst für ein Weltunternehmen wie Tesla Fragen aufwirft – und Erinnerungen an frühere Finanzskandale weckt.

Ein rätselhafter Unterschied

Laut den von Tesla selbst veröffentlichten Daten hat das Unternehmen zwischen Juli und Dezember 2024 6,3 Milliarden Dollar in physische Güter investiert. Doch der tatsächliche Wertzuwachs in Teslas Besitz beläuft sich im gleichen Zeitraum nur auf 4,9 Milliarden Dollar. Eine Differenz von 1,4 Milliarden, für die bislang jede Erklärung fehlt.

Zwar sind kleinere Abweichungen zwischen Investitionsausgaben und Bilanzwerten in der Unternehmenswelt nichts Ungewöhnliches – etwa durch Vorlaufkosten oder Projektverschiebungen.

Doch dieser Unterschied ist außergewöhnlich groß und taucht ausgerechnet im vierten Quartal 2024 auf – ein Zeitraum, der bereits zuvor mit schlechten Nachrichten für Tesla Schlagzeilen machte.

Börsenaufsicht eingeschaltet – Musk schweigt

Die Anomalie wurde im Rahmen der bei der US-Börsenaufsicht SEC eingereichten Cashflow-Berichte entdeckt. Experten halten den plötzlichen Wertverfall für ein potenzielles Warnsignal: Unzureichende interne Kontrollen, undurchsichtige Buchungen – und möglicherweise ein tieferliegendes strukturelles Problem bei Tesla.

Ein Professor der SRH Berlin University of Applied Sciences zieht gar Parallelen zum Wirecard-Skandal – ein Vergleich, der Elon Musk gar nicht gefallen dürfte.

Bisher gibt es keine Stellungnahme von Tesla. Auch ob der fehlende Betrag in kommenden Quartalen auftaucht oder ob hier ein handfester Bilanzskandal im Anrollen ist, bleibt ungewiss.

Mehr Schulden, weniger Autos

Die Enthüllung trifft Tesla in einer denkbar kritischen Phase. Der Absatz von Elektroautos ist zuletzt weltweit, besonders aber in Europa, dramatisch eingebrochen. Der Aktienkurs des Konzerns ist seit Jahresbeginn um über 40 Prozent gefallen, nachdem er kurz zuvor ein Rekordhoch erreicht hatte. Und obwohl Tesla mit 37 Milliarden US-Dollar über ein gewaltiges Vermögen verfügt, hat man sich zusätzlich 6 Milliarden Dollar Schulden aufgenommen – ein Schritt, der in der aktuellen Lage für Unverständnis sorgt.

Fest steht:

Investoren, Analysten und Aufsichtsbehörden werden jetzt ganz genau hinschauen.

Zusätzliche Hintergrundinfos:

   •   Die Financial Times hatte bereits im Fall Wirecard früh auf Ungereimtheiten hingewiesen – was dem Medium zusätzliche Glaubwürdigkeit verleiht.

   •   Tesla unterliegt als börsennotiertes Unternehmen in den USA strengen Berichtspflichten nach dem Sarbanes-Oxley Act, der nach dem Enron-Skandal eingeführt wurde – Verstöße könnten also strafrechtliche Konsequenzen haben.

   •   Der Einbruch der Verkaufszahlen trifft Tesla in einem zunehmend umkämpften Markt: Chinesische Hersteller wie BYD holen rasant auf, während klassische Autobauer wie VW und Hyundai ihre E-Modelle immer stärker pushen.

   •   Elon Musk verkauft sich gerne als Visionär, doch seine Twitter-Aktivitäten und politische Positionierungen haben dem Unternehmen bereits mehrfach PR-Krisen eingebrockt.

Möglicherweise steht Tesla am Anfang einer neuen Krise – oder aber Elon Musk zieht wie so oft ein Ass aus dem Ärmel. Doch diesmal scheint selbst der Markt misstrauisch zu werden.

——

Musk und die Politik – ein kalkulierter Kurswechsel?

Immer häufiger wird spekuliert, ob Elon Musk seinen politischen Einfluss nicht nur aus ideologischen Gründen sucht, sondern auch als strategischen Selbstschutz.

Bereits 2023 intensivierte er seine Nähe zu republikanischen Kreisen – insbesondere zu Donald Trump und dessen Umfeld. Dabei zeigte er sich offen für eine aktivere Rolle in der Politik – etwa bei der Neugestaltung der Aufsichtsbehörden, sollten die Republikaner die US-Wahl 2024 gewinnen.

