L’AMÉRIQUE DEVIENT FOLLE ! – Musées censurés, art banni – de plus en plus d’Allemands ripostent : BOYCOTT des MARQUES AMÉRICAINES !

Un article de

#Mirko #Lange.

Ce qui se passe actuellement aux États-Unis me touche profondément — comme probablement beaucoup d’autres ici.

Lorsqu’un gouvernement commence à restructurer les musées, à interdire des expositions et à retirer volontairement des œuvres d’art et de littérature critiques, ce n’est plus de la politique conservatrice — c’est autoritaire. Totalitaire. Fasciste.

Celui qui « purifie » idéologiquement la culture attaque le cœur même de la société ouverte.

Désormais, je vais boycotter autant que possible les produits américains. Pas par hostilité, ni même par indignation. Mais par responsabilité et par besoin de me sentir utile. Un renoncement total n’est pas réaliste, mais des choix ciblés sont possibles lorsqu’il existe des alternatives.

Les grandes entreprises sont sensibles aux signaux publics. Il ne s’agit pas de pureté morale, mais d’efficacité. Et je soutiendrai également celles et ceux qui s’opposent ouvertement à Trump — que ce soit des entreprises, des voix critiques ou des esprits créatifs.

Exemples possibles de #boycott :

  • Streaming et abonnements numériques

    Apple TV+, Netflix, Disney+, Amazon Prime Video, YouTube Premium

    → Annuler ou suspendre. Utiliser Arte, Magenta ou les plateformes publiques.
  • Technologie – matériel et appareils

    Apple (iPhone, Mac), Microsoft (Surface), Google (Pixel), Amazon (Alexa, Kindle)

    → Lors d’un achat, envisager des alternatives européennes ou asiatiques. Réparer plutôt que remplacer.
  • Automobile et mobilité

    Tesla, Jeep, Chrysler, Dodge, Uber, Lime, Bird, Spin (services aux États-Unis)

    → Choisir des modèles européens ou asiatiques. Acheter d’occasion. Favoriser les transports en commun.
  • Mode et style de vie

    Nike, Levi’s, GAP, Calvin Klein, Tommy Hilfiger, Converse, New Balance, Victoria’s Secret

    → Privilégier des marques durables européennes. Acheter d’occasion.
  • Alimentation et snacks

    Coca-Cola, Pepsi, Kellogg’s, Mars, Mondelez (Oreo, Milka), Heinz, Hershey’s

    → Acheter localement, soutenir les petites marques.
  • Chaînes et restauration américaines

    McDonald’s, Burger King, Starbucks, KFC, Subway, Dunkin’

    → Soutenir les restaurants et cafés locaux. Éviter le fast-food.
  • Voyages et tourisme

    Voyages aux États-Unis et compagnies aériennes américaines (Delta, American Airlines, United)

    → Choisir des destinations aux politiques culturelles progressistes. Voyager avec des compagnies européennes.
  • Finances et paiements

    Visa, Mastercard, PayPal

    → Si possible, utiliser des alternatives européennes ou un virement bancaire.

Je sais, ce ne sera pas confortable. Et c’est contradictoire : je publie cela sur LinkedIn, une plateforme américaine. Mais c’est justement pour ça : j’utilise sa portée pour attirer l’attention sur ce problème. Un boycott silencieux n’a d’effet que s’il est visible. Et beaucoup de ces choix pourraient aussi faire du bien à mon corps et à mon esprit.

Si vous souhaitez faire pareil, partagez ce post avec votre propre message.

PS : Le mot „BIC“ sur la photo est erroné. Je ne peux plus modifier l’image.

Naturellement, la première étape consiste à renoncer aux produits américains que l’on peut (peut-être même facilement) remplacer. Et si c’est facile, peut-être que 20 millions d’autres feront de même.


Commentaire de

Werner Hoffmann.


– Pour une démocratie au centre, car les extrêmes détruisent le pays –

Merci, Mirko, pour ce post clair et courageux !
Je partage pleinement ton avis :

Les pays démocratiques devraient être bien plus conscients de leur puissance économique collective.

Les États-Unis comptent environ 330 millions d’habitants — impressionnant, certes.
Mais l’Union européenne en compte déjà plus de 450 millions, auxquels s’ajoutent :

  • 67 millions au Royaume-Uni,
  • 39 millions au Canada,
  • Plus de 1,4 milliard en Inde,
  • 126 millions au Japon,
  • 52 millions en Corée du Sud,
  • 26 millions en Australie,
  • Et près de 5 millions en Nouvelle-Zélande.

Ensemble, cette « coalition des démocraties volontaires » représente plus de 2,5 milliards de personnes vivant dans des sociétés libres et démocratiques — et donc une puissance économique, culturelle et politique énorme.

Trump et ses partisans doivent comprendre : ce n’est pas nous qui dépendons d’eux — c’est eux qui dépendent de nous.

La défense de la démocratie ne commence pas uniquement dans les urnes — elle commence dans notre comportement quotidien.
Et oui, cela inclut la consommation. Celles et ceux qui choisissent des produits alignés sur des valeurs démocratiques (ou évitent sciemment ceux qui les bafouent) prennent une responsabilité concrète et visible.

Évidemment, il n’est pas nécessaire de jeter son iPhone. Mais on peut envisager une alternative au prochain achat. Et soyons honnêtes : personne n’a besoin de Coca-Cola ou de Pepsi pour survivre.

J’ai moi aussi commencé, il y a des années, à établir une liste personnelle de boycott — d’abord contre la Russie, et aujourd’hui bien plus large. J’ai écrit deux articles pour expliquer mes réflexions et mes critères :

  1. Ma liste personnelle de sanctions : ces pays que j’évite en tant que démocrate et Européen

    → Lien ci-dessous *
  2. Chaque achat finance les autocrates ! Pourquoi nous devons changer radicalement nos habitudes de consommation — et comment ma liste personnelle peut aider

    → Lien ci-dessous **

Il ne s’agit pas seulement des États-Unis, mais aussi d’entreprises allemandes qui :

  • Poursuivent leurs affaires avec des autocraties comme la Russie,
  • Encouragent ou tolèrent des idéologies antidémocratiques ou d’extrême droite,
  • Évitent l’impôt au détriment de l’État — donc de nous tous.

La démocratie commence au moment de l’achat.
Et plus ce boycott silencieux sera visible, plus son effet sera fort.
Merci d’avoir mis ce sujet crucial sur la table !


Liens vers les articles cités :

iEE. UU. SE ESTÁ VOLVIENDO LOCO! – Museos censurados, arte prohibido – cada vez más alemanes contraatacan: ¡BOICOT a las MARCAS ESTADOUNIDENSES!

Un artículo de

#Mirko #Lange.

Lo que está ocurriendo ahora en Estados Unidos me conmociona profundamente, como seguramente le ocurre a mucha gente aquí. Cuando los gobiernos empiezan a reestructurar museos, prohibir exposiciones y eliminar deliberadamente el arte y la literatura crítica, eso ya no es política conservadora. Es autoritarismo. Totalitarismo. Fascismo.

Quien „depura“ ideológicamente la cultura está atacando el núcleo de una sociedad abierta.

Por eso voy a empezar a boicotear productos estadounidenses, en la medida de lo posible. No por enemistad, ni siquiera por indignación. Lo hago por responsabilidad y por una necesidad de sentirme eficaz. Sé que no es realista renunciar completamente, pero sí se pueden tomar decisiones conscientes allí donde hay alternativas.

