1. April 2025 – Der wohl größte Polit-Coup in der Geschichte der Bundesrepublik Deutschland.
Berlin – CDU und SPD, die seit Wochen über ein gemeinsames Gesetzespaket zur Energie-, Wirtschafts- und Sozialwende verhandeln, sind in der Nacht krachend gescheitert.
Friedrich Merz und Lars Klingbeil verließen um 3:42 Uhr das Kanzleramt – wortlos, aber mit roten Köpfen.
Das Land steht kopf – aber da betritt er die Bühne: Robert Habeck.
Im T-Shirt mit der Aufschrift „Team Habeck“ (mittlerweile viraler Meme-Stoff) trat er heute Vormittag aus dem Wirtschaftsministerium und verkündete vor versammelter Presse: „Ich mach’s jetzt einfach.“
Habecks „Kompromisslos-Programm“:
500 Euro Energie-Bonus für alle Haushalte
Tempolimit 130 km/h– aber nur auf der allen geraden Autobahnendnummern, also A2, A4, „zum Testen“
Ungerade Autobahnnummern A1, A3, A5, A7 mit Tempolimit 150 km/h.
Wärmepumpenpflicht ab 2030 – rückwirkend steuerlich absetzbar
Gratis Bio-Bier für alle, die zu Fuß zum Amt gehen
5 Tage Sonderurlaub für alle, die mit öffentlichen Verkehrsmitteln beruflich nutzen
Die Überraschung: Selbst Markus Söder twitterte: „Hab mich umentschieden. Team Habeck. Grüner ist das neue Blau.“
Und ich werde mich bessern und gestehe: Das ich so abgenommen habe, lag an der fleischlosen Kost. Bei McDonald hatte ich einen veganen Burger gegessen. Das war an meinen dreckigen Fingernägeln ja zu erkennen (Bildquelle: heuteshow).
Und ja, ich gestehe: Es gab für den Biss in den vegan-Burger eine etwas höhere Spende und genau deshalb wird jetzt die MWSt von 19% auf 7% gesenkt.
Das hilft der Grossgastronomie, DEHOGA, McDonald & Co.
Und Friedrich Merz? Der wurde heute Morgen mit einem „Team Habeck“-Shirt gesichtet. Ob echt oder Deepfake – unklar. Satiriker Jan Böhmermann streitet jede Beteiligung ab, aber er zwinkerte dabei verdächtig.
Gerüchteküche des Tages:
Insider berichten, dass sich Habeck mit Olaf Scholz im Kanzleramt zum Schach getroffen hat –
Ergebnis: Habeck setzte Scholz in 6 Zügen matt und wurde spontan zum Bundes-Übergangsmanager ernannt.
Fazit: Was als Scherz begann, wird zum Plan:
Carsten Linnemann: „Einfach mal machen“
Der 1. April könnte als der Tag in die Geschichte eingehen, an dem Deutschland kollektiv mit Zustimmung von Carsten Linnemann sagte: „Einfach mal machen, warum eigentlich nicht?“ – und Robert Habeck spontan den Job übernahm.
Quellen: Unbestätigt. Vermutlich alles ein Scherz. Oder doch nicht?
Lediglich Alice Weidel ist wieder mal aus ihrer adretten und artigen Rolle herausgefallen:
Alice Weidel AfD – völlig untragbar in einer Demokratie. Die Lippen könnten gerade das Wort F.CK darstellen. Wer weiß?
IRRSINN! Deutsche Polizei vertraut ausgerechnet TRUMP-FREUND THIEL ihre sensibelsten Daten an!
Ein Skandal erschüttert Deutschland: Ausgerechnet der umstrittene US-Tech-Milliardär Peter Thiel und sein Konzern Palantir sollen in den innersten Sicherheitsapparat der Bundesrepublik eindringen dürfen!
Datensicherheit? Fehlanzeige!
Da haben wohl einige den Schuss nicht gehört. Während überall diskutiert wird, wie die Souveränität Deutschlands und Europas gestärkt werden kann, entscheiden sich die Bundesländer klammheimlich dafür, die sensibelsten Daten des Landes ausgerechnet von Palantir analysieren zu lassen – dem Datenkraken von Trump-Intimus Peter Thiel.
Milliarden für Waffen, aber Daten für Thiel?
Während hundert Milliarden in Rüstung gesteckt werden und deutsche Tesla-Kunden entsetzt auf ihren Kauf blicken, öffnen wir einem der gefährlichsten Tech-Konzerne der Welt die Tore zu Polizei und Geheimdiensten. Palantir – bekannt aus Überwachungsskandalen und umstrittenen Späh-Tools.
Peter Thiel: Der Mann hinter Palantir
Peter Thiel ist kein unbeschriebenes Blatt. Trump-Unterstützer der ersten Stunde, rechtslibertärer Vordenker und Strippenzieher im Hintergrund. Schon 2018 wurde er als das „libertäre schwarze Schaf im linksliberalen Silicon Valley“ bezeichnet. Der taz-Artikel (Link in den Kommentaren) legt seine antidemokratische Gesinnung offen.
Palantirs düstere Agenda
2020 warnte Sascha Lobo eindringlich vor Palantir – einem der „wichtigsten und unerbittlichsten Überwachungskonzerne der Welt“. Zielgruppe: Geheimdienste, Polizeibehörden, Verwaltungen. In internen Strategiepapiere sollen sogar Methoden beschrieben sein, wie man Aktivisten ausspioniert, infiltriert und mit Fake News zerstört.
Springer, Karp und der KKR-Deal
Zeitgleich rückte Palantir-CEO Alexander Karp beim Springer-Verlag auf – direkt in den Aktionärsausschuss neben Döpfner, Friede Springer und KKR-Boss Philipp Freise. Zufall? Wohl kaum. Während Springer-Medien Angstkampagnen durch Deutschland jagen, macht Palantir den Behörden Angebote, die sie offenbar nicht ablehnen wollen – oder dürfen.
Ce qui se passe actuellement aux États-Unis me touche profondément — comme probablement beaucoup d’autres ici.
Lorsqu’un gouvernement commence à restructurer les musées, à interdire des expositions et à retirer volontairement des œuvres d’art et de littérature critiques, ce n’est plus de la politique conservatrice — c’est autoritaire. Totalitaire. Fasciste.
Celui qui « purifie » idéologiquement la culture attaque le cœur même de la société ouverte.
Désormais, je vais boycotter autant que possible les produits américains. Pas par hostilité, ni même par indignation. Mais par responsabilité et par besoin de me sentir utile. Un renoncement total n’est pas réaliste, mais des choix ciblés sont possibles lorsqu’il existe des alternatives.