Tatsächlich kursieren Berichte, wonach Musk intern Interesse bekundet haben soll, eine Schlüsselrolle im Umfeld einer möglichen Trump-Regierung zu übernehmen – etwa als eine Art “Reformer” oder “Zerschläger” von Institutionen wie der US-Verbraucherschutzbehörde (CFPB) oder der Börsenaufsicht (SEC), die Tesla regelmäßig unter die Lupe nehmen.

Kritiker sehen darin den Versuch, sich potenziellen Ermittlungen und regulatorischen Hürden zu entziehen – ein gefährlicher Drahtseilakt zwischen Unternehmertum, politischem Aktivismus und Eigeninteresse. Vor allem die SEC dürfte mit Argwohn beobachten, ob Musk künftig versucht, Aufsicht durch Einfluss zu ersetzen.

Was steckt wirklich dahinter?

Ob es sich bei den 1,4 Milliarden Dollar um ein schlichtes Buchhaltungsproblem, eine Verzögerung in der Projektbilanzierung oder doch um ein tieferes strukturelles Defizit handelt – das bleibt offen. Doch fest steht: Investoren, Analysten und Aufsichtsbehörden werden jetzt ganz genau hinschauen.

Und Elon Musk? Der hat sich längst in Stellung gebracht – in der Politik, im Medienzirkus und womöglich bald im Machtzentrum einer neuen Regierung. Ob das dem Tesla-Image hilft – oder den Anfang vom Ende markiert – ist derzeit völlig offen.

——

Faktencheck: Musk & Politik

   •   Nähe zu Trump: Elon Musk hat sich seit 2022 zunehmend politisch positioniert und seine frühere, eher liberale Haltung abgelegt. Auf X (ehemals Twitter), das er selbst besitzt, verbreitet er regelmäßig konservative und regierungsfeindliche Positionen. 2023 traf er sich mehrfach mit Donald Trump und hochrangigen republikanischen Parteistrategen. Insider berichteten, dass Musk in Gesprächen über die mögliche Neustrukturierung von Bundesbehörden beteiligt gewesen sein soll, falls die Republikaner 2024 wieder an die Macht kommen.

   •   Politischer Einfluss durch „X“: Mit der Übernahme von Twitter hat Musk nicht nur ein Meinungsmedium kontrolliert, sondern auch aktiv genutzt, um politische Narrative zu prägen – oft im Sinne republikanischer oder libertärer Positionen. Kritiker werfen ihm vor, so eine eigene Medienmacht aufgebaut zu haben, mit der er auch wirtschaftliche und regulatorische Debatten beeinflussen will.

   •   Super-PAC-Initiative: 2023 kündigte Musk an, einen sogenannten Super-PAC zu gründen, also ein politisches Aktionskomitee, das unbegrenzt Spenden einwerben darf, um konservative Kandidaten und „wirtschaftsfreundliche Reformen“ zu fördern. Ziel sei es, „den Verwaltungsstaat zu entschlacken“ – ein bekanntes republikanisches Schlagwort, das vor allem auf Institutionen wie die SEC, die FTC (Federal Trade Commission) oder die EPA (Umweltschutzbehörde) zielt.

   •   Konflikte mit Behörden: Tesla und Musk stehen schon länger im Visier von US-Aufsichtsbehörden. Die SEC hatte ihn bereits 2018 zu einer Millionenstrafe verdonnert, nachdem er irreführende Tweets über einen angeblichen Börsenrückzug von Tesla veröffentlicht hatte. Auch jüngst ermittelt die National Highway Traffic Safety Administration (NHTSA) wegen Problemen mit dem Autopiloten – einem weiteren sensiblen Tesla-Geschäftsbereich. In diesem Kontext wirkt Musks Wunsch nach politischem Einfluss nicht rein ideologisch, sondern strategisch motiviert.

   •   Expertenwarnungen: Mehrere US-Wirtschaftswissenschaftler, darunter Professoren der Stanford University und der NYU, haben öffentlich davor gewarnt, dass eine Verquickung von Musks wirtschaftlicher Macht mit politischem Einfluss aufsichtsrechtliche Risiken birgt. Sollte Musk tatsächlich eine Rolle in einer deregulierten, republikanisch geführten US-Regierung übernehmen, könnte das zu einem Interessenskonflikt führen, der die Integrität von Marktregeln gefährdet.

HOW FREE ARE YOU REALLY? THE GLOBAL DEMOCRACY SHOCK!

The Great Democracy Check of Nations – Who Lies to Us, Oppresses Us, or Truly Lets Us Live Freely!

An article by

Werner Hoffmann

First of all:

Out of 167 countries, Germany ranks 13th and is classified as a full democracy.

In 2024, the United States ranked 28th and was categorized as a flawed democracy.

It is expected that due to Trump’s activities, the U.S. will drop significantly in the rankings.

Depending on further undemocratic actions, the U.S. could potentially fall as low as 100th place.