Las grandes corporaciones reaccionan de forma sensible a las señales públicas. No se trata de pureza moral, sino de impacto. También apoyaré (es decir, “recompensaré”) a quienes se opongan públicamente a Trump: empresas, voces críticas, mentes creativas.

Ejemplos de posibles objetivos de un #boicot:

  • Streaming y suscripciones digitales

    Apple TV+, Netflix, Disney+, Amazon Prime Video, YouTube Premium

    → Cancelar o pausar. Usar alternativas como Arte, Magenta o las plataformas públicas.
  • Tecnología – Hardware y dispositivos

    Apple (iPhone, Mac), Microsoft (Surface), Google (Pixel), Amazon (Alexa, Kindle)

    → Al comprar, considerar marcas europeas o asiáticas. Reparar más, reemplazar menos.
  • Automoción y movilidad

    Tesla, Jeep, Chrysler, Dodge, Uber, Lime, Bird, Spin (servicios en EE. UU.)

    → Usar modelos europeos o asiáticos. Comprar de segunda mano. Fomentar el transporte público.
  • Moda y estilo de vida

    Nike, Levi’s, GAP, Calvin Klein, Tommy Hilfiger, Converse, New Balance, Victoria’s Secret

    → Preferir marcas sostenibles europeas. Comprar ropa de segunda mano.
  • Alimentos y snacks

    Coca-Cola, Pepsi, Kellogg’s, Mars, Mondelez (Oreo, Milka), Heinz, Hershey’s

    → Comprar productos locales, apoyar marcas pequeñas.
  • Cadenas estadounidenses y gastronomía

    McDonald’s, Burger King, Starbucks, KFC, Subway, Dunkin’

    → Apoyar la gastronomía local, cafeterías independientes. Evitar la comida rápida.
  • Viajes y turismo

    Viajes a EE. UU. y aerolíneas estadounidenses (como Delta, American Airlines, United)

    → Elegir destinos con políticas culturales liberales. Volar con aerolíneas europeas.
  • Finanzas y pagos

    Visa, Mastercard, PayPal

    → Donde sea posible, usar alternativas europeas o transferencia bancaria directa.

Sé que esto no será cómodo. Y sí, es contradictorio: estoy publicando esto en LinkedIn, una plataforma estadounidense. Pero justamente por eso: uso este alcance para llamar la atención sobre el problema. Un boicot silencioso solo tiene efecto si se vuelve visible. Además, muchas de estas decisiones probablemente también beneficien a mi cuerpo y mente.

Si tú también quieres actuar, comparte esta publicación con tu propio mensaje personal.

PD: El „BIC“ en la imagen es incorrecto. No puedo cambiar la foto.

Claro que el primer paso es empezar por los productos estadounidenses que uno puede (quizás incluso fácilmente) dejar de usar o reemplazar. Y si es fácil, tal vez otros 20 millones lo hagan también.


Comentario de

Werner Hoffmann.

– Democracia del centro, porque los extremos destruyen el país –

Gracias, Mirko, por esta publicación tan clara y valiente.
Estoy totalmente de acuerdo:

Los países democráticos deben ser mucho más conscientes de su poder de mercado.

EE. UU. tiene unos 330 millones de habitantes – impresionante, sí.
Pero la Unión Europea ya tiene más de 450 millones, más:

  • 67 millones en el Reino Unido,
  • 39 millones en Canadá,
  • Más de 1.400 millones en la India,
  • 126 millones en Japón,
  • 52 millones en Corea del Sur,
  • 26 millones en Australia,
  • Casi 5 millones en Nueva Zelanda.

En conjunto, esta coalición de democracias dispuestas representa a más de 2.500 millones de personas que viven en sociedades libres y democráticas — y que, por tanto, poseen un enorme poder económico, cultural y político.

Trump y sus seguidores deben entender: no dependemos de ellos — ellos dependen de nosotros.

La defensa de la democracia no empieza solo en las urnas — empieza con nuestro comportamiento diario.
Y sí, eso incluye nuestro consumo. Quien elige productos que representan valores democráticos (o evita conscientemente los que los pisotean), asume una responsabilidad concreta y real.

Por supuesto, no hace falta tirar tu iPhone. Pero sí puedes buscar alternativas la próxima vez que compres. Y seamos honestos: nadie necesita Coca-Cola o Pepsi para sobrevivir.

Yo también empecé hace años a mantener una lista personal de boicot — primero contra Rusia, y ahora mucho más amplia. En dos artículos he compartido mis ideas y criterios:

  1. Mi lista personal de sanciones: estos países los evito como demócrata y europeo

    → Enlace más abajo *
  2. ¡Con cada compra financias a los autócratas! Por qué debemos cambiar radicalmente nuestros hábitos de consumo — y cómo mi lista personal puede ayudar

    → Enlace más abajo **

No se trata solo de EE. UU., sino también de empresas alemanas que:

  • Siguen haciendo negocios con autocracias como Rusia,
  • Fomentan o toleran ideologías antidemocráticas o de extrema derecha,
  • Eluden impuestos y dañan activamente al Estado — o sea, a todos nosotros.

La democracia empieza en el carrito de la compra.
Y cuanto más visible sea este boicot silencioso, mayor será su impacto.
¡Gracias por abordar este tema tan importante!


Enlaces a los artículos mencionados:

  • Publicación de Mirko Lange y comentarios en LinkedIn:

    Ver en LinkedIn
  • * Mi lista personal de sanciones: estos países los evito como demócrata y europeo

    Leer en blog-demokratie.de
  • ** ¡Con cada compra financias a los autócratas! Por qué debemos cambiar radicalmente nuestros hábitos de consumo — y cómo mi lista personal puede ayudar

    Leer en blog-demokratie.de

AMERICA IS LOSING IT! – Museums Censored, Art Banned – More and More Germans Are Fighting Back: BOYCOTT Against U.S. BRANDS!

A post by

#Mirko #Lange.

What’s happening in the U.S. right now deeply troubles me—just like it probably troubles everyone here.

When governments start restructuring museums, banning exhibitions, and deliberately removing critical art and literature, that’s no longer conservative politics—it’s authoritarian. Totalitarian. Fascist.

Anyone who ideologically “cleanses” culture is attacking the very core of an open society.

From now on, I will boycott American products—at least as far as I reasonably can. Not out of hostility, not even out of outrage. But out of responsibility and a desire to feel empowered. A complete boycott isn’t realistic, but targeted choices where alternatives exist are absolutely possible.

Big corporations, in particular, are sensitive to public signals. This isn’t about moral purity—it’s about making an impact. I’ll also reward those who openly oppose Trump—whether companies, voices, or creatives.

Some possible #boycott targets include:

  • Streaming & Digital Subscriptions

    Apple TV+, Netflix, Disney+, Amazon Prime Video, YouTube Premium

    → Cancel or pause subscriptions. Use alternatives like Arte, Magenta, or public broadcasting media libraries.
  • Technology – Hardware & Devices

    Apple (iPhone, Mac), Microsoft (Surface), Google (Pixel), Amazon (Alexa, Kindle)

    → Consider European or Asian alternatives when buying new devices. Repair instead of replace.
  • Automotive & Mobility

    Tesla, Jeep, Chrysler, Dodge, Uber, Lime, Bird, Spin (U.S.-based locations)

    → Switch to European or Asian models. Buy used instead of new. Support public transportation.
  • Fashion & Lifestyle

    Nike, Levi’s, GAP, Calvin Klein, Tommy Hilfiger, Converse, New Balance, Victoria’s Secret

    → Prefer sustainable European brands. Shop second-hand.
  • Food & Snacks

    Coca-Cola, Pepsi, Kellogg’s, Mars, Mondelez (Oreo, Milka), Heinz, Hershey’s

    → Shop locally and support smaller brands.
  • U.S. Chains & Restaurants

    McDonald’s, Burger King, Starbucks, KFC, Subway, Dunkin’

    → Support regional eateries and local cafés. Avoid fast food.
  • Travel & Tourism

    U.S. travel and U.S. airlines (e.g., Delta, American Airlines, United)

    → Choose destinations with liberal cultural policies. Fly with European carriers.
  • Finance & Payment Services

    Visa, Mastercard, PayPal

    → Where possible, switch to European alternatives or use direct bank transfers.