Les grandes entreprises sont sensibles aux signaux publics. Il ne s’agit pas de pureté morale, mais d’efficacité. Et je soutiendrai également celles et ceux qui s’opposent ouvertement à Trump — que ce soit des entreprises, des voix critiques ou des esprits créatifs.
Exemples possibles de #boycott :
Streaming et abonnements numériques
Apple TV+, Netflix, Disney+, Amazon Prime Video, YouTube Premium
→ Annuler ou suspendre. Utiliser Arte, Magenta ou les plateformes publiques.
Technologie – matériel et appareils
Apple (iPhone, Mac), Microsoft (Surface), Google (Pixel), Amazon (Alexa, Kindle)
→ Lors d’un achat, envisager des alternatives européennes ou asiatiques. Réparer plutôt que remplacer.
→ Soutenir les restaurants et cafés locaux. Éviter le fast-food.
Voyages et tourisme
Voyages aux États-Unis et compagnies aériennes américaines (Delta, American Airlines, United)
→ Choisir des destinations aux politiques culturelles progressistes. Voyager avec des compagnies européennes.
Finances et paiements
Visa, Mastercard, PayPal
→ Si possible, utiliser des alternatives européennes ou un virement bancaire.
Je sais, ce ne sera pas confortable. Et c’est contradictoire : je publie cela sur LinkedIn, une plateforme américaine. Mais c’est justement pour ça : j’utilise sa portée pour attirer l’attention sur ce problème. Un boycott silencieux n’a d’effet que s’il est visible. Et beaucoup de ces choix pourraient aussi faire du bien à mon corps et à mon esprit.
Si vous souhaitez faire pareil, partagez ce post avec votre propre message.
PS : Le mot „BIC“ sur la photo est erroné. Je ne peux plus modifier l’image.
Naturellement, la première étape consiste à renoncer aux produits américains que l’on peut (peut-être même facilement) remplacer. Et si c’est facile, peut-être que 20 millions d’autres feront de même.
Commentaire de
Werner Hoffmann.
– Pour une démocratie au centre, car les extrêmes détruisent le pays –
Merci, Mirko, pour ce post clair et courageux !
Je partage pleinement ton avis :
Les pays démocratiques devraient être bien plus conscients de leur puissance économique collective.
Les États-Unis comptent environ 330 millions d’habitants — impressionnant, certes.
Mais l’Union européenne en compte déjà plus de 450 millions, auxquels s’ajoutent :
67 millions au Royaume-Uni,
39 millions au Canada,
Plus de 1,4 milliard en Inde,
126 millions au Japon,
52 millions en Corée du Sud,
26 millions en Australie,
Et près de 5 millions en Nouvelle-Zélande.
Ensemble, cette « coalition des démocraties volontaires » représente plus de 2,5 milliards de personnes vivant dans des sociétés libres et démocratiques — et donc une puissance économique, culturelle et politique énorme.
Trump et ses partisans doivent comprendre : ce n’est pas nous qui dépendons d’eux — c’est eux qui dépendent de nous.
La défense de la démocratie ne commence pas uniquement dans les urnes — elle commence dans notre comportement quotidien.
Et oui, cela inclut la consommation. Celles et ceux qui choisissent des produits alignés sur des valeurs démocratiques (ou évitent sciemment ceux qui les bafouent) prennent une responsabilité concrète et visible.
Évidemment, il n’est pas nécessaire de jeter son iPhone. Mais on peut envisager une alternative au prochain achat. Et soyons honnêtes : personne n’a besoin de Coca-Cola ou de Pepsi pour survivre.
J’ai moi aussi commencé, il y a des années, à établir une liste personnelle de boycott — d’abord contre la Russie, et aujourd’hui bien plus large. J’ai écrit deux articles pour expliquer mes réflexions et mes critères :
Ma liste personnelle de sanctions : ces pays que j’évite en tant que démocrate et Européen
→ Lien ci-dessous *
Chaque achat finance les autocrates ! Pourquoi nous devons changer radicalement nos habitudes de consommation — et comment ma liste personnelle peut aider
→ Lien ci-dessous **
Il ne s’agit pas seulement des États-Unis, mais aussi d’entreprises allemandes qui :
Poursuivent leurs affaires avec des autocraties comme la Russie,
Encouragent ou tolèrent des idéologies antidémocratiques ou d’extrême droite,
Évitent l’impôt au détriment de l’État — donc de nous tous.
La démocratie commence au moment de l’achat.
Et plus ce boycott silencieux sera visible, plus son effet sera fort.
Merci d’avoir mis ce sujet crucial sur la table !
Liens vers les articles cités :
Post de Mirko Lange et commentaires sur LinkedIn :
** Chaque achat finance les autocrates ! Pourquoi nous devons changer radicalement nos habitudes de consommation — et comment ma liste personnelle peut aider
Lo que está ocurriendo ahora en Estados Unidos me conmociona profundamente, como seguramente le ocurre a mucha gente aquí. Cuando los gobiernos empiezan a reestructurar museos, prohibir exposiciones y eliminar deliberadamente el arte y la literatura crítica, eso ya no es política conservadora. Es autoritarismo. Totalitarismo. Fascismo.
Quien „depura“ ideológicamente la cultura está atacando el núcleo de una sociedad abierta.
Por eso voy a empezar a boicotear productos estadounidenses, en la medida de lo posible. No por enemistad, ni siquiera por indignación. Lo hago por responsabilidad y por una necesidad de sentirme eficaz. Sé que no es realista renunciar completamente, pero sí se pueden tomar decisiones conscientes allí donde hay alternativas.
Las grandes corporaciones reaccionan de forma sensible a las señales públicas. No se trata de pureza moral, sino de impacto. También apoyaré (es decir, “recompensaré”) a quienes se opongan públicamente a Trump: empresas, voces críticas, mentes creativas.
Ejemplos de posibles objetivos de un #boicot:
Streaming y suscripciones digitales
Apple TV+, Netflix, Disney+, Amazon Prime Video, YouTube Premium
→ Cancelar o pausar. Usar alternativas como Arte, Magenta o las plataformas públicas.
Tecnología – Hardware y dispositivos
Apple (iPhone, Mac), Microsoft (Surface), Google (Pixel), Amazon (Alexa, Kindle)
→ Al comprar, considerar marcas europeas o asiáticas. Reparar más, reemplazar menos.
→ Apoyar la gastronomía local, cafeterías independientes. Evitar la comida rápida.
Viajes y turismo
Viajes a EE. UU. y aerolíneas estadounidenses (como Delta, American Airlines, United)
→ Elegir destinos con políticas culturales liberales. Volar con aerolíneas europeas.