What is the Democracy Index?

The Democracy Index, published by the Economist Intelligence Unit (EIU), reveals how democratic a country really is – or if it just pretends to be!

60 questions, 5 categories, 1 truth – each year, the EIU assesses 167 countries based on clear criteria:

   •   Electoral process and pluralism: Are elections fair and free?

   •   Functioning of government: Is the government transparent and accountable?

   •   Political participation: Can citizens participate freely and effectively?

   •   Political culture: Is democracy seen as a given?

   •   Civil liberties: Are freedom of speech, press, and assembly protected?

At the end, each country receives a score between 0 and 10. The higher the score, the more democratic the country. Based on the score, countries fall into one of four categories:

   •   8.01–10.00: Full democracy

   •   6.01–8.00: Flawed democracy

   •   4.01–6.00: Hybrid regime

   •   0.00–4.00: Authoritarian regime

Significant shifts are expected in 2025. Some trends are already emerging.

Rank Country Index Score Classification
1 Norway 9.81 Full democracy
2 New Zealand 9.61 Full democracy
3 Sweden 9.39 Full democracy
4 Iceland 9.38 Full democracy
5 Switzerland 9.32 Full democracy
6 Finland 9.30 Full democracy
7 Denmark 9.28 Full democracy
8 Ireland 9.19 Full democracy
9 Netherlands 9.00 Full democracy
10 Luxembourg 8.88 Full democracy
11 Australia 8.85 Full democracy
12 Taiwan 8.78 Full democracy
13 Germany 8.73 Full democracy
14 Canada 8.69 Full democracy
15 Uruguay 8.67 Full democracy
16 Japan 8.48 Full democracy
17 United Kingdom 8.34 Full democracy
18 Costa Rica 8.29 Full democracy
19 Austria 8.28 Full democracy
20 Mauritius 8.23 Full democracy
21= Estonia 8.13 Full democracy
21= Spain 8.13 Full democracy
23= Czech Republic 8.08 Full democracy
23= Portugal 8.08 Full democracy
25 Greece 8.07 Full democracy
26 France 7.99 Flawed democracy
27 Malta 7.93 Flawed democracy
28 United States 7.85 Flawed democracy
29 Chile 7.83 Flawed democracy
30 Slovenia 7.82 Flawed democracy
31 Israel 7.80 Flawed democracy
32 South Korea 7.75 Flawed democracy
33 Latvia 7.66 Flawed democracy
34 Belgium 7.64 Flawed democracy
35 Botswana 7.63 Flawed democracy
36 Lithuania 7.59 Flawed democracy
37= Cape Verde 7.58 Flawed democracy
37= Italy 7.58 Flawed democracy
39 Poland 7.40 Flawed democracy
40 Cyprus 7.38 Flawed democracy
41 India 7.29 Flawed democracy
42 Slovakia 7.21 Flawed democracy
43 South Africa 7.16 Flawed democracy
44 Malaysia 7.11 Flawed democracy
45 Trinidad and Tobago 7.09 Flawed democracy
46 Timor-Leste 7.03 Flawed democracy
47 Panama 6.84 Flawed democracy
48 Suriname 6.79 Flawed democracy
49 Jamaica 6.74 Flawed democracy
50 Montenegro 6.73 Flawed democracy
Rank Country Index Score Classification
51 Philippines 6.63 Flawed democracy
52 Dominican Republic 6.62 Flawed democracy
53 Mongolia 6.53 Flawed democracy
54= Argentina 6.51 Flawed democracy
54= Hungary 6.51 Flawed democracy
56 Croatia 6.50 Flawed democracy
57 Brazil 6.49 Flawed democracy
58 Namibia 6.48 Flawed democracy
59 Indonesia 6.44 Flawed democracy
60 Colombia 6.35 Flawed democracy
61 Bulgaria 6.34 Flawed democracy
62 North Macedonia 6.28 Flawed democracy
63 Thailand 6.27 Flawed democracy
64 Serbia 6.26 Flawed democracy
65 Ghana 6.24 Flawed democracy
66 Albania 6.20 Flawed democracy
67 Sri Lanka 6.19 Flawed democracy
68 Singapore 6.18 Flawed democracy
69 Guyana 6.11 Flawed democracy
70 Lesotho 6.06 Flawed democracy
71 Moldova 6.04 Flawed democracy
72 Romania 5.99 Hybrid regime
73 Papua New Guinea 5.97 Hybrid regime
74 Senegal 5.93 Hybrid regime