I know this won’t be convenient. And it remains contradictory—I’m posting this on LinkedIn, a U.S. platform.

But that’s precisely the point: I’m using its reach to raise awareness. A silent boycott only works if it becomes visible. Also: much of this might benefit both body and mind.

If you feel the same, share this post with your own statement.

P.S. The “BIC” in the photo is incorrect. I can’t change the image anymore.

Of course, the first step is to cut out all U.S. products that are (perhaps even easily) replaceable. And if it’s easy, maybe 20 million others will follow.


Comment by

Werner Hoffmann.


– Democracy of the Center, because extremist wings destroy the nation –

Thank you, Mirko, for this clear and courageous post!

I fully agree:

Democratic countries must become much more aware of their market power.

The U.S. has around 330 million people – impressive, sure.
But the European Union already has over 450 million, plus:

  • 67 million in the UK,
  • 39 million in Canada,
  • Over 1.4 billion in India,
  • 126 million in Japan,
  • 52 million in South Korea,
  • 26 million in Australia,
  • And nearly 5 million in New Zealand.

Altogether, this “coalition of willing democracies” represents more than 2.5 billion people living in free, democratic societies—and thus wields enormous economic, cultural, and political power.

Trump and his supporters need to realize: we don’t depend on them—they depend on us.

The defense of democracy doesn’t start in the voting booth alone—it begins with our daily behavior.

And yes, that includes our consumption. Those who consciously choose products that stand for democratic values (or avoid those that trample them) are taking real, tangible responsibility.

Of course, no one has to throw their iPhone in the trash. But when buying the next one, you can explore alternatives. And let’s be honest: no one needs Coca-Cola or Pepsi to survive.

I, too, started keeping a personal boycott list years ago—initially for Russia, but now it has expanded significantly. I’ve published two articles outlining my thoughts and criteria:

  1. My Personal Sanctions List: These Countries I Avoid as a Democrat and European

    → Link below *
  2. Every Purchase Funds Autocrats! Why We Must Radically Change Our Consumer Habits—And How My Personal Sanctions List Helps

    → Link below **

It’s not just about the U.S., but also about German companies that:

  • Continue doing business with autocracies like Russia,
  • Promote or tolerate anti-democratic or far-right ideologies,
  • Engage in tax avoidance that actively harms the state—and all of us.

Democracy starts at the checkout counter. And the more visible this silent boycott becomes, the greater its impact.
Thank you for raising this crucial issue!


Links to the Articles Mentioned Above

GESCHICHTE AUF BEFEHL!

Trump will bestimmen, was wir über Sklaverei, Rassismus und Ureinwohner denken dürfen

Ein Beitrag von

Werner Hoffmann
– Demokratie der Mitte, weil Extremflügel das Land zerstören. –

Zum Vorlesen

YouTube player
Trumps Befehl -Geschichte auf Befehl — https://youtu.be/J4s4SiWyvqM?si=mNKGztnbYcBYZeIc

TRUMP WILL UNSERE GESCHICHTE AUSLÖSCHEN!

Jetzt greift er sogar Museen, afroamerikanische Geschichte und das Erbe der indigenen Völker an – per Präsidenten-Dekret. Historiker warnen: Das ist der Kulturkampf von oben!

Trumps Kulturkampf eskaliert: Wie ein Präsident die Geschichte umschreiben will

Quelle Link https://www.n-tv.de/politik/Trump-will-amerikanische-Geschichte-per-Dekret-umschreiben-article25662174.html

Mit einem neuen Dekret greift Donald Trump direkt in die Erinnerungskultur der Vereinigten Staaten ein.

Museen, Ausstellungen und sogar Forschungseinrichtungen sollen künftig nur noch Inhalte zeigen, die seiner nationalistischen Weltsicht entsprechen.

Die Maßnahmen erinnern an autoritäre Systeme – und könnten ein weiterer Schritt in Richtung einer illiberalen Demokratie oder gar Diktatur sein.

Das Dekret: „Wiederherstellung von Wahrheit und Vernunft in der amerikanischen Geschichte“

Trump behauptet, linke Kräfte hätten die amerikanische Geschichte verzerrt. Ausstellungen, die sich kritisch mit Rassismus, Kolonialismus oder Diskriminierung auseinandersetzen, sollen künftig als „ideologisch“ und „spalterisch“ gelten – und verboten oder finanziell ausgetrocknet werden.

Museen und Ausstellungen im Visier

Das Dekret zielt vor allem auf die Smithsonian Institution in Washington. Betroffen sind unter anderem:

  • das National Museum of African American History and Culture
  • das American Women’s History Museum
  • das National Museum of the American Indian
  • und selbst der National Zoo

Beispielhaft nennt Trump die Ausstellung „The Shape of Power: Stories of Race and American Sculpture“, die aufzeigt, wie Macht über Kunst und Darstellung ausgeübt wird. Solche Inhalte sollen künftig unterdrückt werden.

Sklaverei und indigene Völker – die großen Verlierer

Sklaverei wird verharmlost

Das afroamerikanische Museum, das sich mit der Geschichte von Versklavung, Rassismus und Bürgerrechten beschäftigt, steht unter besonderem Beschuss.

Künftig könnten solche Ausstellungen gestrichen oder zensiert werden.

Die kritische Aufarbeitung der Sklaverei droht in Trumps Weltbild zu verschwinden.

Indigene Geschichte wird verdrängt

Auch das National Museum of the American Indian ist betroffen. Die gewaltsame Kolonisierung, die Vertreibung und die Zwangsassimilation der Ureinwohner Nordamerikas könnten in Zukunft nicht mehr thematisiert werden – weil sie angeblich nicht mit „gemeinsamen amerikanischen Werten“ vereinbar sind.

J.D. Vance soll die „Säuberung“ durchsetzen

Trumps Vizepräsident J.D. Vance wird beauftragt, die Inhalte der Museen zu kontrollieren, unliebsame Ideologien zu entfernen und Fördermittel zu kürzen.

Das ist nichts anderes als staatlich verordnete Geschichtspolitik.

Ein größerer Kulturkampf

Das Dekret ist Teil einer umfassenden Kampagne.