Finanzas y pagos
Visa, Mastercard, PayPal
→ Donde sea posible, usar alternativas europeas o transferencia bancaria directa.
Sé que esto no será cómodo. Y sí, es contradictorio: estoy publicando esto en LinkedIn, una plataforma estadounidense. Pero justamente por eso: uso este alcance para llamar la atención sobre el problema. Un boicot silencioso solo tiene efecto si se vuelve visible. Además, muchas de estas decisiones probablemente también beneficien a mi cuerpo y mente.
Si tú también quieres actuar, comparte esta publicación con tu propio mensaje personal.
PD: El „BIC“ en la imagen es incorrecto. No puedo cambiar la foto.
Claro que el primer paso es empezar por los productos estadounidenses que uno puede (quizás incluso fácilmente) dejar de usar o reemplazar. Y si es fácil, tal vez otros 20 millones lo hagan también.
Comentario de
Werner Hoffmann.
– Democracia del centro, porque los extremos destruyen el país –
Gracias, Mirko, por esta publicación tan clara y valiente.
Estoy totalmente de acuerdo:
Los países democráticos deben ser mucho más conscientes de su poder de mercado.
EE. UU. tiene unos 330 millones de habitantes – impresionante, sí.
Pero la Unión Europea ya tiene más de 450 millones, más:
67 millones en el Reino Unido,
39 millones en Canadá,
Más de 1.400 millones en la India,
126 millones en Japón,
52 millones en Corea del Sur,
26 millones en Australia,
Casi 5 millones en Nueva Zelanda.
En conjunto, esta coalición de democracias dispuestas representa a más de 2.500 millones de personas que viven en sociedades libres y democráticas — y que, por tanto, poseen un enorme poder económico, cultural y político.
Trump y sus seguidores deben entender: no dependemos de ellos — ellos dependen de nosotros.
La defensa de la democracia no empieza solo en las urnas — empieza con nuestro comportamiento diario.
Y sí, eso incluye nuestro consumo. Quien elige productos que representan valores democráticos (o evita conscientemente los que los pisotean), asume una responsabilidad concreta y real.
Por supuesto, no hace falta tirar tu iPhone. Pero sí puedes buscar alternativas la próxima vez que compres. Y seamos honestos: nadie necesita Coca-Cola o Pepsi para sobrevivir.
Yo también empecé hace años a mantener una lista personal de boicot — primero contra Rusia, y ahora mucho más amplia. En dos artículos he compartido mis ideas y criterios:
Mi lista personal de sanciones: estos países los evito como demócrata y europeo
→ Enlace más abajo *
¡Con cada compra financias a los autócratas! Por qué debemos cambiar radicalmente nuestros hábitos de consumo — y cómo mi lista personal puede ayudar
→ Enlace más abajo **
No se trata solo de EE. UU., sino también de empresas alemanas que:
Siguen haciendo negocios con autocracias como Rusia,
Fomentan o toleran ideologías antidemocráticas o de extrema derecha,
Eluden impuestos y dañan activamente al Estado — o sea, a todos nosotros.
La democracia empieza en el carrito de la compra.
Y cuanto más visible sea este boicot silencioso, mayor será su impacto.
¡Gracias por abordar este tema tan importante!
Enlaces a los artículos mencionados:
Publicación de Mirko Lange y comentarios en LinkedIn:
** ¡Con cada compra financias a los autócratas! Por qué debemos cambiar radicalmente nuestros hábitos de consumo — y cómo mi lista personal puede ayudar
जो कुछ भी अभी अमेरिका में हो रहा है, वह मुझे—और शायद आप सभी को भी—गहराई से विचलित करता है। जब सरकारें संग्रहालयों का पुनर्गठन करने लगती हैं, प्रदर्शनियों पर प्रतिबंध लगाती हैं, और जानबूझकर आलोचनात्मक कला व साहित्य को हटाती हैं, तो यह केवल रूढ़िवादी राजनीति नहीं रह जाती—यह सत्तावादी है। तानाशाही है। फासीवादी है।
जो लोग संस्कृति की „सफाई“ विचारधारा के आधार पर करते हैं, वे खुले समाज के मूल को निशाना बनाते हैं।
अब से मैं अमेरिकी उत्पादों का बहिष्कार करूंगा—जहाँ तक संभव हो सके। यह न तो दुश्मनी में किया जा रहा है, और न ही केवल नाराज़गी में। यह ज़िम्मेदारी से किया जा रहा है, और यह महसूस करने के लिए कि मैं कुछ कर सकता हूँ। पूरी तरह से त्याग करना यथार्थवादी नहीं है, लेकिन जहाँ विकल्प मौजूद हैं, वहाँ सचेत निर्णय लेना पूरी तरह मुमकिन है।
बड़ी कंपनियाँ सार्वजनिक संदेशों पर संवेदनशील होती हैं। यह नैतिक शुद्धता का मामला नहीं है—यह प्रभाव का मामला है। मैं उन सभी को भी समर्थन दूँगा (“इनाम”), जो ट्रंप का खुलकर विरोध करते हैं—चाहे वो कंपनियाँ हों, कलाकार हों या रचनात्मक सोच वाले लोग।
संभावित #बहिष्कार की सूची:
स्ट्रीमिंग और डिजिटल सब्सक्रिप्शन
Apple TV+, Netflix, Disney+, Amazon Prime Video, YouTube Premium
→ सब्सक्रिप्शन रद्द करें या स्थगित करें। विकल्प: Arte, Magenta या सार्वजनिक मीडिया लाइब्रेरी।
टेक्नोलॉजी – हार्डवेयर और उपकरण
Apple (iPhone, Mac), Microsoft (Surface), Google (Pixel), Amazon (Alexa, Kindle)
→ नए उपकरण खरीदते समय यूरोपीय या एशियाई विकल्पों पर विचार करें। कम बदलें, अधिक मरम्मत करें।
→ स्थानीय रेस्टोरेंट और कैफ़े को समर्थन दें। फास्ट-फूड से दूरी बनाएं।
यात्रा और पर्यटन
अमेरिका की यात्राएँ और अमेरिकी एयरलाइंस (जैसे Delta, American Airlines, United)
→ उदार सांस्कृतिक नीति वाले गंतव्यों को प्राथमिकता दें। यूरोपीय एयरलाइंस के साथ यात्रा करें।
वित्त और भुगतान सेवाएं
Visa, Mastercard, PayPal
→ जहाँ संभव हो, यूरोपीय विकल्पों या बैंक ट्रांसफर का प्रयोग करें।
मुझे पता है, यह आसान नहीं होगा। और हाँ, यह विरोधाभासी भी है—मैं यह पोस्ट अमेरिका के ही LinkedIn प्लेटफॉर्म पर कर रहा हूँ। लेकिन यही बात तो महत्वपूर्ण है: मैं इस मंच की पहुंच का उपयोग करके इस समस्या की ओर ध्यान आकर्षित करना चाहता हूँ। एक मौन बहिष्कार तब तक प्रभावी नहीं होता जब तक वह दिखाई न दे। साथ ही, इन परिवर्तनों का मेरे शरीर और मन पर भी सकारात्मक असर पड़ सकता है।
यदि आप भी ऐसा करना चाहते हैं, तो इस पोस्ट को अपने व्यक्तिगत संदेश के साथ साझा करें।
पुनश्च: चित्र में लिखा „BIC“ गलत है, लेकिन अब मैं उसे बदल नहीं सकता।
पहला कदम यही है कि हम उन अमेरिकी उत्पादों को त्यागें, जिन्हें हम (शायद आसानी से) बदल सकते हैं। और यदि यह आसान है, तो शायद 20 मिलियन और लोग भी ऐसा करेंगे।
टिप्पणी:
Werner Hoffmann.