75 Paraguay 5.92 Hybrid regime
76 Malawi 5.85 Hybrid regime
77 Zambia 5.73 Hybrid regime
78 Peru 5.69 Hybrid regime
79 Bhutan 5.65 Hybrid regime
80 Liberia 5.57 Hybrid regime
81 Fiji 5.39 Hybrid regime
82 Armenia 5.35 Hybrid regime
83 Madagascar 5.33 Hybrid regime
84 Mexico 5.32 Hybrid regime
85 Ecuador 5.24 Hybrid regime
86 Tanzania 5.20 Hybrid regime
87 Hong Kong 5.09 Hybrid regime
88 Bosnia and Herzegovina 5.06 Hybrid regime
89 Kenya 5.05 Hybrid regime
90 Honduras 4.98 Hybrid regime
91 Morocco 4.97 Hybrid regime
92 Ukraine 4.90 Hybrid regime
93 Tunisia 4.71 Hybrid regime
94 Georgia 4.70 Hybrid regime
95 El Salvador 4.61 Hybrid regime
96 Nepal 4.60 Hybrid regime
97 Guatemala 4.55 Hybrid regime
98 Uganda 4.49 Hybrid regime
99 Gambia 4.47 Hybrid regime
100= Bangladesh 4.44 Hybrid regime
100= Benin 4.44 Hybrid regime
Rank Country Index Score Classification
101 Not listed (skipped)
102 Sierra Leone 4.32 Hybrid regime
103= Bolivia 4.26 Hybrid regime
103= Turkey 4.26 Hybrid regime
105 Ivory Coast 4.22 Hybrid regime
106 Nigeria 4.16 Hybrid regime
107 Angola 4.05 Hybrid regime
108 Mauritania 3.96 Authoritarian regime
109 Lebanon 3.56 Authoritarian regime
110 Algeria 3.55 Authoritarian regime
111 Kyrgyzstan 3.52 Authoritarian regime
112 Palestine 3.44 Authoritarian regime
113 Mozambique 3.38 Authoritarian regime
114 Rwanda 3.34 Authoritarian regime
115 Jordan 3.28 Authoritarian regime
116 Ethiopia 3.24 Authoritarian regime
117 Qatar 3.17 Authoritarian regime
118 Kazakhstan 3.08 Authoritarian regime
119 United Arab Emirates 3.07 Authoritarian regime
120 Oman 3.05 Authoritarian regime
121 Togo 2.99 Authoritarian regime
122 Zimbabwe 2.98 Authoritarian regime
123 Cambodia 2.94 Authoritarian regime
124= Comoros 2.84 Authoritarian regime
124= Pakistan 2.84 Authoritarian regime
126= Azerbaijan 2.80 Authoritarian regime
126= Iraq 2.80 Authoritarian regime
128= Republic of Congo (Brazzaville) 2.79 Authoritarian regime
128= Egypt 2.79 Authoritarian regime
130 Kuwait 2.78 Authoritarian regime
131 Haiti 2.74 Authoritarian regime
132 Djibouti 2.70 Authoritarian regime
133 Vietnam 2.62 Authoritarian regime
134 Eswatini 2.60 Authoritarian regime
135 Cuba 2.58 Authoritarian regime
136 Cameroon 2.56 Authoritarian regime
137 Burkina Faso 2.55 Authoritarian regime
138 Bahrain 2.45 Authoritarian regime
139 Mali 2.40 Authoritarian regime
140 Libya 2.31 Authoritarian regime
141 Niger 2.26 Authoritarian regime
142 Venezuela 2.25 Authoritarian regime
143 Gabon 2.18 Authoritarian regime
144 Burundi 2.13 Authoritarian regime
145 China 2.11 Authoritarian regime
146 Uzbekistan 2.10 Authoritarian regime
147 Nicaragua 2.09 Authoritarian regime
148 Saudi Arabia 2.08 Authoritarian regime
149 Guinea 2.04 Authoritarian regime
150= Guinea-Bissau 2.03 Authoritarian regime
150= Russia 2.03 Authoritarian regime
Rank Country Index Score Classification
151 Not listed (skipped)
152 Belarus 1.99 Authoritarian regime
153 Eritrea 1.97 Authoritarian regime
154 Iran 1.96 Authoritarian regime
155 Yemen 1.95 Authoritarian regime
156= Democratic Republic of Congo 1.92 Authoritarian regime
156= Equatorial Guinea 1.92 Authoritarian regime
158 Chad 1.89 Authoritarian regime
159 Tajikistan 1.83 Authoritarian regime
160 Laos 1.71 Authoritarian regime
161 Turkmenistan 1.66 Authoritarian regime
162 Sudan 1.46 Authoritarian regime
163 Syria 1.32 Authoritarian regime
164 Central African Republic 1.18 Authoritarian regime
165 North Korea 1.08 Authoritarian regime
166 Myanmar 0.96 Authoritarian regime
167 Afghanistan 0.25 Authoritarian regime
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