Zuletzt wurde bekannt, dass das Pentagon über 26.000 Bilder von offiziellen Webseiten löschen will – darunter Bilder von:

  • schwarzen Soldaten und Soldatinnen
  • Frauen in Führungspositionen
  • LGBTQ-Angehörigen
  • und selbst das berühmte Foto der „Enola Gay“, wegen des Wortes „gay“

Wie in Russland, Ungarn, der Türkei – und im Nationalsozialismus

Trumps Vorgehen erinnert stark an autoritäre Systeme, die ebenfalls versuchten, Geschichte politisch zu kontrollieren:

  • Putins Russland: Leugnung sowjetischer Verbrechen, glorifizierte Darstellung russischer Heldengeschichte, strafrechtliche Verfolgung kritischer Historiker.
  • Orbáns Ungarn: Gleichschaltung von Museen, Zensur von Gender- und Rassismusforschung, Förderung nationalistischer Erzählungen.
  • Erdoğans Türkei: Umschreibung der Schulbücher, Ausblendung des Völkermords an den Armeniern, Betonung eines osmanisch-islamischen Nationalstolzes.
  • Hitlers Deutschland: Auch im Nationalsozialismus wurde Geschichte gezielt umgeschrieben. Die NS-Propaganda verdrängte jüdische, sozialistische und liberale Beiträge zur deutschen Geschichte und ersetzte sie durch arische Heldenmythen und eine verherrlichende Sicht auf das „Deutsche Reich“. Bücher wurden verbrannt, Wissenschaftler verfolgt, Museen gleichgeschaltet. Ziel war es, eine einheitliche, ideologisch kontrollierte Geschichtserzählung zu schaffen – als Grundlage für systematische Ausgrenzung und Unterdrückung.

Fazit: Wer die Vergangenheit kontrolliert, formt die Zukunft

Trumps Dekret ist kein Einzelfall – es ist ein Angriff auf die historische Wahrheit, auf die kulturelle Vielfalt und letztlich auf die Demokratie selbst.

Wenn Sklaverei, Kolonialismus und strukturelle Ungleichheit aus der öffentlichen Erinnerung verbannt werden, bleibt ein künstlich glorifiziertes Amerika zurück – designt für Propaganda, nicht für Wahrheit.

Trump will bestimmen, was als Geschichte gilt – und das ist der erste Schritt auf dem Weg in eine autoritär gesteuerte Gesellschaft.

——

Aus meiner Sichtweise ist dies ein weiterer Schritt, die USA in eine Diktatur umzuwandeln.

Ich war früher sehr gerne in den USA. Und ich erinnere mich noch an den Besuch von Mammoth Cave im Jahre 1976.

Auch hier werden sicherlich dann Geschichtsverfälschungen dann vorgenommen.

So hatte ich es noch mit 15 Jahren beim ersten USA-Urlaub in Erinnerung:

Mammoth Cave National Park (Kentucky) – das erwartet Besucher:

1. Das größte Höhlensystem der Welt

   •   Über 660 Kilometer erforschte Gänge (Stand heute – und es werden immer noch neue Abschnitte entdeckt!).

   •   Ein wahres Labyrinth aus Tunneln, Kammern, Schächten und unterirdischen Flüssen.

2. Faszinierende geologische Formationen

   •   Riesige Hallen wie die Rotunda,

   •   beeindruckende Tropfsteinformationen,

   •   unterirdische Dome, Engstellen, Felsspalten,

   •   Stalaktiten und Stalagmiten (in ausgewählten Bereichen wie Frozen Niagara).

3. Führungen und Touren

   •   Geführte Touren mit Rangern, z. B.:

      •   Historic Tour (die klassische Tour mit historischen Infos),

      •   Domes and Dripstones Tour (für Tropfsteinliebhaber),

      •   Wild Cave Tour (für Abenteuerlustige – mit Kriechen & Klettern!).

   •   Einige Touren beinhalten auch Geschichten über die frühe Entdeckung, Sklaverei und Höhlenforschung im 19. Jahrhundert.

4. Historische Bedeutung

   •   Bereits von indigenen Völkern genutzt, später von Siedlern entdeckt.

   •   Im 19. Jahrhundert wurden Sklaven als Höhlenführer eingesetzt.

   •   Wichtige Rolle bei der Salpetergewinnung (für Schießpulver) während des Kriegs von 1812.

5. Unterirdische Flüsse und Tierwelt

   •   Der Echo River war früher per Boot befahrbar.

   •   Heimat seltener Höhlentiere, z. B.

      •   blinde Höhlenfische,

      •   Höhlensalamander,

      •   seltene Fledermausarten.

6. Oberirdisch auch sehenswert!

   •   Wälder, Wanderwege, Radwege, Reitpfade und Flüsse im Nationalparkgebiet.

   •   Besucherzentrum mit Ausstellung und Museum.

   •   Zeltplätze, Lodges und Picknickplätze im Grünen.

Die historischen Bedeutungen werden durch die Trump-Administration sicherlich auch ausgelöscht.

Traurig, was in den USA passiert, weil Trump 761.302 Stimmen in den Swingsstaaten mehr erhalten hatte.

Bei der US-Präsidentschaftswahl 2024 gewann Donald Trump alle sieben entscheidenden Swing States. Um zu ermitteln, wie viele zusätzliche Stimmen Kamala Harris benötigt hätte, um diese Staaten zu gewinnen, betrachten wir die jeweiligen Stimmenunterschiede:

   •   Wisconsin: Trump gewann mit einem Vorsprung von 29.397 Stimmen (0,87 %). 

   •   Nevada: Trumps Vorsprung betrug 46.008 Stimmen (3,10 %).

   •   Michigan: Hier lag Trump mit 80.103 Stimmen (1,41 %) vorne. 

   •   Georgia: Trumps Vorsprung belief sich auf 115.100 Stimmen (2,20 %). 

   •   Pennsylvania: Hier führte Trump mit 120.266 Stimmen (1,71 %). 

   •   North Carolina: Trumps Vorsprung betrug 183.046 Stimmen (3,21 %).

   •   Arizona: Trump gewann mit 187.382 Stimmen (5,53 %). 

Zusammenfassung:

Insgesamt hätte Kamala Harris in diesen sieben Swing States 761.302 zusätzliche Stimmen benötigt, um die Mehrheiten zu drehen.

Da das US-Wahlsystem auf dem Electoral College basiert, wären Siege in diesen Staaten entscheidend gewesen, um die erforderlichen 270 Wahlmännerstimmen für den Gesamtsieg zu erreichen.

761.302 Amerikaner haben zu einer dramatischen Veränderung in den USA und der Weltgeschichte geführt. Kaum vorstellbar.

Und das nur deshalb, weil das Thema Inflation und Migration von den Amerikanern in den Fokus gehalten wurde.

Daran ist erkennbar, wie Wähler mit ein paar Nebenthemen, die eigentlich nicht so wichtig sind, manipuliert werden.

Auch in Deutschland werden die Wähler mit ein paar Themen geködert, die eigentlich nicht die wichtigsten Themen sind.

Beispiele sind die Attentate durch Islamisten. Ja, es ist schlimm um jeden Menschen der ermordet wird oder misshandelt wird.

Seit 2010 sind durch Islamisten insgesamt 30 Personen gestorben.

Im Verhältnis zu Verkehrstote durch Alkohol, Drogen überhöhte Geschwindigkeit (auch bei Straßenrennen) sind dies jedoch sehr wenige.

Hierzu einmal ein paar Details:

  • Im Jahr 2023 wurden in Deutschland insgesamt 15.662 polizeilich registrierte Unfälle unter Alkoholeinfluss verzeichnet.
  • In Deutschland gab es von 2010 bis 2024 insgesamt rund 47.827 Verkehrstote.
  • Berechnung auf Basis des Gesamttotals 2010–2024:
       •   Gesamttote 2010–2024: 47.827
       •   Wenn man einen durchschnittlichen Anteil von 8 % ansetzt, ergibt sich:
    47.827 × 0,08 ≈ 3.826 Verkehrstote durch Alkohol
  • Verkehrstote durch überhöhte Geschwindigkeit: Gesamte Verkehrstote 2010–2024: 47.827
       •   25 % davon: ca. 11.957

15.783 Verkehrstote sind alleine durch Alkohol und überhöhte Geschwindigkeit in Deutschland zu beklagen.

Dies macht deutlich, wie gerade im Wahlkampf rechtspopulistische Parteien durch bestimmte Themen den Wähler manipulieren!