— मध्यम मार्ग की लोकतंत्र की रक्षा, क्योंकि चरमपंथ देश को नष्ट कर देता है —
धन्यवाद, Mirko, इस स्पष्ट और साहसी लेख के लिए!
मैं पूरी तरह सहमत हूँ:
लोकतांत्रिक देशों को अपनी बाजार शक्ति को लेकर अधिक सजग होना चाहिए।
अमेरिका की जनसंख्या लगभग 33 करोड़ है—हां, प्रभावशाली है।
लेकिन यूरोपीय संघ में पहले से ही 45 करोड़ से अधिक लोग हैं, साथ ही:
ब्रिटेन – 6.7 करोड़
कनाडा – 3.9 करोड़
भारत – 140 करोड़ से अधिक
जापान – 12.6 करोड़
दक्षिण कोरिया – 5.2 करोड़
ऑस्ट्रेलिया – 2.6 करोड़
न्यूज़ीलैंड – 50 लाख से कम
ये सभी मिलकर „इच्छुक लोकतंत्रों का गठबंधन“ बनाते हैं, जिनमें 250 करोड़ से अधिक लोग रहते हैं—और उनके पास विशाल आर्थिक, सांस्कृतिक और राजनीतिक शक्ति है।
ट्रंप और उनके समर्थकों को यह समझना चाहिए: हम उन पर निर्भर नहीं हैं—वे हम पर निर्भर हैं।
लोकतंत्र की रक्षा सिर्फ मतदान केंद्र में नहीं होती—यह हमारे दैनिक व्यवहार से शुरू होती है।
और हां, इसमें हमारा उपभोग व्यवहार भी शामिल है। जो लोग लोकतांत्रिक मूल्यों का समर्थन करने वाले उत्पादों का चयन करते हैं (या जानबूझकर ऐसे उत्पादों से परहेज करते हैं जो इन मूल्यों का उल्लंघन करते हैं), वे जिम्मेदारी निभा रहे हैं—व्यावहारिक और स्पष्ट रूप से।
निश्चित रूप से, किसी को अपना iPhone तुरंत फेंकने की ज़रूरत नहीं है। लेकिन अगली बार नया खरीदते समय, विकल्पों पर विचार करना चाहिए। और सच कहें: Coca-Cola या Pepsi के बिना भी जीवन चल सकता है।
मैंने भी वर्षों पहले अपनी व्यक्तिगत बहिष्कार सूची बनानी शुरू कर दी थी—शुरू में रूस के लिए, और अब इसे अधिक व्यापक बना लिया है। मैंने इस बारे में दो लेख लिखे हैं:
मेरी व्यक्तिगत प्रतिबंध सूची: ये देश मैं एक लोकतंत्र समर्थक और यूरोपीय नागरिक के रूप में नहीं चुनता
→ नीचे लिंक *
हर खरीदारी एक तानाशाह को फंड देती है! हमें अपनी उपभोक्ता आदतें अब क्यों बदलनी चाहिए—और मेरी व्यक्तिगत सूची इसमें कैसे मदद करती है
→ नीचे लिंक **
यह केवल अमेरिका तक सीमित नहीं है, बल्कि उन जर्मन कंपनियों तक भी फैला है जो:
तानाशाही शासनों (जैसे रूस) के साथ व्यापार जारी रखती हैं,
विरोधी लोकतांत्रिक या अतिवादी विचारधाराओं को बढ़ावा देती हैं या सहन करती हैं,
टैक्स चुकाने से बचकर राज्य को नुकसान पहुँचाती हैं—जो हम सभी को प्रभावित करता है।
लोकतंत्र की शुरुआत हमारी खरीदारी की टोकरी से होती है।
और जितना अधिक यह मौन बहिष्कार दिखेगा, उतना ही अधिक प्रभावशाली होगा।
इस अहम विषय को उठाने के लिए धन्यवाद!
What’s happening in the U.S. right now deeply troubles me—just like it probably troubles everyone here.
When governments start restructuring museums, banning exhibitions, and deliberately removing critical art and literature, that’s no longer conservative politics—it’s authoritarian. Totalitarian. Fascist.
Anyone who ideologically “cleanses” culture is attacking the very core of an open society.
From now on, I will boycott American products—at least as far as I reasonably can. Not out of hostility, not even out of outrage. But out of responsibility and a desire to feel empowered. A complete boycott isn’t realistic, but targeted choices where alternatives exist are absolutely possible.
Big corporations, in particular, are sensitive to public signals. This isn’t about moral purity—it’s about making an impact. I’ll also reward those who openly oppose Trump—whether companies, voices, or creatives.
Some possible #boycott targets include:
Streaming & Digital Subscriptions
Apple TV+, Netflix, Disney+, Amazon Prime Video, YouTube Premium
→ Cancel or pause subscriptions. Use alternatives like Arte, Magenta, or public broadcasting media libraries.
Technology – Hardware & Devices
Apple (iPhone, Mac), Microsoft (Surface), Google (Pixel), Amazon (Alexa, Kindle)
→ Consider European or Asian alternatives when buying new devices. Repair instead of replace.
→ Support regional eateries and local cafés. Avoid fast food.
Travel & Tourism
U.S. travel and U.S. airlines (e.g., Delta, American Airlines, United)
→ Choose destinations with liberal cultural policies. Fly with European carriers.
Finance & Payment Services
Visa, Mastercard, PayPal
→ Where possible, switch to European alternatives or use direct bank transfers.
I know this won’t be convenient. And it remains contradictory—I’m posting this on LinkedIn, a U.S. platform.
But that’s precisely the point: I’m using its reach to raise awareness. A silent boycott only works if it becomes visible. Also: much of this might benefit both body and mind.
If you feel the same, share this post with your own statement.
P.S. The “BIC” in the photo is incorrect. I can’t change the image anymore.
Of course, the first step is to cut out all U.S. products that are (perhaps even easily) replaceable. And if it’s easy, maybe 20 million others will follow.
Comment by
Werner Hoffmann.
– Democracy of the Center, because extremist wings destroy the nation –
Thank you, Mirko, for this clear and courageous post!
I fully agree:
Democratic countries must become much more aware of their market power.
The U.S. has around 330 million people – impressive, sure.
But the European Union already has over 450 million, plus:
67 million in the UK,
39 million in Canada,
Over 1.4 billion in India,
126 million in Japan,
52 million in South Korea,
26 million in Australia,
And nearly 5 million in New Zealand.
Altogether, this “coalition of willing democracies” represents more than 2.5 billion people living in free, democratic societies—and thus wields enormous economic, cultural, and political power.
Trump and his supporters need to realize: we don’t depend on them—they depend on us.
The defense of democracy doesn’t start in the voting booth alone—it begins with our daily behavior.
And yes, that includes our consumption. Those who consciously choose products that stand for democratic values (or avoid those that trample them) are taking real, tangible responsibility.
Of course, no one has to throw their iPhone in the trash. But when buying the next one, you can explore alternatives. And let’s be honest: no one needs Coca-Cola or Pepsi to survive.
I, too, started keeping a personal boycott list years ago—initially for Russia, but now it has expanded significantly. I’ve published two articles outlining my thoughts and criteria:
My Personal Sanctions List: These Countries I Avoid as a Democrat and European
→ Link below *
Every Purchase Funds Autocrats! Why We Must Radically Change Our Consumer Habits—And How My Personal Sanctions List Helps
→ Link below **
It’s not just about the U.S., but also about German companies that:
Continue doing business with autocracies like Russia,
Promote or tolerate anti-democratic or far-right ideologies,
Engage in tax avoidance that actively harms the state—and all of us.
Democracy starts at the checkout counter. And the more visible this silent boycott becomes, the greater its impact.
Thank you for raising this crucial issue!
Was in den USA gerade passiert, macht mich – wie wohl jeden anderen auch hier – schwer betroffen. Wenn Regierungen beginnen, Museen umzustrukturieren, Ausstellungen zu verbieten und gezielt kritische Kunst und Literatur zu entfernen, ist das keine konservative Politik mehr – das ist autoritär. Totalitär. Faschistisch.
Wer Kultur ideologisch „säubert“, greift die offene Gesellschaft im Kern an.
Ich werde amerikanische Produkte ab sofort boykottieren – so weit es mir möglich ist. Nicht aus Feindseligkeit, auch nicht aus Empörung. Sondern aus Verantwortung und um Selbstwirksamkeit zu spüren. Ein vollständiger Verzicht ist nicht realistisch, aber gezielte Entscheidungen dort, wo es Alternativen gibt.
Gerade große Konzerne reagieren sensibel auf öffentliche Signale. Es geht nicht um moralische Reinheit, sondern um Wirkung. Und ich werde auch alle ausnehmen („belohnen“), die sich offen gegen Trump stellen, auch offene Unternehmen, kritische Stimmen, kreative Köpfe.
Ein möglicher #Boykott z.B. in Bezug auf:
—> Streaming & digitale Abos Apple TV+, Netflix, Disney+, Amazon Prime Video, YouTube Premium → Kündigen oder pausieren. Alternativen wie Arte, Magenta oder öffentlich-rechtliche Mediatheken nutzen.
—> Technologie – Hardware & Geräte Apple (iPhone, Mac), Microsoft (Surface), Google (Pixel), Amazon (Alexa, Kindle) → Bei Neuanschaffungen europäische oder asiatische Anbieter prüfen. Weniger ersetzen, mehr reparieren.
—> Reisen & Tourismus USA-Reisen und US-Fluggesellschaften (z.B. Delta, American Airlines, United) → Reiseziele mit liberaler Kulturpolitik bevorzugen. Flüge mit europäischen Airlines buchen.
—-> Finanzen & Bezahldienste Visa, Mastercard, PayPal → Wo möglich, auf europäische Alternativen oder Banküberweisung umstellen.
Ich weiß, das wird nicht bequem. Und es bleibt widersprüchlich – ich poste das hier auf LinkedIn, einem US-Dienst. Aber gerade deshalb: Ich nutze die Reichweite, um auf das Problem aufmerksam zu machen. Ein stiller Boykott hat nur dann Wirkung, wenn er sichtbar wird. Zudem: Vieles davon dürfte meinem Körper und Geist auch gut tun.
Wenn Sie das auch tun wollen, teilen Sie den Post doch mit einem persönlichen Statement.
P.S. Das „BIC“ auf dem Foto ist falsch. Ich kann das Bild aber nicht mehr ändern.
Natürlich ist es ein erster Schritt, erst einmal auf alle US-Produkte zu verzichten, auf die man (vielleicht sogar leicht) verzichten oder sie ersetzen kann. Und wenn es leicht ist, dann machen es vielleicht auch noch 20 Mio.
———
Kommentar von
Werner Hoffmann – Demokratie der Mitte, weil Extremflügel das Land zerstören –
Danke, Mirko, für diesen klaren und mutigen Beitrag!
Ich sehe das genauso:
——
Demokratische Länder sollten sich ihrer Marktmacht viel bewusster sein.
Die USA hat rund 330 Millionen Einwohner – beeindruckend, ja.
Aber die Europäische Union zählt bereits über 450 Millionen, dazu kommen
– 67 Millionen in Großbritannien,
– 39 Millionen in Kanada,
– über 1,4 Milliarden in Indien,
– 126 Millionen in Japan,
– 52 Millionen in Südkorea,
– 26 Millionen in Australien
– und knapp 5 Millionen in Neuseeland. Zusammengenommen spricht diese Koalition der willigen Demokraten für mehr als 2,5 Milliarden Menschen, die in freiheitlichen, demokratischen Gesellschaften leben – und damit über eine enorme wirtschaftliche, kulturelle und politische Macht.
Trump und seine Anhänger sollten sich klarmachen: Nicht wir sind von ihnen abhängig – sondern sie von uns.
——-
Die Verteidigung der Demokratie beginnt nicht nur in der Wahlkabine – sie beginnt bei unserem alltäglichen Verhalten.
Und ja, dazu gehört auch der Konsum. Wer gezielt Produkte auswählt, die für demokratische Werte stehen (oder bewusst solche meidet, die diese mit Füßen treten), übernimmt Verantwortung – ganz konkret und spürbar.