Und dies ist nicht nur in Deutschland, sondern auch in den USA der Fall.

Die Manipulation der amerikanischen Wähler führt jetzt zu massiven Beschneidungen und zur Unterdrückung der durchschnittlichen Amerikaner.

Es findet gerade ein schnell schleichender Prozess zur Umwandlung in eine Diktatur statt.

Trump macht die USA zur Diktatur! Jetzt droht der große Reise-Boykott!

Ein Beitrag von

Stefan Vogt.

Offener Brief von Robert Reich an die Menschen außerhalb der USA, über die derzeitige Situation und wie Menschen anderer Länder helfen können.

Gerne weiter teilen!

—-/

Freunde,

ich wende mich mit diesem Beitrag an diejenigen unter Ihnen, die in anderen Ländern leben.

Wie Sie wahrscheinlich wissen, stehen wir hier in den Vereinigten Staaten vor dem größten Notfall in der Geschichte unserer Demokratie, und wir brauchen Ihre Hilfe.

Trump und andere Mitglieder seines Regimes (Elon Musk, J.D. Vance, Marco Rubio, Kash Patel, Pete Hegseth, Pam Bondi) sind dabei, unser Regierungssystem aktiv zu untergraben – sie reißen die Befugnis des Kongresses zur Finanzierung der Regierung an sich, sagen, es sei ihnen „egal“, was Richter sagen, verhaften friedliche Demonstranten, ermitteln gegen Trumps „Feinde“, stellen sich auf die Seite Putins gegen die Ukraine, fördern Bigotterie und säen weit verbreitete Angst.

Sie sollten wissen, dass das Trump-Regime nicht die Mehrheit der Amerikaner repräsentiert. Trump hat die Präsidentschaftswahlen 2024 mit einem hauchdünnen Vorsprung (1,5 Prozent) gewonnen, aber die Hälfte aller Amerikaner hat nicht gewählt, darunter viele, die 2020 für Biden gestimmt haben. Umfragen zeigen immer wieder, dass die meisten Amerikaner das, was Trump tut, nicht unterstützen.

Wie können Sie uns helfen?

Wie die meisten Tyrannen kann Trump nur in die Schranken gewiesen werden, wenn sich alle gegen seine Tyrannei wehren – auch Sie.

Wenn Sie über eine Reise in die Vereinigten Staaten nachdenken, überdenken Sie das bitte noch einmal. Warum sollten Sie Trumps Amerika mit Ihren Touristendollars belohnen?

Die Ausgaben von Nicht-Amerikanern in den Vereinigten Staaten sind eine wichtige Quelle für Steuereinnahmen und ein wichtiger „Export“ dieser Nation. Es gibt keinen Grund für Sie, Trumps Wirtschaft indirekt zu unterstützen.

Viele internationale Reisende, die über Trumps Autoritarismus besorgt sind, haben bereits ihre Reisen in die Vereinigten Staaten abgesagt. Ich empfehle Ihnen, dies auch zu tun.

Letzte Woche drohte Trump mit einem 200-prozentigen Zoll auf europäischen Wein und Alkohol, nachdem er die Europäische Union als „eine der feindseligsten und missbräuchlichsten Steuer- und Zollbehörden der Welt“ bezeichnet hatte.

——-

Übersetzter Text, Original in Englisch von

Robert Reich.

Freunde,

Ich richte diesen Beitrag an diejenigen von euch, die in anderen Ländern leben.

Wie ihr wahrscheinlich wisst, stehen wir hier in den Vereinigten Staaten vor dem größten Notfall in der Geschichte unserer Demokratie, und wir brauchen eure Hilfe.

Trump und andere Mitglieder seines Regimes (Elon Musk, JD Vance, Marco Rubio, Kash Patel, Pete Hegseth, Pam Bondi) untergraben aktiv unser Regierungssystem – sie usurpieren die Macht des Kongresses zur Finanzierung der Regierung, sagen, dass sie sich nicht darum kümmern, was Richter sagen, verhaften friedliche Demonstranten, untersuchen Trumps „Feinde“, stellen sich auf Putins Seite gegen die Ukraine, fördern Bigotterie und säen weit verbreitete Angst.

Bitte wisst, dass das Trump-Regime nicht die Mehrheit der Amerikaner repräsentiert. Trump gewann die Präsidentschaftswahl 2024 mit einem hauchdünnen Vorsprung von 1,5 Prozent, aber die Hälfte aller Amerikaner hat nicht gewählt, darunter viele, die 2020 für Biden gestimmt hatten. Umfragen zeigen durchweg, dass die meisten Amerikaner nicht unterstützen, was Trump tut.

Wie könnt ihr uns helfen?

Wie die meisten Tyrannen kann Trump nur eingegrenzt werden, wenn sich alle gegen sein Mobbing stellen – auch ihr.

Erstens, wenn ihr überlegt, in die Vereinigten Staaten zu reisen, denkt noch einmal darüber nach. Warum solltet ihr Trumps Amerika mit euren Tourismusdollar belohnen?

Die Ausgaben von Nicht-Amerikanern in den Vereinigten Staaten sind eine bedeutende Steuerquelle und ein wichtiges „Exportgut“ dieses Landes. Es gibt keinen Grund, Trumps Wirtschaft indirekt zu unterstützen.

Viele internationale Reisende, die sich über Trumps Autoritarismus Sorgen machen, haben ihre Reisen in die Vereinigten Staaten bereits abgesagt. Ich schlage vor, dass ihr das auch tut.

Letzte Woche drohte Trump mit einem 200-prozentigen Zoll auf europäischen Wein und Alkohol, nachdem er die Europäische Union als „eine der feindseligsten und missbräuchlichsten Steuer- und Zollbehörden der Welt“ bezeichnet hatte.

Warum diese kriegerische Rhetorik belohnen? Viele Europäer meiden bereits Reisen nach Disney World und zu amerikanischen Musikfestivals.

Die Reisen aus China, das oft Ziel von Trumps Verachtung ist, sind um 11 Prozent zurückgegangen. Chinesische Reisende entscheiden sich für Australien und Neuseeland als Urlaubsziele anstelle von US-Nationalparks.

Unsere geschätzten Nachbarn nördlich der Grenze, die lange Zeit die Hauptquelle für internationale Reisen in die Vereinigten Staaten waren, entscheiden sich stattdessen für Reisen nach Europa und Mexiko.

Als Reaktion auf Trumps wiederholten Wunsch, Kanada zu einem „51. Staat“ zu machen, hat Kanadas ehemaliger Premierminister Justin Trudeau Kanadier dazu aufgerufen, nicht in die Vereinigten Staaten zu reisen.

Ein inoffizieller Boykott von kanadischen Reisenden hat begonnen. Die Zahl der Kanadier, die mit dem Auto von Besuchen in den Vereinigten Staaten zurückkehren, ist im Februar bereits um 23 Prozent gesunken, und der Flugverkehr von Kanadiern, die aus den Vereinigten Staaten zurückkehren, ist im Vergleich zum Vorjahr um 13 Prozent zurückgegangen, so Statistics Canada.

Insgesamt wird erwartet, dass die internationalen Reisen in die Vereinigten Staaten in diesem Jahr um mindestens 5 Prozent zurückgehen.

Obwohl wir eure Besuche geliebt (und davon profitiert) haben, fordere ich euch auf, euch vielen eurer Landsleute anzuschließen und zumindest für den Moment zu entscheiden, nicht in die Vereinigten Staaten zu kommen.

Zweitens, wenn ihr darüber nachdenkt, in die Vereinigten Staaten als Student oder sogar mit einem H-1B-Visum zu kommen, das hochqualifizierten ausländischen Bürgern erlaubt, hier zu leben und zu arbeiten, solltet ihr dies ebenfalls überdenken.

Vielleicht wartet ihr ein paar Jahre, bis das Trump-Regime hoffentlich beendet ist.

Es ist ohnehin nicht völlig sicher für euch, hier zu sein.

Dr. Rasha Alawieh, 34, eine Spezialistin für Nierentransplantationen und Professorin an der medizinischen Fakultät der Brown University, die sich legal mit einem H-1B-Visum in den Vereinigten Staaten aufhielt, wurde gerade ohne Erklärung abgeschoben – obwohl ein Gericht ihre Ausweisung blockiert hatte.

Dr. Alawieh war letzten Monat nach Libanon gereist, ihrem Heimatland, um Verwandte zu besuchen. Als sie versuchte, von dieser Reise in die Vereinigten Staaten zurückzukehren, wurde sie von US-Zoll- und Einwanderungsbeamten festgehalten und auf einen Flug nach Paris gesetzt, vermutlich auf dem Weg zurück in den Libanon.

Der Libanon steht nicht einmal auf einer Entwurfsliste von Ländern, aus denen die Trump-Administration erwägt, die Einreise in die Vereinigten Staaten zu verbieten.

Selbst wenn es in Amerika einen Mangel an Fachkräften in eurem Bereich gibt, könntet ihr jederzeit abgeschoben werden – aus jedem oder keinem Grund.

Ebenso, wenn ihr darüber nachdenkt, mit einem Studentenvisum in die USA zu kommen, solltet ihr das Risiko in dieser Zeit berücksichtigen. Ein Student der Columbia University wurde verhaftet und festgehalten – aus keinem anderen Grund, als dass er friedlich gegen Netanjahus Politik in Gaza protestiert hatte.

Die Verwaltung der Brown University rät ausländischen Studenten, sich vor den Frühlingsferien zu überlegen, „persönliche Reisen außerhalb der Vereinigten Staaten zu verschieben oder zu verzögern, bis weitere Informationen vom US-Außenministerium verfügbar sind“.

Es geht nicht nur um das Risiko. Es geht auch um die Umstände. Wenn euch Demokratie wichtig ist, ist dies nicht die Zeit, mit einem Studenten- oder H-1B-Visum hierher zu kommen, denn das Trump-Regime tritt die Verfassung der Vereinigten Staaten mit Füßen.

Am Sonntag hat das Trump-Regime Hunderte venezolanische Staatsangehörige aus den Vereinigten Staaten abgeschoben, basierend auf dem jahrhundertealten Alien Enemies Act – der bisher nur in Kriegszeiten verwendet wurde – obwohl ein Bundesrichter die Entscheidung blockierte und anordnete, dass Flugzeuge mit einigen der Venezolaner in die Vereinigten Staaten zurückkehren sollten.

Am Sonntagabend sagte Trump Reportern, dass die Venezolaner, die er nach Venezuela zurückgeschickt hatte, „schlechte Menschen“ seien.

Aber niemand kann Trumps Wort glauben, dass dies „schlechte“ Menschen waren. Trump verwendet den Begriff „schlechte Menschen“ routinemäßig für diejenigen, die ihn kritisieren oder ihm nicht passen.

Egal aus welchem Grund ihr in die Vereinigten Staaten kommen wollt – als Besucher, als Student oder als hochqualifizierter H-1B-Arbeiter – ihr solltet eure Pläne überdenken.

Die Entscheidung, nicht zu kommen, würde ein Signal senden, dass ihr euch berechtigterweise um eure Sicherheit hier sorgt und dass euch die Angriffe des Trump-Regimes auf die Demokratie genauso abstoßen wie die meisten von uns Amerikanern.

-RR

Quelle: siehe Unten

https://www.facebook.com/share/p/18nDysrKsb/?mibextid=wwXIfr

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Kommentar von

Werner Hoffmann
– Urlaub ja, aber nur in wirklich demokratischen Ländern -.

Es gibt Länder, die ich bei meinen Urlaubsplanungen bewusst nicht berücksichtige.

So bin ich seit 2008. nicht mehr in der Türkei gewesen. Und nachdem Erdogan die Demokratie bewusst lenkt und jeden Kontrahenten, der ihm bei einer Wahl gefährlich werden könnte, wegsperren lässt, ist die Türkei auch keine Demokratie, sondern eine Diktatur.

Das gilt im Übrigen auch für

– Russland

– China

– Belarus

und jetzt auch für die USA 2.0.

Genau deshalb war ich bewusst noch im August/September für sehr lange Zeit in den USA.

Warum soll ich diesen Autokraten noch meine Euro in Form meines Urlaubes zukommen lassen?

Nein, danke!

Trump Lets Putin Have His Way: Investigations into Russian Child Abductions Halted – Sabotage of Justice?

And this is the kind of U.S. President 2.0 who believes he deserves the #NobelPeacePrize? How far gone is Trump?

A contribution by

Werner Hoffmann – Democracy of the Center, because extremist wings destroy the country. –

It is an unbelievable scandal: Donald Trump has halted a crucial program aimed at investigating the mass abduction of Ukrainian children by Russia.

Not only does this destroy vital evidence of Putin’s war crimes, but it also abandons thousands of abducted children to their fate.

Observers are calling this a direct sabotage of international investigations – in favor of the Kremlin.

Child Theft as a Weapon of War: Putin’s Heinous Crime

Since the start of the war, Russia has systematically abducted Ukrainian children – over 30,000 children have been torn from their families, taken to Russian camps, re-educated, and put up for adoption.

This is a brutal strategy aimed at erasing Ukrainian identity and turning these children into Russian soldiers or loyal citizens. Reports confirm that many of these children have been subjected to abuse and psychological terror.

Two Autocrats Negotiate Over Ukraine.


A Yale University program, which documented these crimes using satellite imagery, biometric data, and witness testimonies, was one of the few ways to uncover the scale of these atrocities.

This is the very program Trump has now shut down – destroying evidence that could have been used to indict Vladimir Putin at the International Criminal Court.

Why is Trump Siding with Putin?
The question now is:
Why is Trump protecting Putin and his accomplices?
Why is he ending a program that helps rescue abducted children?

Critics suspect a sinister strategy:
Trump wants Putin’s support – and is willing to sacrifice international justice for it.
His admiration for the Kremlin leader has been well-known for years.
As far back as 2007, he wrote to Putin:
“As you probably heard, I am a big fan of yours.”

Even after his presidency, Trump maintained contact with Putin and secretly sent him COVID-19 tests during the pandemic.

Now, as he fights for power again, Trump seems to be counting on Putin’s goodwill – at the cost of thousands of abducted children.

The decision to halt the Yale program is not only a political monstrosity but also a betrayal of the innocent victims of this war.

Will the world stand by and watch as Trump destroys evidence of Putin’s war crimes?


And this is the kind of U.S. President 2.0 who believes he deserves the #NobelPeacePrize? How far gone is Trump?

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Comment by X

Trump lässt Putin gewähren: Ermittlungen zu russischen Kindesentführungen gestoppt – Sabotage der Gerechtigkeit?