Natürlich kann man nicht alles sofort austauschen. Niemand muss sein iPhone auf den Müll werfen. Aber man kann beim nächsten Kauf Alternativen prüfen. Und ganz ehrlich: Niemand braucht Coca-Cola oder Pepsi zum Überleben.
Auch ich habe schon vor Jahren begonnen, eine persönliche Boykottliste zu führen – zunächst in Bezug auf Russland, inzwischen aber auch deutlich breiter. In zwei Artikeln habe ich meine Gedanken und Kriterien dazu veröffentlicht:
1. Meine persönliche Sanktionsliste: Diese Länder meide ich als Demokrat und Europäer
→ Link siehe unten *
2. Mit jedem Kauf finanzierst du Autokraten! Warum wir unsere Konsumgewohnheiten jetzt radikal ändern müssen – und wie meine persönliche Sanktionsliste dabei hilft
→ Link siehe unten **
Darin geht es nicht nur um die USA, sondern auch um deutsche Unternehmen, die:
• weiter Geschäfte mit Autokratien wie Russland machen,
• demokratiefeindliche oder rechtsextreme Ideologien fördern oder dulden,
• durch Steuervermeidung dem Staat – also uns allen – aktiv schaden.
Demokratie beginnt beim Einkauf. Und je sichtbarer dieser stille Boykott wird, desto größer ist seine Wirkung. Danke, dass du dieses wichtige Thema ansprichst!
Links zu oben genannten Artikeln
——
Link zum Artikel von Mirko Lange sowie weiteren Kommentaren bei LinkedIn:
** Mit jedem Kauf finanzierst du Autokraten! Warum wir unsere Konsumgewohnheiten jetzt radikal ändern müssen – und wie meine persönliche Sanktionsliste dabei hilft
Während in Deutschland die Debatte um E-Fuels noch in vollem Gange ist, formiert sich in Indien ein potenziell gigantischer Markt für Elektrofahrzeuge.
Verbrenner sind out, bringen schlechte Luft und Belastungen. Der Subkontinent entwickelt sich mit atemberaubendem Tempo zum drittgrößten Automobilmarkt weltweit – und setzt dabei verstärkt auf Elektrifizierung, um den drohenden Umweltproblemen entgegenzuwirken.
Mit aktuell nur 15-65 Autos pro 1.000 Einwohner (im Vergleich zu 557 in Deutschland) hat Indien enormes Wachstumspotenzial. Bereits 2023 wurden 3,6 Millionen Neuzulassungen verzeichnet, für 2024 werden 4 Millionen erwartet. Doch dieser rasante Anstieg stellt die ohnehin belastete Luftqualität in Metropolen wie Delhi vor massive Herausforderungen.
Die indische Regierung hat daher ambitionierte Elektrifizierungsziele formuliert: Bis 2030 sollen 30% des privaten Fuhrparks elektrisch fahren. Bemerkenswert ist, dass bereits heute 14 Millionen Elektrofahrzeuge auf indischen Straßen unterwegs sind – mehr als in jedem anderen Land weltweit. Allerdings handelt es sich dabei überwiegend um Zweiräder und Rikschas. Um den Umstieg auf E-Autos zu fördern, hat Delhi die Zulassungssteuer für Elektrofahrzeuge drastisch gesenkt und investiert massiv in die Ladeinfrastruktur. Bis 2026 sollen 40.000 Ladesäulen entstehen – ein gewaltiger Sprung von den aktuell etwa 3.000 Ladepunkten.
Der indische Autohersteller Tata dominiert bereits den lokalen E-Auto-Markt mit 50.000 verkauften Elektrofahrzeugen und plant die Einführung einer dezidierten Akku-Plattform. Auch internationale Hersteller wie VW, Skoda und Premiummarken wie Porsche, Audi, BMW und Mercedes drängen mit E-Modellen auf den vielversprechenden Markt.
Die Elektrifizierung dient Indien nicht nur dem Umweltschutz, sondern auch der Reduzierung des Außenhandelsdefizits, das zu zwei Dritteln durch Mineralöl-Importe verursacht wird. Mit etwa 500 EV-Start-ups und Investitionen von über 440 Millionen Dollar allein im letzten Jahr wächst der indische Elektromobilitätssektor rasant.
Zusatzbeitrag von
Werner Hoffmann – Wir brauchen ein funktionierendes Klima auf der Erde. –
Zusatzartikel: Warum Indien zum globalen Gamechanger in der E-Mobilität werden könnte
Indiens Ambitionen in Sachen Elektromobilität kommen nicht von ungefähr.
Die Klimakrise und die katastrophale Luftqualität in Großstädten wie Delhi, Mumbai oder Bangalore zwingen das Land zu radikalen Maßnahmen.
In Delhi überschreiten die Feinstaubwerte regelmäßig das 10-Fache der WHO-Grenzwerte – Atemwegserkrankungen gehören zum Alltag.
Die Elektrifizierung des Verkehrs ist also nicht nur ein wirtschaftliches, sondern ein existenzielles Projekt.
Gigantischer Markt, geringer Motorisierungsgrad
Indien steht dort, wo China vor 15 Jahren war – mit einem enormen Nachholbedarf und einem Milliardenmarkt, der noch weitgehend unerschlossen ist.
Während Deutschland bereits ein weitgehend gesättigter Markt ist, besitzt in Indien nur etwa jeder 20. Mensch ein Auto.
Das bietet enormes Potenzial – sowohl für einheimische Hersteller wie Tata Motors oder Mahindra, als auch für internationale Player.
Politik als Turbo-Booster
Neben Steuervorteilen und staatlichen Subventionen setzt die indische Regierung auf klare Ziele:
Neben den 30 % E-Autos bis 2030 sollen sogar 80 % aller Zweiräder und drei Viertel aller städtischen Busse elektrisch fahren.
Das sogenannte FAME-II-Programm (Faster Adoption and Manufacturing of Hybrid and Electric Vehicles) stellt dafür rund 1,4 Milliarden Dollar zur Verfügung.
Technologische Chancen
Indien positioniert sich nicht nur als Abnehmer, sondern zunehmend auch als Hersteller von Batterien, Ladeinfrastruktur und Softwarelösungen.
Das schafft Jobs und reduziert die Importabhängigkeit – vor allem von China, das aktuell den globalen Markt für Batteriezellen dominiert.
Internationale Investoren wittern Milliardenpotenzial
Tesla hat mehrfach Interesse an einer Produktion in Indien signalisiert.
Foxconn, Zulieferer für Apple, kündigte im März neue Investitionen in die indische EV-Industrie an.
Auch BYD, der chinesische E-Auto-Gigant, will stärker in Indien Fuß fassen.