Und so ein Präsident der USA2.0 ist dann der Auffassung, dass er den #Friedensnobelpreis verdient hat? Wie durchgeknallt ist Trump denn noch?

Ein Beitrag von

Werner Hoffmann
– Demokratie der Mitte, weil Extremflügel das Land zerstören. –

Es ist ein unfassbarer Skandal: Donald Trump hat ein zentrales Programm zur Verfolgung der massenhaften Verschleppung ukrainischer Kinder durch Russland gestoppt.

Damit werden nicht nur wichtige Beweise für Putins Kriegsverbrechen zunichtegemacht, sondern auch tausende entführte Kinder ihrem Schicksal überlassen.

Beobachter sprechen von einer direkten Sabotage internationaler Ermittlungen – zugunsten des Kreml.

Kinderraub als Kriegswaffe: Putins grausames Verbrechen

Russland hat seit Kriegsbeginn systematisch ukrainische Kinder entführt – über 30.000 Kinder wurden von ihren Familien getrennt, in russische Lager gebracht, umerzogen und zur Adoption freigegeben.

Es ist eine grausame Strategie, die das Ziel hat, die ukrainische Identität auszulöschen und die Kinder in russische Soldaten oder loyale Bürger umzuwandeln. Berichte belegen, dass viele dieser Kinder Misshandlungen und psychologischem Terror ausgesetzt sind.

Zwei Autokraten verhandeln über die Ukraine.

Ein Programm der Yale University, das diese Verbrechen mit Satellitenbildern, biometrischen Daten und Zeugenaussagen dokumentierte, war eine der wenigen Möglichkeiten, das Ausmaß dieser Gräueltaten aufzudecken.

Genau dieses Programm hat Trump nun gestoppt – und damit Beweise vernichtet, die zur Anklage Wladimir Putins vor dem Internationalen Strafgerichtshof beigetragen haben.

Warum stellt Trump sich auf die Seite Putins?

Die Frage, die sich nun stellt:

Warum schützt Trump Putin und seine Komplizen?

Warum beendet er ein Programm, das dazu beiträgt, entführte Kinder zu retten?

Kritiker vermuten eine perfide Strategie:

Trump will Putins Unterstützung – und ist bereit, dafür internationale Gerechtigkeit zu opfern.

Seine Bewunderung für den Kreml-Chef ist seit Jahren bekannt.

Schon 2007 schrieb er an Putin:

„Wie Sie wahrscheinlich gehört haben, bin ich ein großer Fan von Ihnen.“

Auch nach seiner Amtszeit hielt Trump den Kontakt zu Putin und schickte ihm während der Corona-Pandemie heimlich Tests.

Jetzt, da er erneut um die Macht kämpft, scheint Trump wieder auf Putins Wohlwollen zu setzen – auf Kosten von Tausenden entführten Kindern.

Die Entscheidung, das Yale-Programm zu stoppen, ist nicht nur eine politische Ungeheuerlichkeit, sondern ein Verrat an den unschuldigen Opfern dieses Krieges.

Wird die Welt tatenlos zusehen, wie Trump Beweise für Putins Kriegsverbrechen zerstört?

—-

Und so ein Präsident der USA2.0 ist dann der Auffassung, dass er den #Friedensnobelpreis verdient hat? Wie durchgeknallt ist Trump denn noch?

KRITIK AN TRUMP BALD EINE GEISTESKRANKHEIT?!“ – REPUBLIKANER WOLLEN OPPOSITIONELLE FÜR IRRE ERKLÄREN

Ein Beitrag von

Werner Hoffmann
– Demokratie der Mitte, weil Extremflügel das Land zerstören. –

„KRITIK AN TRUMP BALD EINE GEISTESKRANKHEIT?!“ – REPUBLIKANER WOLLEN OPPOSITIONELLE FÜR IRRE ERKLÄREN

Ein neuer Gesetzesentwurf in Minnesota sorgt für Empörung: Republikanische Senatoren wollen Kritik an Donald Trump offiziell als psychische Störung einstufen. Ist das der erste Schritt in eine beängstigende Zukunft, in der politische Meinungen pathologisiert werden?

Fünf republikanische Senatoren – Eric Lucero, Steve Drazkowski, Nathan Wesenberg, Justin Eichorn und Glenn Gruenhagen – fordern, dass das sogenannte „Trump-Derangement-Syndrom“ (TDS) in die offizielle Liste psychischer Erkrankungen Minnesotas aufgenommen wird. Wer also Trump nicht ausstehen kann oder seine Politik kritisiert, könnte in Zukunft als geistig krank gelten!

VON DER DIKTATUR INSPIRIERT?

Historisch betrachtet ist das Vorgehen nicht neu. Diktaturen haben immer wieder Andersdenkende als psychisch krank abgestempelt und in Heilanstalten oder Arbeitslager gesteckt. Wer politisch nicht auf Linie war, wurde weggesperrt – ein Vorgehen, das viele an dunkle Zeiten erinnert.

Obwohl der Gesetzesentwurf vermeintlich sachlich formuliert ist, gibt es keinerlei medizinische Grundlage für TDS als Krankheit. Dennoch berufen sich die republikanischen Initiatoren auf Aussagen von Elon Musk, der behauptet, dass es sich um eine reale Erscheinung handle.

VERSCHWENDUNG VON STEUERGELDERN ODER GEFÄHRLICHE TENDENZ?

Minnesotas demokratische Mehrheitsführerin Erin Murphy bezeichnete das Vorhaben als „lächerliche Zeitverschwendung“ und warnte davor, dass dies ein direkter Angriff auf die Meinungsfreiheit sei. Republikaner hingegen argumentieren, dass der Gesetzesentwurf ironisch gemeint sei – doch wer garantiert, dass eine solche Einstufung nicht in Zukunft für politische Repression genutzt wird?

DAS ENDE DER MEINUNGSFREIHEIT?

Während der Gesetzesentwurf keine realistische Chance auf eine Verabschiedung hat, wirft er eine alarmierende Frage auf: Was, wenn politische Kritik bald nicht mehr erlaubt ist, sondern als Krankheit gilt?

Oppositionelle mundtot zu machen, indem man sie als „verrückt“ deklariert – ein erschreckender Gedanke. Doch genau das versuchen die Republikaner in Minnesota offenbar mit ihrem Vorstoß.

Ist es nur eine PR-Nummer oder ein gefährlicher Präzedenzfall? Eines ist sicher:

Die Grenzen zwischen Satire und Ernsthaftigkeit verschwimmen – mit potenziell beängstigenden Konsequenzen.

Weitere Quelle

—> https://www.watson.ch/international/usa/948526546-republikaner-wollen-kritik-an-trump-als-psychische-krankheit-einstufen?utm_source=daily&utm_medium=email&utm_campaign=20250318

Grönlands Rohstoffreichtum als geopolitischer Zankapfel zwischen den USA und der EU

Ein Beitrag von

Werner Hoffmann
– Demokratie der Mitte, weil Extremflügel das Land zerstören. –

Die arktische Insel Grönland rückt immer stärker in den Fokus der Weltmächte.

Nicht nur ihre strategische Lage macht sie begehrt, sondern vor allem ihre Bodenschätze:

Kritische Rohstoffe wie

– seltene Erden,

– Kupfer

– und Lithium

sind für die moderne Industrie und die Energiewende von essenzieller Bedeutung.

Während die USA unter Donald Trump bereits Interesse an einer Übernahme Grönlands signalisierten, verstärkt auch die Europäische Union ihre wirtschaftlichen und politischen Bestrebungen, um den Rohstoffzugang zu sichern.