Die Kehrseite
Trotz aller Euphorie bleibt die Realität herausfordernd. Der Ausbau der Ladeinfrastruktur ist träge, der Strom kommt vielerorts noch aus Kohle, und die Stromnetze sind oft instabil. Auch fehlt es bislang an standardisierten Akkusystemen und Recyclingkonzepten.
Fazit
Indien hat das Potenzial, in den kommenden Jahren zur weltweit führenden EV-Nation zu werden – nicht trotz, sondern gerade wegen seiner aktuellen Herausforderungen.
Während Europa noch über E-Fuels streitet, schaffen die Inder Fakten – schnell, pragmatisch und im gigantischen Maßstab.
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Zusatzartikel: Diese Aktien könnten vom Elektroauto-Boom in Indien profitieren
Indien entwickelt sich in rasantem Tempo zum Hotspot der globalen Elektromobilität – und clevere Anlegerinnen und Anleger stellen sich bereits jetzt strategisch auf.
Wer vom indischen Elektro-Revolutionstrend profitieren will, sollte einen Blick auf ausgewählte indische und deutsche Aktien werfen, die in diesem Zukunftsmarkt gut positioniert sind.
1. Tata Motors (ISIN: INE155A01022 / WKN: 853610)
Der Platzhirsch unter den indischen E-Auto-Herstellern.
Tata Motors ist Marktführer im indischen EV-Segment – mit Modellen wie dem Tata Nexon EV oder dem Tiago EV hat sich das Unternehmen als Vorreiter etabliert.
Tata profitiert zudem vom starken Rückhalt der Regierung und plant eine eigene Batterieplattform.
Auch die Tochterfirma Tata Power treibt den Ausbau von Ladeinfrastruktur maßgeblich voran. Bonus: Tata ist auch Eigentümer von Jaguar Land Rover – hier könnte Synergie mit europäischen EV-Technologien entstehen.
Der Herausforderer mit Fokus auf Nutzfahrzeuge und SUV-EVs.
Mahindra ist eine der ältesten Automarken Indiens und investiert massiv in Elektrofahrzeuge, insbesondere in elektrische SUVs und Nutzfahrzeuge.
Die Marke setzt verstärkt auf batteriebetriebene Dreiräder, Nutzfahrzeuge und Busse – genau dort, wo in Indien der Wandel bereits heute am stärksten ist.
3. Indian Energy Exchange (IEX) (ISIN: INE022Q01020 / WKN: A2DYHH)
Die Energie-Börse der Zukunft.
Je mehr E-Autos auf Indiens Straßen rollen, desto wichtiger wird ein stabiles, digitales Stromnetz.
IEX ist die führende Energiebörse Indiens und profitiert direkt vom steigenden Energiebedarf und der Dezentralisierung durch Ladeinfrastruktur und PV-Strom.
4. Siemens India (ISIN: INE003A01024 / WKN: 865128)
Profitabler Technologietransfer made in Germany.
Siemens India ist ein Schwergewicht bei Elektrifizierung und Automatisierung.
Die Firma ist maßgeblich an Infrastrukturprojekten beteiligt – darunter auch der Aufbau von Schnelllade- und Verteilernetzen für E-Mobilität.
Wer indirekt über Infrastruktur profitieren möchte, ist hier richtig.
5. Infineon Technologies (ISIN: DE0006231004)
Deutschlands Chip-Schmiede für die Elektromobilität.
Infineon liefert Hochleistungshalbleiter für Antriebe, Batteriemanagementsysteme und Ladegeräte – und zählt weltweit zu den Top-Zulieferern der Autoindustrie, auch in Indien.
Wenn E-Mobilität boomt, wird Infineon mitverdienen.
6. Schaeffler India (ISIN: INE513A01022)
Innovative Komponenten für den EV-Markt.
Schaeffler produziert in Indien unter anderem E-Motor-Komponenten und Thermomanagementsysteme – ein unterschätzter Profiteur des EV-Trends.
Das Unternehmen baut seine Kapazitäten in Indien stetig aus und ist sowohl auf dem indischen Markt aktiv als auch Zulieferer für globale Player.
Fazit
Indien bietet nicht nur für die Autoindustrie selbst, sondern auch für Energieversorger, Infrastrukturunternehmen und Chip-Hersteller lukrative Chancen.
Die richtige Mischung aus indischen Playern mit Marktzugang und deutschen Technologie-Exporteuren könnte sich für Anlegerinnen und Anleger als goldrichtig erweisen – vorausgesetzt, man denkt langfristig und bleibt dran.
Einzelne Aktien sind natürlich immer mit einem höheren Risiko, als z.B. eine Mischung von Aktien.
ETF können hier durchaus Sinn machen.
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Zusatzartikel: Welche ETFs sind für den Markt Indien und E-Auto zu empfehlen?
Indien entwickelt sich nicht nur zum drittgrößten Automobilmarkt der Welt, sondern auch zu einem Schlüsselakteur in der Elektromobilität. Für Anlegerinnen und Anleger stellt sich die Frage: Welche ETFs bieten Zugang zu diesem Wachstumsmarkt und zur Zukunftstechnologie E-Mobilität? Hier eine Auswahl an empfehlenswerten ETFs – regional, thematisch und kombiniert.
1. ETFs mit Fokus auf den indischen Markt
Diese ETFs bieten dir breiten Zugang zur indischen Wirtschaft, einschließlich wachsendem EV-Sektor:
iShares MSCI India UCITS ETF (WKN: A0NECU)
→ Breite Abdeckung großer und mittlerer indischer Unternehmen.
Lyxor MSCI India UCITS ETF (WKN: LYX0BA)
→ Ähnlich wie iShares, günstige TER (Gesamtkostenquote).
Xtrackers Nifty 50 UCITS ETF (WKN: DBX1NN)
→ Abbildung der 50 größten börsennotierten Unternehmen in Indien.
→ Noch nicht in Europa handelbar, aber in Planung: Regionalspezifischer Zukunfts-ETF mit starkem Indien-Fokus.
3. Alternative Strategie: Kombination aus ETFs
Wer gezielt vom indischen EV-Boom profitieren will, kann eine thematische Kombination wählen:
Ein Indien-ETF (z. B. iShares MSCI India)
+
Ein Batterie-/E-Mobility-ETF (z. B. L&G Battery Value-Chain oder iShares EV Tech)
So erhält man sowohl regionalen Fokus als auch globale Technologiechancen in einem Portfolio.
Fazit
Indien bietet enormes Wachstumspotenzial im Bereich Elektromobilität. Die kluge Auswahl passender ETFs – ob mit Indien-Fokus, Technologieausrichtung oder in Kombination – eröffnet spannende Chancen für zukunftsorientierte Anlegerinnen und Anleger.