Diese Entwicklung könnte zu einer neuen transatlantischen Spannung führen.

Warum sind Grönlands Rohstoffe so begehrt?

Kritische Rohstoffe sind für zahlreiche Technologien unersetzlich.

Besonders seltene Erden werden für die Herstellung von

– Elektroautos,

– Windkraftanlagen

– und modernen Elektronikgeräten

benötigt.

Derzeit dominiert China den Weltmarkt in diesem Bereich, was sowohl die USA als auch die EU in eine starke Abhängigkeit bringt.

Die Europäische Union verfolgt eine ambitionierte Klimapolitik und setzt verstärkt auf erneuerbare Energien.

Doch ohne eine gesicherte Rohstoffversorgung könnte die Transformation zur klimaneutralen Wirtschaft ins Stocken geraten.

Die USA hingegen sehen in Grönlands Rohstoffen nicht nur eine wirtschaftliche Chance, sondern auch eine strategische Möglichkeit, ihre Abhängigkeit von China zu reduzieren und ihren globalen Einfluss weiter auszubauen.

Der Wettstreit zwischen den USA und der EU

Beide Mächte haben bereits Schritte unternommen, um sich in Grönland zu positionieren.

Die EU hat in der Hauptstadt Nuuk ein Büro eröffnet und Kooperationsabkommen in Millionenhöhe unterzeichnet, um den Rohstoffabbau zu fördern.

Die USA verfolgen währenddessen eine direktere Strategie: Schon unter Trump wurde öffentlich mit dem Gedanken gespielt, Grönland zu kaufen.

Auch wenn dies international auf Ablehnung stieß, bleibt das amerikanische Interesse an den Bodenschätzen bestehen.

Hier zeichnet sich ein potenzieller Konflikt ab:

Während die EU Grönland als strategischen Rohstofflieferanten für Europa aufbauen will, könnten die USA versuchen, den Einfluss der Europäer zu begrenzen und selbst die Kontrolle über die Ressourcen zu gewinnen.

Eine aggressive wirtschaftliche oder politische Einflussnahme seitens der USA könnte zu diplomatischen Verstimmungen mit der EU führen.

Grönlands Dilemma

Für Grönland selbst bedeutet diese Entwicklung sowohl eine Chance als auch eine Herausforderung.

Der Rohstoffreichtum könnte der Insel ein wirtschaftliches Standbein bieten und eine mögliche Unabhängigkeit von Dänemark erleichtern.

Gleichzeitig gibt es erhebliche Umweltrisiken und soziale Spannungen, die mit dem Bergbau einhergehen.

Ob Grönland langfristig als Partner der EU oder der USA auftritt oder sich sogar als eigenständiger Akteur positioniert, bleibt abzuwarten.

Sicher ist jedoch, dass der Wettstreit um seine Ressourcen das geopolitische Kräfteverhältnis zwischen den USA und der EU nachhaltig beeinflussen wird.

PUTIN DEMÜTIGT TRUMP – LÄSST IHN WIE EIN SCHULJUNGEN WARTEN

Ein Beitrag von

Marijn Markus .

Lachend verspottet Putin Trump, indem er ihn warten lässt.
Eigentlich sollten sie jetzt herumreden, aber Putin spricht stattdessen zu einem Raum voller Oligarchen. Auf die Frage, ob er zu spät kommen werde, winkt Putin ab und sagt, er solle nicht auf seinen Sprecher hören.

„Hören Sie nicht auf ihn, das ist nur sein Job.“ Putin lacht über die Bemerkungen seines Agenten, dass er sein Telefonat mit Trump vor 18 Uhr geplant habe.

☝️ Das zeigt, wie viel Respekt Putin tatsächlich für Trump hat – und das ist gleich Null – und es besteht keine Chance, dass diese Frage nicht im Voraus geplant war.

Er will, dass jeder weiß, dass er Trump auf sich warten lassen wird.

Und Agent Orange wird sich einfach beugen und es hinnehmen.

Denn Putin ist die einzige Person, die er nie zu kritisieren wagt.

——

Kommentar von

Werner Hoffmann
– Demokratie der Mitte, weil Extremflügel das Land zerstören.

UPDATE: 18.03.2025

Putin stimmt 30-tägiger Aussetzung von Angriffen auf Energieinfrastruktur zu

18.03.2025 18:35

Russlands Präsident Wladimir Putin unterstützt den Vorschlag von US-Präsident Donald Trump nach einem 30-tägigen Verzicht auf Angriffe auf die Energieinfrastruktur der Ukraine. Putin habe einen solchen Befehl an das Militär weitergegeben, teilt Moskau nach dem Telefonat zwischen dem Kremlchef und Trump mit.

Hintergründe zur überraschenden Einigung

Die Entscheidung kommt überraschend, da Russland in den vergangenen Monaten gezielt die Energieversorgung der Ukraine angegriffen hatte. Westliche Geheimdienste hatten gewarnt, dass der andauernde Beschuss das ukrainische Stromnetz vor den Sommermonaten stark beeinträchtigen könnte.

Während sich Trump als Vermittler zwischen Moskau und Kiew inszeniert, bleibt unklar, welche Zugeständnisse Washington möglicherweise im Gegenzug gemacht hat. Kritiker werfen Trump vor, Russland mit seiner Rhetorik eher zu ermutigen als zu bremsen.

Die ukrainische Regierung reagierte verhalten auf die Ankündigung und betonte, dass sie sich nicht auf bloße Worte verlassen könne. „Wir messen Russland an Taten, nicht an Versprechen“, sagte ein Sprecher des ukrainischen Präsidenten Wolodymyr Selenskyj.

Geopolitische Auswirkungen und Skepsis

Internationale Beobachter sind geteilter Meinung über die Vereinbarung. Während einige sie als ersten Schritt in Richtung Deeskalation sehen, warnen andere, dass Moskau diese Zeit nutzen könnte, um sich militärisch neu zu formieren.

Die kommenden Wochen werden zeigen, ob die russischen Angriffe tatsächlich eingestellt werden – oder ob es sich nur um ein taktisches Manöver handelt.

——

Von der Leyen: Russland rüstet sich für Konfrontation mit Europa

18.03.2025 – 17:30

EU-Kommissionspräsidentin Ursula von der Leyen warnt eindringlich vor einer wachsenden Bedrohung durch Russland.

In einer Rede an der Königlichen Dänischen Militärakademie in Kopenhagen erklärte sie, dass Moskau seine militärisch-industrielle Produktion massiv ausbaue.

Dies diene nicht nur der Fortführung des Angriffskriegs gegen die Ukraine, sondern bereite Russland auch gezielt auf eine mögliche Konfrontation mit den europäischen Demokratien vor.

Von der Leyen betonte zudem, dass sich die geopolitischen Prioritäten der USA zunehmend in Richtung Indopazifik verlagerten. Washington wolle dort seinen Einfluss ausbauen, um China militärisch und wirtschaftlich entgegenzutreten.

Dies könnte laut von der Leyen dazu führen, dass die USA ihre militärische Präsenz in Europa überdenken.

Die EU müsse daher ihre Verteidigungsfähigkeit stärken und unabhängiger von den USA werden, forderte die Kommissionspräsidentin. „Wir müssen unsere Sicherheit in die eigenen Hände nehmen“, mahnte sie.

In Brüssel wird derzeit intensiv über eine verstärkte Zusammenarbeit der europäischen Streitkräfte diskutiert, um möglichen Bedrohungen aus Russland geschlossen entgegentreten zu können.

#Politics #Intelligence #USA

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