Berlin – „In den letzten 20 Jahren ist das sicherlich eine der schwersten Krisen, die wir als Union mitmachen“, sagte Thorsten Frei, der stellvertretende Fraktionschef der Union bei Bild Live über die Masken-Affäre. „Schwer vor allen Dingen deshalb, weil es eine Glaubwürdigkeitskrise ist. Wir haben es hier mit einem Vertrauensschaden zu tun, den wir ganz grundlegend beheben müssen.“ Das werde wohl länger dauern.
Vom Koalitionspartner SPD kommen harsche Worte: „In Teilen von CDU und CSU ist das Prinzip, dass eine Hand die andere wäscht, immer wieder zum Vorschein gekommen. Das Waschmittel dabei ist Geld – und dem stehen in diesen Parteien einige besonders nah“, sagte SPD-Chef Norbert Walter-Borjans der Frankfurter Allgemeinen Sonntagszeitung. „Wahlkampf mit einem Thema zu machen, das dazu geeignet ist, das Vertrauen der Bürger in demokratische Prozesse zu beeinträchtigen, gleicht einem Spiel mit dem Feuer“, warnte daraufhin wiederum Frei. Er bezeichnete es im Gegenzug als „wünschenswert, wenn der Koalitionspartner nachziehen würde und sich ebenfalls einen Ehrenkodex auferlegen würde“, sagte er der dpa.
Maskenaffäre bei CDU/CSU: Das sind die Beteiligten – es geht um 660.000 Euro in einem Fall
Im Zentrum der so genannten Maskenaffäre stehen Georg Nüßlein (CSU) und Nikolaus Löbel (CDU) sowie Mark Hauptmann (CDU) . Nüßlein und Löbel wird Korruption vorgeworfe, Hauptmann vor allem Lobbyismus. Aber es fallen auch weitere Namen.
Die Fälle im Einzelnen:
Georg Nüßlein (CSU): Im Sommer 2020 soll sich eine Textilfirma aus Hessen an Georg Nüßlein (CSU), der unter anderem im Gesundheitsausschuss des Bundestags saß, gewandt haben, so Recherchen von Business Insider. Nüßlein soll sich daraufhin für die Vergabe von Aufträgen an die Firma eingesetzt haben – und im Gegenzug 660.000 Euro Provision über seine Beraterfirma kassiert haben, ohne diesen Gewinn steuerlich geltend zu machen. Aktuell ermittelt die Staatsanwaltschaft am Münchner Oberlandesgericht wegen des Verdachts auf Bestechlichkeit und Steuerbetrugs gegen Nüßlein.
Nikolaus Löbel (CDU): Löbel hat eingeräumt, dass seine Firma rund 250.000 Euro an Provisionen für die Vermittlung von FFP2-Masken-Aufträgen erhalten hat. Die Staatsanwaltschaft prüft, ob ein hinreichender Anfangsverdacht zur Einleitung eines Ermittlungsverfahrens gegeben ist.
Mark Hauptmann (CDU): Hauptmann wird zweierlei vorgeworfen: Nach Medienberichten soll Hauptmann Maskenlieferungen von Firmen an Landkreise vermittelt haben, dafür hatte der Kreisverband Suhl (Thüringen) eine Spende von 7000 Euro erhalten. Außerdem wirft man ihm vor, besondere Beziehungen zur Regierung von Aserbaidschan zu pflegen, die wegen Menschenrechtsverletzungen in der Kritik steht. Unter anderem soll die Regierung Anzeigen in einer von Hauptmann herausgegebenen Zeitung geschaltet haben, außerdem gibt es Gerüchte um undeklarierteSpendenzahlungen an seinen Kreisverband, die ebenfalls aus Aserbaidschan stammen könnten. Hauptmann gibt die Parteispenden zu, bestreitet aber, sich persönlich bereichert zu haben.
Die Liste der Unionspolitiker, die ins Fadenkreuz der Kritik geraten oder bereits geraten sind, ist aber noch länger:
Schon 2020 war der jetzige Vorsitzende der CDU, Armin Laschet, in die Schlagzeilen geraten: Sein Sohn Joe Laschet hatte den Kontakt zu einer Textilfirma hergestellt, bei der das Land NRW für 1,25 Millionen Euro Stoffmasken bestellte. Philipp Amthor (CDU) war im Juni 2020 in die Kritik geraten, weil er sich für ein US-Unternehmen eingesetzt hatte, für das er Aktienoptionen bekam. Daraufhin hatte er zwar nicht mehr für den Landesvorsitz in Mecklenburg-Vorpommern kandidiert, war aber im März mit großer Mehrheit auf Platz eins der Landesliste für die Bundestagswahl am 26. September gewählt worden.
Maskenaffäre bei CDU/CSU: Diese Konsequenzen wurden bereits gezogen – welche weiteren Konsequenzen stehen im Raum?
Im Zuge dieser Korruptionsaffäre hatte die Unionsfraktion zu einem ungewöhnlichen Schritt gegriffen. Alle Abgeordneten mussten eine „Ehrenerklärung“ unterschreiben, in der sie versichern, dass sie sich mit Maskendeals in der Coronapandemie nicht persönlich bereichert haben. Das Gesundheitsministerium will nun noch weitergehen: Im Ministerium will man Medienberichten zufolge auf alle Abgeordneten zugehen, die „im Kontext tatsächlich abgeschlossener Verträge über Schutzausrüstung mit dem BMG kommuniziert haben“, so die dpa. Ein Vorhaben von Gesundheitsminister Jens Spahn (CDU) könnte indes an Datenschutzbedenken der Bundesverwaltung scheitern: Spahn hatte geplant, die Namen aller Personen zu veröffentlichen, die an der Vermittlung von Maskengeschäften beteiligt waren.
Hauptmann, Nüßlein und Löbel haben indes ihr Mandat niedergelegt und sind aus der Union ausgetreten. Das könnte aber nicht genug sein, um Schaden von der Partei abzuwenden: Schon die Landtagswahlen in Baden-Württemberg und Rheinland-Pfalz zeigen, dass sich die so genannte Maskenaffäre im Superwahljahr 2021 durchaus auf die Wahlergebnisse auswirken kann.
A1) Fassen Sie in eigenen Worten zusammen, worum es bei der sogenannten Maskenaffäre geht und wer beteiligt ist.
A2) Welche Auswirkungen haben solche Skandale, sowohl für einzelne Politiker als auch die ganze Partei?
A3) Beziehen Sie Stellung zu der Sache. Sehen Sie solche Geschäfte zwischen einzelnen Politikern kritisch oder finden Sie es okay, da Politiker ja auch immer noch ein Privatleben haben?